« La France est comme une cocotte-minute »: dans les jungles de béton où l’extrême pauvreté a peut-être alimenté les émeutes
Plus de 200 000 personnes vivent dans les soi-disant « cités » à la périphérie de Marseille – où les familles sont à l’étroit dans de minuscules appartements et où la drogue fournit un revenu stable.
Dans les cités marseillaises, les ennuis couvent. Les fusillades sont fréquentes et le cannabis et la cocaïne fournissent un revenu stable.
Nous sommes venus à Frais-Vallon dans les quartiers nord pour en savoir plus sur les défis auxquels est confrontée l’une des zones les plus pauvres de France. Notre guide, Amine Kessaci sait à quel point cela peut être dangereux ; son frère est tombé dans la drogue et a été assassiné en 2020.
Plus de 200 000 personnes vivent dans les soi-disant « cités », des jungles de béton privées aux abords de la deuxième ville de France. Négligés pendant des décennies, les transports publics sont limités, tout comme les emplois, l’éducation et les opportunités.
M. Kessaci pense que l’isolement et la frustration ont contribué à alimenter les récentes émeutes et pillages après que la police a abattu l’adolescente Nahel Merzouk ( NDLR le nom qu’aucun média ne donne) à Nanterre la semaine dernière.
« Au début, c’était une question de justice pour Nahel, mais maintenant ils ne savent même plus pourquoi ils se battent. C’est toutes sortes de choses qui se mélangent. La France, c’est comme une cocotte-minute, nous avons ajouté et ajouté et ajouté, mettez le couvercle, et le couvercle s’est envolé », dit-il.
Le bloc devant nous sur le domaine tentaculaire compte 21 étages.
Les familles sont à l’étroit dans six petits appartements claustrophobes par étage dans le vieil immeuble fatigué. Le crime fait de nombreux quartiers des quartiers nord des zones interdites.
L’extrême pauvreté augmente encore la pression. Lorsque la loi et l’ordre ont été rompus la semaine dernière, certains ont vu une opportunité. « Je pense que puisque tout le monde casse tout, ils en profitent pour aller piller », explique la belle-sœur de M. Kessaci, Tamara.
Elle connaît des hommes du domaine qui ont rejoint les gangs qui pillaient les magasins de la ville vendredi.
La police n’est pas dissuasive.
La cabane qui abritait autrefois les agents communautaires est fermée depuis longtemps et la relation avec la police est inexistante. La fusillade de M. Merzouk a amplifié les plaintes concernant des officiers racistes, car de nombreux habitants de ces domaines partagent son héritage nord-africain et se sentent visés. Ce que les syndicats nient.
« Il y a peut-être des problèmes à la marge, j’insiste, à la marge, une sorte de discrimination résiduelle. Peut-être. Mais ce n’est pas prouvé. Syndicat de police SGP.
Le gouvernement a fait appel à des policiers supplémentaires pour rétablir le calme et sévir contre les fauteurs de troubles.
Kessaci a créé l’Association Conscience, une organisation qui aide à offrir aux habitants des quartiers nord de meilleures opportunités et une meilleure formation. Il pense que toute paix à Marseille sera de courte durée à moins que les inégalités de longue date ne soient corrigées.
« Nous ne pouvons pas appeler au calme pour les gens qui n’ont rien d’autre à perdre. C’est vraiment tout – ces jours-ci, la moitié de ces enfants n’ont rien à perdre. Lorsqu’ils sont arrêtés, emmenés en prison, tués , ils n’ont pas vraiment de vie, donc ça ne changera rien. »
En 2021, le président Macron a promis 5 milliards d’euros pour embaucher plus de policiers, rénover les écoles et les espaces publics et améliorer le réseau de transports publics. Le mois dernier, il a passé trois jours à Marseille et a promis un autre coup de pouce pour les domaines mais ce n’est pas suffisant pour M. Kessaci.
« L’Etat nous a abandonnés. Ils ont abandonné les quartiers », dit-il.
Mais c’est un discours victimaire qui n’a lui aussi plus de sens. D’autres types de populations vivent dans les mêmes citées, et elle font l’effort de s’intégrer sans jamais passer à la violence. Sur ce point important, il y a un silence assourdissant.
JFORUM.fr
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De jeunes chômeurs refusent des travaux salariés, parce qu’en échange de leur peine ils gagneraient moins qu’avec les aides sociales. Les travailleurs sont dans le collimateur du fisc, qui prend l’argent ou on peut le prendre, dans les poches des gens qui ne sont pas assez riches pour se défendre, et cela vaut pour les professions libérales, les travailleurs indépendants, et l’ homme qui travaille par tous les temps sur les marchés et qui paye plus si il gagne plus en travaillant plus. Le trafic de drogue rapporte beaucoup et n’est pas imposé.
Je propose : la création d’ une école ou régnerait l’ ordre républicain, sans violence ni racket, ou les querelles du dehors ne pénétreraient pas, et ou tous les élèves apprendraient à lire écrire et compter, des notions d’ histoire de géographie et de sciences naturelles, et la morale commune des pays civilisées. Le maintien des aides sociales aux enfants malades, aux malades et aux infirmes, mais pas aux gens en bonne santé, surtout quand de leur métier ils ne font rien. Une répression réelle et qui donne à réfléchir des activités anti sociales. Cela n’aurait aucun effet sur les psychopathes, mais la plupart des gens ne sont pas des psychopathes. L’enseignement de la probité, et les gens en place doivent comme de juste donner l’exemple, et aussi du rationalisme, qui est en recul. Enfin, une immigration incontrôlée qui change le pays sous nos yeux doit être contrôlée et encadrée.
Tout ceci me parait faisable en quelques dizaines d’années, et il faudrait commencer tout de suite.
Il existerait un danger possible de troubles sérieux, pouvant aller jusque à l’ insurrection de quartiers entiers, jusqu’au séparatisme au nom de l’ islamisme, jusque à des pillages, des incendies volontaires, des combats avec mort d’ hommes, et peut être même des manquements à la politesse et l’ ordre public.
Mais je me rassure en admirant nos Chefs d’ état, M Macron, M le ministre de l’ Education nationale M Pap Diaye, notre opposition de gauche, la NUPES, si éclairée, si judicieuse, si patriote et si raisonnable, avec des personnes comme M Mélenchon, Mme Rokhaya Diallo, Mme Bouteldja ( qui veut envoyer tous les sionistes au goulag, l’ idée a peut être de l’avenir ) et M Aurélien Taché qui écrit dans le Monde ( il y a trois jours il a démontré qu’il n’existait aucun lien entre immigration et délinquance et que la colère des jeunes était légitime ). M Taché propose de sortir des paradigmes biaisés, une idée qui ne m’était pas venue mais que je trouve tout simplement remarquable.
Enfin, que dire de la minute de silence de toute l’ Assemblée nationale, qui a rendu hommage à un délinquant récidiviste qui venait de mettre en péril la vie de plusieurs personnes ? Ce fut une action forte, républicaine, qui a eu un effet d’apaisement immédiat, comme chacun sait.
Avec les aides sociales ,pas la peine de travailler , un peu de petits boulots pour se montrer , »clean » vis a vis de pôle emploi ,et le principal un peu de drogue pour arrondir les fins de mois !
C’est toujours les mêmes qui se plaignent.
C’est toujours les mêmes qui réclament plus d’argent de la part des contribuables francais.
C’est toujours les mêmes qui cassent, brûlent, pillent les équipements mis à leur disposition.
C’est toujours les mêmes qui ne trouvent à travailler que dans le domaine criminel : deal, recel, etc
Il y en a plus que marre de ces gens.
Vous n’êtes pas content. Nous non plus, on n’est pas contents de vous. Barrez vous ! Retournez au Maghreb dont vous venez !
La valise ou le cercueil, comme vous avez dit aux français il y a 60 ans ….
C’est faux, il suffit de voir les vidéos et on voit souvent des noirs et non des arabes.
Parler d’extrême pauvreté dans le pays champion du monde de la redistribution sociale, c’est un peu fort.
Un problème maghrestiniens se profile. a l’horizon. Bonne rigolade.