Quand le Hamas met en scène les morts et les blessés

Le mensonge odieux à son paroxysme : « Maman, tout va bien, c’est juste pour la caméra ».

Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, le 7 octobre, nous avons été confrontés à de nombreux cas où des Gazaouis ont été surpris allongés, le visage couvert. Que ce soit quand le Jihad islamique a tiré une roquette ratée qui a frappé l’hôpital et a accusé Israël, ou quand le Hamas a massacré ses propres habitants alors qu’ils tentaient de fuir vers le sud – comme l’a demandé l’armée israélienne – et a accusé Israël d’être celui qui les avait bombardés depuis les airs et d’autres incidents similaires.

En Israël, ils connaissent déjà le « talent » du jeu gazaoui, et c’est pourquoi ils considèrent avec un grand scepticisme les chiffres des morts fournis par le « ministère de la Santé à Gaza » et que la majorité des morts, selon eux, sont les enfants et les femmes. Aucune entité neutre ne vérifie ces données et elles sont données et diffusées dans les médias du monde entier comme une réalité de terrain.

Au cours de la dernière heure, une vidéo tournée dans un hôpital de la bande de Gaza a circulé sur les réseaux sociaux, dans laquelle on voit un enfant « blessé », avec ses vêtements déchirés et usés, sa chemise tachée de sang et un bandage sur la tête. La mère du garçon entre et demande comment il va. Les amis se précipitent pour la calmer « Khals, Khals, il n’a rien, de quoi tu t’inquiètes ? » Et le garçon lui explique : « Maman, tout va bien, c’est juste pour la caméra. » Alors ils l’emmènent dehors pour se préparer à nouveau pour la photo.

Donc, si vous pensiez avoir déjà tout vu depuis la « scène » de Gaza, mais ce n’est probablement pas le cas. Les gens là-bas travaillent 24 heures sur 24 pour diffuser de plus en plus de vidéos dans le monde afin de diffuser des « fausses nouvelles » et de faire pression sur Israël pour qu’il arrête la guerre. Ce qu’ils n’ont toujours pas intériorisé à Gaza, c’est que le peuple d’Israël et nos dirigeants sont unis autour de la décision que la guerre ne prendra pas fin tant que le Hamas ne sera pas détruit et que les personnes enlevées ne retourneront pas dans leurs foyers. Ce n’est pas un slogan, c’est la réalité et il en sera ainsi.

Deux terroristes du Hamas, sur un seul brancard, alors que manifestement, ils n’ont rien.

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