Paris : un militaire du 1er RCP (basé à Pamiers dans l’Ariège et arrivé hier sur Paris) ouvre le feu, en délivrant 5 balles de chargeur, après une agression au Carrousel du Louvre

Un homme a agressé à la machette un quadrinôme de militaires qui patrouillaient à proximité du Carrousel du Louvre, ce vendredi 3 février aux alentours de 10 heures. L’un des quatre militaires a été légèrement blessé au cuir chevelu. 

La fouille de ses 2 sacs par les chiens (Malinois) n’a pas permis de découvrir d’autres armes de type explosif. Il aurait prononcé des paroles classiques de type djihadiste : « Allah W’Akbar », un vendredi jour de prière et excellent jour pour tuer des non-Musulmans et mourir en martyr, selon les critères musulmans… et la piste est, pour le moment, confirmée du bout des lèvres par le Premier Ministre Cazeneuve.

Il est conscient et va pouvoir être interrogé sur ses tenants et aboutissants, liens en réseau, etc.

Il y a, néanmoins, un problème de détection, alors qu’il était « en train » d’accéder au Carrousel, mais il a peut-être lancé son attaque en se doutant pouvoir être fouillé plus bas… Les militaires ont agi avec beaucoup de discernement.

Mesures de confinement du public en cas de complicités lâchées dans la foule. 

Tout porte à croire : choix du lieu touristique, cible militaire, cri de revendication djihadiste qu’il s’agit bien d’un « attentat » contre la sécurité de l’Etat.

UpDate : Le suspect, Abdullah Reda al-Hamamy, est un Égyptien de 29 ans. Résidant aux Émirats arabes unis, il est né à Dakahlia, une province située au nord-est du Caire, est né en 1988. L’homme qui est soupçonné d’avoir agressé à la machette des militaires de l’opération Sentinelle au Louvre ce vendredi est né en 1988, et disposait d’un visa pour la France en provenance de Dubaï, a confirmé le parquet au Parisien. De nationalité égyptienne, il a pu être identifié grâce aux informations contenues dans le téléphone saisi sur lui lors de son interpellation, et à l’achat de bombes de peinture qui ont également été retrouvées dans son sac à dos. Selon ces mêmes sources, il devait repartir le 5 février vers la capitale émiratie. Vêtu d’un tee-shirt noir frappé d’une tête de mort, il a brandi deux machettes militaires longues de 40 centimètres achetées dans une armurerie du quartier de la Bastille (XIe arrondissement) deux jours après son arrivée à Paris.

Perquisitions : De nombreux véhicules de police, et un blindé de la BRI devant l’immeuble perquisitionné. L’immeuble visé par les perquisitions est situé rue de Ponthieu dans le VIIIème arrondissement, à proximité des Champs-Elysées. Il abrite notamment un hôtel, un salon de coiffure et un restaurant. Le périmètre de sécurité a été levé peu après 17h00, après que les policiers d’élite encagoulés et armés ont quitté les lieux.

 

 - LP/OLIVIER ARANDEL

 

 

Des soldats français du plan Vigipirate le 24 mars 2015 près de la pyramide du Louvre à Paris.
Crédit : JOEL SAGET / AFP

Des soldats français du plan Vigipirate le 24 mars 2015 près de la pyramide du Louvre à Paris.

Aux cris d’«Allah akbar!», le terroriste blesse au cuir chevelu l’un d’eux, qui parvient à esquiver grâce à des gestes de «close-combat». Présenté comme «particulièrement déterminé» par le procureur de la République François Molins, l’Égyptien fonce sur un autre militaire. Tombé au sol, ce dernier repousse à coups de pied son assaillant alors que ce dernier veut encore asséner une volée de coups de machette. Devant la furie de son adversaire, le chasseur parachutiste pointe son fusil d’assaut de type Famas et ouvre le feu une première fois vers le bas de l’abdomen. Il a fallu, comme l’a confirmé un témoin, trois tirs consécutifs pour stopper l’islamiste dans son élan meurtrier. «Le militaire a scrupuleusement respecté la doctrine d’emploi des armes», a précisé le procureur Molins.

Un des projectiles, de calibre 5,56 mm, lui transperce une cuisse de part en part tandis qu’un deuxième lui perfore un bras et qu’un dernier se loge dans son flanc droit, touchant notamment le colon et l’intestin grêle. Grièvement blessé, Abdullah Reda al-Hamamy a été transporté à demi-conscient vers l’hôpital européen Georges-Pompidou aussitôt cadenassé par un épais cordon de sécurité. Dans un message pour le moins sibyllin à ses équipes, Anne Costa, directrice de l’établissement, évoque un «incident (sic) survenu au Carrousel du Louvre» et l’admission de «deux blessés» pour justifier ces mesures exceptionnelles. Outre un des militaires d’origine ultramarine impliqué dans l’attaque et vite appelé à ressortir de l’hôpital, l’agresseur, quant à lui, a été emmené au bloc, où il a été opéré par un chirurgien spécialisé dans l’appareil digestif et les viscères. En fin de journée, l’agresseur a été admis en réanimation mais le procureur de la République a précisé que son «pronostic vital est très engagé». Hasard du calendrier, sa prise en charge a été supervisée par le médecin urgentiste Patrick Pelloux, figure historique de l’équipe de Charlie Hebdo.

Les faits se sont produits aux alentours de 10 heures, ce vendredi 3 février 2017. Un homme a agressé au couteau et machettes un militaire à proximité du Carrousel du Louvre, dans le Ier arrondissement de Paris. Dans la riposte du militaire, l’homme a été grièvement blessé.

Le militaire effectuait une patrouille dans le cadre de l’opération Sentinelle, en compagnie de deux autres hommes. Le parvis a été évacué. Selon l’AFP, les alentours du Louvre sont bloqués par de nombreux policiers vêtus de gilet pare-balles.

Evénement grave de publique en cours à quartier du , priorité à l’intervention des forces de sécurité et de secours

Plus d’informations à venir sur RTL.fr

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Un parachutiste du 1er RCP riposte et blesse l’assaillant d’une «attaque à caractère terroriste»

Un militaire, en patrouille Sentinelle de quatre, ce vendredi matin au Carrousel du Louvre, le centre commercial souterrain proche du musée, a ouvert le feu au fusil d’assaut FAMAS et blessé, par un tir de riposte, un homme qui venait d’agresser un de ses collègues avec une machette, ce vendredi matin peu avant 10 h.

L’assaillant a proféré des menaces et a crié « Allahou Akbar », selon la préfet de police de Paris, Michel cadot. Le Premier ministre Bernard Cazeneuve a qualifié l’événement de «  visiblement  » «  une attaque à caractère terroriste  ».

L’individu est «  conscient et blessé au ventre  », rapporte le préfet de police. Le soldat du 1er RCP (régiment de chasseurs parachutistes) de Pamiers a été atteint légèrement au cuir chevelu et amené à l’hôpital. Ses trois collègues ont d’abord repoussé l’individu avec des techniques de combat rapproché. Celui-ci est revenu à la charge et un soldat a répliqué d’un tir de fusil d’assaut FAMAS. Les alentours du Louvre, dont la rue de Rivoli, étaient bloqués par de nombreux policiers et la station de métro Louvre-Palais-Royal étaient fermées.

« Nos soldats ont fait front »

Le colonel Benoît Brulon, chef de cabinet du Gouverneur militaire de Paris, rend compte de l’attaque  : «  Le dispositif a été efficace. L’agression a été stoppée. Nos soldats ont fait front avec leurs moyens et selon la procédure. Ils sont dans les dispositions d’esprit d’un soldat qui a fait son métier et ouvert le feu. Ce n’est jamais anodin. Ils sont en tout cas à la disposition de la police et de la justice pour témoigner. »

Une enquête a été ouverte par la section antiterroriste du parquet de Paris. Les investigations sont confiées à la section antiterroriste de la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris (SAT) et à la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

L’opération Sentinelle, part militaire du plan Vigipirate, est renforcée depuis les assassinats à Charlie-Hebdo, le 7 janvier 2015. En quelques jours, 10 000 soldats s’étaient déployés autour des sites sensibles dans tout le pays. Depuis, Sentinelle, armée à 90  % par l’armée de terre, est une mission intérieure à part entière qui mobilise environ 6 000 personnes, dont 3 000 pour la seule région parisienne.

Les militaires ciblés depuis Merah

Depuis deux ans (et même plus), les militaires sont des cibles déclarées des radicaux islamistes. On leur recommande même de ne pas déambuler en uniforme en dehors des enceintes militaires.

Le 3 février 2015, trois soldats, en poste devant un centre communautaire juif à Nice, avaient été agressés à l’arme blanche par un homme. Légèrement blessés, ils avaient réussi à maîtriser l’attaquant. Le 1er janvier 2016 à Valence dans la Drôme, un homme avait foncé en voiture sur quatre militaires de Sentinelle en faction devant la grande mosquée. Lors du deuxième assaut du conducteur terroriste, ils avaient riposté en ouvrant le feu au FAMAS, blessant le conducteur au bras et à la jambe.

Plus longtemps en arrière, on se souvient des horribles meurtres perpétrés par Mohamed Merah les 11 et 15 mars 2012. Il avait assassiné trois soldats du 1er RTP à Toulouse (Imad Iben Ziaten) et du 17e RGP à Montauban (Mohamed Farah Chamse-Dine Legouad et Abel Chennouf, blessant très grièvement Loïc Liber).

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Francisko

Il y a longtemps, très longtemps, des actes de violence étaient commis à l’école primaire de la République contre le malheureux petit français ( on ne disait pas encore « petit blanc » ) habitant les quartiers défavorisés parce qu’un fils d’immigré turc avait juré de mettre un oeil au beurre noir à tous les petits français ( eux seulement et pas les autres ). Un par jour. Pas un instit ne bougeait et je m’étais inquiété de tous ces yeux au beurre noir jour après jour. J’ai enquêté et un petit français a osé me dire qu’il savait ce que tout le monde savait sans bouger ( C’est vrai qu’il y avait très peu de titulaires dans ces contrées déclassées et que les remplaçants arrivaient en colère et en gueulant généralement d’être nommés là pour quelques semaines. ).

Je me souviens m’être délivré d’une bonne grosse baffe gauloise ( de celles que j’avais moi-même prises parfois même par un principal de college… ) publiquement et d’avoir commis l’irréparable… J’avais même le toupet à l’époque de réclamer que des jeunes filles voilées ne soient pas dispensées de piscine, en tout cas pas sous mon autorité : la Directrice s’etait précipitée pour me rendre ce service !

C’était il y a très très longtemps, c’était il y a 35 ans. C’était dans des banlieues éffroyables où les poubelles volaient par les fenêtres, où tout était vandalisé ( mais on entend dire aujourd’hui des reponsables associatifs décreter que ces immigrés ont été accueillis comme des cochons, le verbe haut ).

Avant, il y avait eu les rixes de rue où se faisant taper une cigarette et la donnant, celle-ci était jetée à terre et écrasée, parce que  » nous aussi, on en a, des cigarettes !  » ! Et déjà à l’époque l’Omerta, le déni…

Puis on s’est avancé dans la République mitterandienne avec SOS racisme, on a culpabilisé les français comme jamais. On a entendu un mot qu’on avait jamais entendu :  » on était raciste  » et c’était grave ! On pouvait se faire tabasser que pour ça, d’ailleurs, sans avoir même prononcé le début d’un mot ! On s’est dit qu’on était raciste et qu’il fallait se soigner !

Courant et fin de la décénnie 90, on entendait déjà de drôles de trucs, une sorte de fraternité très particulière avec un décodage de l’Occident très particulier, c’est là que j’ai appris que  » c’était l’ANGLAIS qui avait mis LE JUIF en Israël « , persuadé que nous savions et etions sans doute complice. Et c’était important ! ! Je crois bien que c’est à ce moment que j’ai identifié Israël et les juifs ! Et j’étais intrigué par ce singulier très particulier, LES juifs, je l’aurais admis, mais LE JUIF, ça passait pas !

Je ne sais plus si c’est à ce moment-là que sont arrivées les BM rutilantes ou après que l’on ait proclamé le  » black, blanc, beur.  » Je n’avais rien contre le black blanc, beur, mais je ne comprenais pas le black et le beur ! On m’avait dit qu’à la Courneuve, les blacks occupaient le fond du panier tancés par les beurs, mais pourquoi les beurs cherchaient-il tant à s’attacher le soutien et l’appui des blacks, que, par ailleurs, j’avais toujours considerés comme dignes et pacifiques. Moi, je n’avais pas de voiture, mais je pouvais admirer les scooters de rêve et les BM qu’on pouvait soupconner être financées par des activités pas forcément très licites. Le marché de la drogue, très lucratif pouvait servir, à ce qu’on comprenait, à acheter une forme de paix sociale et fournir d’autre part les moyens d’une intégration sociale plus souple et plus aisée. Les juges ne rechinaient pas à plier aux exigences d’enfances douloureuses et troublées pour justifier des casiers longs comme le bras. personne n’y voyait offense pourvu que la justice sociale y trouve son compte !

Ce n’est que plus tard que la prison affichera des scores, aux dires mêmes des gardiens de prison, frôlant les 70%. Pour le moment, tout va bien, les instits ont refilé le bébé aux policiers qui voient déjà la certitude de la guerre civile, néanmoins, mais s’y accomodent. Les policiers se taisent, la paix sociale est achetée. Il n’y aura que l’épisode des chiens dangereux ( les Rottwilers ) avec des elevages clandestins pour ternir ce calme apparent.

On dénote tout de même que quelque chose a changé dans nos contrées, la sociologie ne s’y retrouve plus, bientôt, on exaltera la coupe du monde de football et si la sociologie change, c’est sous l’effet d’une forte poussée démographique et plus souvent encore par le travail, ceux des premiers immigrés arrivés par cargos entiers ( les anciens en livrent le témoignage aujourd’hui ) et on constate maintenant dans les entreprises, quand on a la chance d’y bosser par interim qu’une insertion professionnelle tout à fait spectaculaire a eu lieu, en douceur !
C’était l’époque tapageuse où les profs de français valorisaient à l’extreme la moindre production verbale ou écrite pourvu qu’elle exprime ou vienne de la di-ver-si-té. Qu’un petit français ( blanc ), du terroir quoi…, ouvre la bouche et c’était tout de suite moins bien ! Ca sentait la génération tapis rouge et il n’y avait rien à y redire, la justice sociale, encore et toujours !

La transition au deuxième millénaire se présentaient sous les meilleurs auspices si ce n’est bien sûr les tours jumelles, mais la CIA avaient plus d’un tour dans son sac, quand on se demandait encore de quoi le siècle pourrait bien être fait. On fit alors la connaissance du conspirationisme, on entendait parler d’aliens, de conspiration mondiale, de satanisme, de protocole des sages de Sion, c’était effrayant, de mauvais goût et souvent mal écrit. Les américains n’avaient pas atterri sur la Lune, mais c’est parait-il, une certitude dans les pays du Magrebh. Il paraitrait mêm que l’Hyper-casher, ca a été tourné après la capture de Coulibaly, mais si !, voyons, quand il lève les mains, on le voit menotté…

Mais à dire vrai, début 2000, on en était encore à se demander si ‘lintégration n’avait pas finalement réussie bel et bien, quand certains en étaient déjà aux hadiths ! Le coupeur de tête de Lyon s’y adonnait à peu près à cette époque, mais taisons cela, pour le moment on ne sait rien et on ne reverra tout cela que lorsque les banlieues brûleront. Les manifestants ont un mauvais genre, ils sont entorchonnés et revendiquent l’émancipation des conditions de vie odieuses qui leur sont faites, nous, on aimerait bien ne pas se faire crâmer la bagnole qu’on a fini par se payer…

Bon, de toute façon, on y peut rien si elle crame, et puis il y aura bien pire, il y aura une séquestration douteuse, dans une banlieue douteuse, un mois de janvier froid et douteux, un entrefilet douteux radiodiffusé où l’on dit du bout des levres et comprend trop bien, en frissonnant ( j’en frissonne encore de ce frisson ) que la communauté juive est rançonnée à je-ne-sais-quel-motif. Mourra-t-il, ce on-n’est-pas-sûr -de-ce-qu’il se-passe-exactement, oui, il mourra, dénudé au pied d’une voie ferrée…

J’ai pas mis une demi-seconde pour comprendre, ça m’a touché directement au coeur, sans la moindre alternative, c’était moins fort que pour Beregovoy ( là, j’avais eu le fax avant de savoir ) mais ce frisson-là se reconnaissait entre tous, mais en quoi étais-je donc concerné, hein ? :  » ca y est, ça recommence… « .

Quand Merah flambera à bord de sa belle bagnole et tuera des petites filles à bout touchant, il est déjà tard, bien tard que les événements préssentis 35 ans plus tôt prennent une autre tournure, il faudra pleurer 4 victimes juives, innocentes et sans défense et quelques militaires du rang au service de la France.

Aujourd’hui, la Police n’en peut mais et vous déclare tout de go qu’on ne peut rien par manque d’effectif et que la réponse est dans les urnes sous la pression hierarchique, : ne leur demandez rien, ils ne peuvent pas, point barre et les graphities antisémites les assoment, ils sont débordés et vous pouvez pas remettre, par l’amour de D. ? On est en 2010, et l’emersion de la cause palestinienne fleurit sur les réseaux sociaux accessibles depuis tout bon ordinateur. J’ai vécu cette importation en directe qui justifie toutes les déviances, toutes les outrances. On en est pas encore à lIislamisme, les voiles ne sont pas encore monnaie courante, mais les altercations entre voisins vont bon train, l’agressivité étant d’ailleurs hors de portée, c’est Aljezirah qui rythment le quotidien de nos rapports parfois tendus avec les voisins : car non seulement on est raciste, mais on est des NAZIS, pas moins ! La guerre de Gaza se propageait dans les coursives des immeubles hexagonaux et je me suis souvent demandé comment et pourquoi j’étais concerné par ces bouffées de haine pulverulante !

C’est peu après qu’un dépoussierage de responsables associatifs du 9-3 a dû avoir lieu, car le hasard de l’histoire m’a mis nez à nez avec eux. Je pensais encore aux blague sur le prophete réalisable, mais j’eus des déconvenues, j’appris qu’Ismaël était bien avec Abraham pour un sacrifice sur le Rocher et qu’en douter pouvait signifier la mort : c’est à ce moment-là d’ailleurs, que, pour la première fois de ma vie, je me suis armé, pour me rendre sur mon lieu de travail !

C’était peu de temps avant, finalement, l’execution des dessinateurs et que les policiers ne repassent le bébé à l’armée. C’était un long périple, commencé il y a longtemps, bien longtemps, pour écrire une histoire déjà écrite, inexorable, d’une évidence sans tache mais que beaucoup ont payé leur retraite à faire croire autre chose aux autres.

Aujourd’hui, rien ne pourra arrêter le crash inévitable !

trender

L’AFP est-elle sur place pour demander une retenue des officiels français ou pour travestir les faits…comme elle sait si bien le faire …

A force de stigmatisations des déséquilibrés en tout genre, la France fini par recevoir sa juste récompense de son ignominie , de ses mensonges et de sa collaboration avec les financiers de l’Islam radical…

Car le prochain attentat de masse est en préparation….mais c’est encore Israël qui sera critiqué et cloué au pilori , alors que l’Iran sera encensé…. viendra un temps ou tous ces manipulateurs et menteurs patentés devront rendre des comptes , où est donc Hamon le petit benêt….sans doute au chevet du « terroriste en herbe » qui regrette de ne pas avoir pu tuer plus de militaires…?