Oren Dobronsky : Nous devons gagner quoi qu’il en coûte

Pour  » Oren Dobronsky : « Nous devons gagner à tout prix, même au risque qu’une partie des otages ne revienne pas »

Le fondateur et panéliste du programme sur les requins, Oren Dobronsky, a écrit dans un article qu’il a intitulé « les malfaiteurs qui essaient de tout faire pour que nous n’entrions pas à Rafah », entre autres « ceux qui crient ‘accord maintenant’ (à tout prix). « . Selon lui, nous devons « agir avec fermeté comme si nous n’avions pas de personnes enlevées à Gaza, c’est la meilleure chance de les récupérer ». Et tandis que les Américains désapprouvent une vaste opération à Rafah, il appelle à la transformer en une « ruine totale ».

Au milieu des informations faisant état d’une nouvelle proposition égyptienne d’accord pour la libération des otages, et après que le Hamas a publié une autre vidéo de terreur psychologique de deux otages, l’entrepreneur de haute technologie Oren Dobronsky, qui participe également au panel de l’émission de téléréalité. « Les Requins » a écrit un article dans lequel il clarifie sa position concernant l’opération nécessaire à Rafah et la question des personnes enlevées, qui a provoqué un tollé public.

« Israël, le gouvernement, l’armée israélienne, ses commandants et ses soldats : tous les méchants tentent de tout faire pour nous empêcher d’entrer à Rafah. Des étudiants « idiots utiles » des universités américaines, à l’administration américaine qui veut apaiser les Iraniens à tout prix, aux Iraniens et à leurs émissaires qui ne veulent pas perdre l’atout appelé Hamas, à ceux qui crient « accord maintenant » ( à tout prix) aux extrémistes parmi nous qui sont prêts à perdre la guerre juste pour ne pas accorder de crédit à Bibi, ils montent tous le volume au maximum pour faire pression pour qu’ils n’entrent pas à Rafah », a-t-il écrit au début de l’article. « Par conséquent, il est très clair que nous devons entrer dans Rafah et éliminer le Hamas à tout prix. Réussirons-nous à tuer tous les membres du Hamas, probablement pas. Mais nous en éliminerons un grand nombre et cette fois également de leur couche dirigeante. »

Selon lui, « nous le devons à la mémoire de tous ceux qui ont été assassinés le 7 octobre et à la mémoire de tous nos saints soldats qui ont sacrifié leur vie dans la guerre jusqu’à présent. Arrêter serait une honte pour tout ce qu’ils ont fait et ont sacrifié ‘Je traquerai mes ennemis et les détruirai et je ne reviendrai que lorsqu’ils seront morts.' »

Dobronsky a de nouveau clarifié dans son message sa position sur la manière dont Tsahal devrait agir à Gaza : « En plus d’éliminer les membres du Hamas, Rafah devrait ressembler aux autres zones que nous avons « nettoyées » à Gaza, une ruine complète. Les habitants de Gaza devraient se souvenir de cette guerre comme de leur « deuxième Nakba » et graver dans leur conscience collective le sens de ce qui arrive à ceux qui massacrent les Juifs, ce qui arrive lorsqu’une organisation terroriste extrémiste comme le Hamas est élue au pouvoir. Ici, vous verrez la belle vie des Palestiniens en Cisjordanie comparée à vos souffrances à Gaza. »

Il appelle les commandants de Tsahal : « Ignorez le bruit de fond extérieur et opérez avec la force la plus forte jusqu’à présent. Encore plus fort que vous avez agi dans les autres secteurs. Préservez au maximum la vie de nos soldats. Lorsqu’il y a un dilemme entre risquer nos soldats ou la population de Gaza, il n’y a pas lieu d’y réfléchir à deux fois. La sécurité de nos soldats passe avant tout. La population palestinienne ne devrait pas du tout se trouver dans les zones de combat et si elle choisit de rester contrairement aux instructions, ce sont elle qui se suicideront. Lorsqu’il y a une opportunité de bombarder depuis les airs, faites-le autant que possible ! »

Vers la fin du message, Dobronsky suggère « d’agir avec fermeté comme si nous n’avions pas d’otages là-bas ». Il explique cela en disant que « ils sont très probablement conservés dans les tunnels comme la carte la plus précieuse pour la sécurité des dirigeants du Hamas et qu’il n’y a donc aucune crainte de leur nuire au-dessus de la surface ».

Il a ajouté que « cette guerre doit être gagnée à tout prix et le Hamas doit être détruit jusqu’au dernier de ses commandants et de ses soldats, même au risque que certaines des personnes enlevées ne reviennent pas. Il n’y a rien à faire. Cela fait terriblement mal », a-t-il ajouté. C’est comme ça en temps de guerre. La victoire contre le Hamas est le but ultime.

« Aussi paradoxal que cela puisse paraître, je crois que la meilleure chance de renvoyer les personnes enlevées passe par une opération militaire folle et sans compromis. Ce n’est que lorsque les dirigeants du Hamas sentiront que l’épée est vraiment sur leur cou qu’ils entameront de véritables négociations pour le retour des personnes enlevées, en attendant, ils jouent avec nous. »

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