sans-titrefgdhjkiVoici l’icône du profil Facebook de Sohaib Fayyad employé de l’UNRWA, qui vit à Khan Younis

sohaib2

Fayyad, poste de nombreuses vidéos anti-Israéliennes et des liens avec l’Agence d’information Shehab et fait clairement la promotion de la guerre des couteaux en incitant les arabes à assassiner des Juifs.

Son profil montre aussi des dessins de jets de pierres associés aux couleurs du drapeau de l’OLP avec un base-line proclamant que « l’Intifada a commencé »:

sohaib3

Il semblerait qu’il s’inscrive ainsi dans le courant dominant qui anime les autres employés de l’UNRWA tel qu’il s’exprime depuis des mois maintenant – et qui soutient allègrement la violence contre les Juifs.

En surfant sur le compte FB de 2 autres employés de l’UNRWA, deux enseignants, on peut vérifier qu’ils ont également choisi d’exprimer des odes à la violence sur leur mur ainsi que posté des photos éloquentes.

Compte tenu des objectifs de neutralité énoncés par l’UNRWA, et qui relèvent de son devoir, on serait en droit d’attendre que leurs employés qui se définissent littéralement par la violence – comme on le voit par le choix de leur photos de profil sur Facebook – devraient être licenciés. Comme cela fut le cas pour un enseignant aux Etats-Unis après qu’il ait choisi comme photo de son profil, le logo d’un gang notoirement violent.

Mais l’UNRWA ne fera rien et il semblerait qu’il n’exige même pas de ses employés de retirer ces images et ces slogans parce que cela pourrait mettre en péril ses juteux financements. Et après tout, que sont la défense des idéaux de l’ONU dont ils se clament les ardents défenseurs à côté de l’argent, qui bien la seule chose qui les intéresse.

D’ailleurs, l’UNRWA s’est fendu d’une déclaration ce lundi se disant « profondément alarmé par l’escalade de violence et la perte de vies civiles dans les territoires palestiniens occupés, y compris Jérusalem-Est, et en Israël. »

L’UNRWA, qui prétend travailler à atténuer et résoudre le problème des réfugiés palestiniens de 67, affirme chercher à «mettre l’accent sur le « manque d’espoir parmi la jeunesse palestinienne » – sans mentionner les pulsions terroristes meurtrières qui animent cette même jeunesse.

La déclaration de l’UNRWA qui dénonce la mort de Palestiniens au cours de ces derniers jours – décès qui sont survenus après que les-dits palestiniens aient commis des attentats terroristes contre des israéliens, omet de mentionner les quatre morts israéliens et les nombreux blessés israéliens qui ont succombé dans ces attentats palestiniens meurtriers.

Levée de fond pour les terroristes à l’ONU

Exactement comme l’ONU qui exposait son inimitié du côté israélien. Lors d’une conférence au Siège de l’ONU à New York cette instance internationale a soulevé pas moins de 100 millions de dollars pour les l’UNWRA auprès de 22 pays différents. 80% proviennent des européens dont quelques 40 millions de dollars de la seule Suède, et 30 millions de dollars de l’Italie et la Belgique.

L’UNRWA prétend les destiner à l' »Éducation, santé, secours et services sociaux pour les quelques 5 millions de réfugiés palestiniens en Jordanie, au Liban, en Syrie, en Cisjordanie et dans la bande de Gaza ». Mais dans les faits elle ne traite que les réfugiés palestiniens – à savoir, les Arabes qui ont perdu leurs maisons à la suite de la guerre de 1948, majoritairement ceux qui ont été encouragés par d’autres pays arabes à les quitter. L’autre organisation onusienne pour les réfugiés, le HCR, traite de tous les autres millions de réfugiés à travers le monde.

Pour mémoire….

Les deux organisations ont différentes définitions du mot «réfugié». Le HCR n’appelle ‘réfugiés’ que ceux qui ont été forcés de quitter leur «pays d’origine» dont ils détiennent la nationalité, en raison de la guerre, des régimes totalitaires et autres, et qui n’ont aucun autre foyer national.

La définition de l’UNRWA est tout autre : «Tout Arabe qui a quitté Israël en 1948, et qui y résidait deux ans [même si il n’en détenait pas la nationalité – ed.], Seront également considérés comme réfugiés – lui et ses descendants [italiques ajoutés ]. « 

Cela signifie qu’un arabe venu dans en Palestine sous mandat Britannique pour y travailler en 1946, a quitté le territoire devenu  l’Etat d’Israël en 1948, est toujours répertorié dans les registres de l’UNRWA comme «réfugié» – ainsi que ses enfants et petits-enfants, et ce même si entre temps il est devenu lui et/ou sa descendance, citoyen d’un autre Etat, Américain par exemple. Il lui suffit d’y avoir vécu pendant seulement deux ans pour bénéficier à vie de ce statut et des droits qui vont avec.

Le HCR, qui vient en aide à «des dizaines de millions de réfugiés, » emploie 9.300 personnes dans 125 pays, soit un pour 2.850 réfugiés (sur la base de  25 millions de réfugiés).

L’UNRWA, d’autre part, se targue d’être « l’un des plus grands organisme des Nations Unies, avec plus de 30.000 employés travaillant dans cinq domaines d’exploitation» –  et mettant un employé à disposition de 167 réfugiés.

Un antisémitisme toléré et entretenu

L’organisation est régulièrement sous le feu des critiques pour « diffusion de contenu et de caricatures antisémites sur Internet et comme nous l’avons fait remarqué ci-dessus, d’inciations à l’assassinat des Juifs », selon UN Watch, qui surveille les violations des droits de l’homme aux Nations Unies.

Malgré tout, Mogens Lykketoft, Président de l’Assemblée générale de l’ONU, dans son allocution lors de la conférence qui a organisé cette levée de fonds a remercié les pays donateurs pour leur soutien constant à l’UNRWA en soulignant qu’ « il est temps de changer de paradigme:. l’UNRWA doit être renforcée et non pas affaiblie et ses besoins soutenus par les Nations Unies ».

Mais des Palestiniens tels que Mudar Zahran, Secrétaire général de la Coalition de l’opposition jordanienne, s’insurgent contre cette politique d’assistanat : « L’UNRWA est le pilier de ce soutien qui condamne les palestiniens à être des éternels réfugiés et les confortent dans un statut méprisable ».

sans-titre --èè

Dans ce contexte on ne s’étonnera pas que Mounir Kleibo, un Palestinien employé depuis 7 ans par l’ONU et délégué de l’OIT à Jérusalem, Ramallah et Gaza, haut fonctionnaire de l’Organisation internationale du Travail, une agence de l’ONU, qui défend les droits des travailleurs dans le monde entier ait affiché ses opinions pro-palestiniennes sur sa page Facebook.

Selon le site NGR il a été blessé au visage le 7 octobre sur une route de Samarie par des jets de pierres lancées par des Palestiniens. De l’hôpital israélien où il a été soigné, il a publié sur sa page Facebook, un post demandant à Dieu de pardonner aux lanceurs de pierres.

untitled

Un porte-parole du ministère des Affaires étrangères israélien a réagi en déplorant que « l’ONU ne condamne pas les jets de pierres ». « Nous sommes encore plus choqués qu’un haut fonctionnaire de l’ONU, victime de la violence palestinienne continue de la soutenir sur sa page Facebook », a ajouté le porte-parole.

JForum ©

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires