RN défenseur des Juifs et Attal des gredins de Sciences-Po

Blocage de Sciences Po Paris par des étudiants propalestiniens : Sylvie Retailleau, une ministre dépassée

Dans la tourmente après le blocage de Sciences PO Paris par des étudiants propalestiniens, la ministre de l’Enseignement supérieur peine à gérer les crises et évite les controverses. Un désastre en termes d’image et de communication.

Sylvie Retailleau est une ministre en difficulté qui n’apprécie pas les dossiers médiatiques, les controverses et l’attention publique. Elle avait déjà tardé à réagir lorsque l’Union des Étudiants Juifs de France avait révélé qu’une étudiante avait été empêchée d’entrer dans un amphithéâtre parce que juive. Une ministre de poids se rappelle : « J’avais proposé une réaction conjointe. Son cabinet a préféré qu’elle agisse seule et sans utiliser le mot antisémitisme. » Ce n’est pas un cas isolé. Lorsque l’université de Bordeaux a été saccagée, elle n’a pas réagi.

Cette incompétente notoire qui est complaisante avec les idiots utiles au service des frères musulmans aurait dû être virée depuis longtemps. Le seul fait qu’elle soit maintenue à son poste montre la duplicité du gouvernement à commencer par le Premier Ministre.

Quant à Macron on sait depuis longtemps que le brave jeune homme ne sait pas où il habite. Il dit une chose à Tel-Aviv et une autre au Caire.

On finira par croire que pour être un bon dirigeant il vaut mieux avoir comme arme le bon sens plutôt que des études qui déstructure le cerveau. C’est ainsi qu’aux Etats-Unis l’un des meilleurs présidents fut Ronald Reggan comédien de série B à l’origine de la défense anti-missiles dont Biden à l’époque se moquait, sans parler de Trump par rapport à Obama.

C’est ainsi qu’en France,  Hollande et Macron deux énarques ont fait le lit du RN !

Macron a reconnu lui-même l’échec de l’ENA.

“L’ENA ne forme pas, elle classe”

D’une vingtaine de pages, le document d’Emmanuel Macron et de ses camarades dressait en effet un état des lieux sans concession des enseignements dispensés par leur prestigieuse école et plus globalement de son organisation et des modalités d’accès à la haute fonction publique.

“Nous n’acceptons pas, y soulignaient-ils, que l’ENA dispense une scolarité au rabais, qui n’est que l’alibi d’un concours de beauté organisé par les divers corps de l’État venant chercher la confirmation annuelle de leur propre prestige : miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est le plus beau”.

Les élèves disaient aussi “ressentir un profond sentiment de gâchis” et estimaient “avoir été insuffisamment préparés aux fonctions” qu’ils allaient être amenés à assumer. Surtout, ils considéraient qu’en matière d’évaluation, l’ENA “laisse trop de place à l’arbitraire”, “apparaissant comme un concours d’entrée suivi d’un concours de circonstances”. “L’ENA ne forme pas, elle classe”, ajoutaient-ils.

Que dire de Sciences Po, où à côté d’étudiants motivés on trouve des idiots utiles, ignorants de tout et vociférants en cœur avec les frères musulmans, sans comprendre les paroles qui sortent de leur bouche, tout en étant applaudis par leur direction et leur ministre de tutelle.

Face à cette chienlit comment ne regarder à droite !

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