Iran: derrière la ligne dure de Trump, la tentation d’un changement de régime?
Le président américain Donald Trump à la Maison Blanche, à Washington, le 08 mai 2018
afp.com/SAUL LOEB
Washington – En se retirant de l’accord sur le nucléaire iranien, Donald Trump se fie une fois de plus à une stratégie de « pression maximale » et libère les voix des « faucons » qui plaident purement et simplement pour oeuvrer à un changement de régime à Téhéran.
Le président des Etats-Unis a bien orchestré son annonce, précipitée pour coïncider, mardi, avec une « bonne nouvelle » pour la diplomatie américaine: la visite surprise de son secrétaire d’Etat Mike Pompeo en Corée du Nord afin de préparer son sommet à venir avec Kim Jong Un et obtenir la libération de trois prisonniers américains.
Le message est clair. Donald Trump pense que la « campagne de pression maximale » mise en place contre Pyongyang, mélange de sanctions internationales drastiques et de menace militaire porté par son propre discours musclé, a poussé le dirigeant nord-coréen à accepter de négocier une « dénucléarisation« .
Il semble donc vouloir réitérer son « coup » avec l’Iran, en rétablissant toutes les sanctions levées en échange de l’engagement de Téhéran à ne pas se doter de la bombe atomique et en laissant planer la menace de nouvelles mesures punitives.
Objectif affiché par son conseiller à la sécurité nationale John Bolton: « Mettre le plus de pression économique possible sur l’Iran » afin d’obtenir un meilleur accord que celui jugé « désastreux » par le président américain, et aussi pour mettre fin aux activités « déstabilisatrices » de Téhéran au Moyen-Orient.
C’est la mise en musique de sa « doctrine » officielle: « la paix par la force« .
Seulement, si tant est que l’ouverture nord-coréenne porte ses fruits, les situations ne sont pas comparables. La Corée du Nord est déjà à un stade avancé pour être une puissance nucléaire, tandis que l’Iran s’était justement engagé par écrit à ne pas suivre cette voie.
Et si Washington a réussi à coaliser la communauté internationale contre Pyongyang, il se met à dos ses plus proches alliés européens en claquant la porte de ce compromis avec la République islamique arraché de haute lutte en 2015.
– « Doctrine de la patate chaude » –
Sans l’appui de l’Europe, « toute la pression économique que pourront exercer les Etats-Unis sur l’Iran sera moins forte qu’avant l’accord« , notent dans une récente tribune dans le Washington Post Vipin Narang du Massachusetts Institute of Technology et Colin Kahl de l’université de Stanford.
Surtout, « que veut exactement obtenir l’administration Trump?« , s’interroge Patrick Clawson, du Washington Institute for Near East Policy, doutant que sa décision réponde à « une stratégie structurée et documentée« .
« Les Européens découvrent progressivement la doctrine +de la patate chaude+ qui guide Trump« , explique Célia Belin, de la Brookings Institution. « Il ouvre de nouveaux fronts diplomatiques, en bousculant des situations souvent stables et en ouvrant des phases d’incertitude et d’instabilité dans le système international, tout en laissant à d’autres, amis ou rivaux, le soin d’avancer des solutions.«
A moins que, glisse-t-elle, l’administration Trump n’ait en fait comme vrai objectif de parvenir à « un changement de régime » à Téhéran.
Deux petites phrases ont instillé cette idée, chargée de symboles depuis l’intervention de 2003 en Irak pour renverser Saddam Hussein, aujourd’hui largement considérée comme une erreur, y compris par Donald Trump.
D’abord celle de Rudy Giuliani, son avocat personnel, qui devant des opposants iraniens en exil a fait l’éloge le week-end dernier d’un président « dur » qui est « déterminé à aboutir à un changement de régime« .
Puis celle du président lui-même qui, dans son discours mardi, a menacé le « régime » de « problèmes beaucoup plus gros que jamais » tout en estimant que le peuple iranien « mérite une nation qui rende justice à leurs rêves« .
Veut-il donc faire tomber le régime né de la Révolution islamique de 1979, à la suite de laquelle les relations américano-iraniennes ont été rompues? « Oh, je suis sûr qu’il adorerait« , répond Robert Malley, ex-conseiller de Barack Obama et actuel président de l’International Crisis Group.
Dans un entretien avec l’AFP, il relève qu’autour de M. Trump, John Bolton et Mike Pompeo, deux « faucons » qu’il vient de nommer à des postes-clés, « n’ont jamais fait mystère de leur certitude que la seule manière de changer la situation est de changer le régime voire d’intervenir militairement« .
Et à Téhéran, ajoute-t-il, le guide suprême Ali Khamenei « a certainement entendu Rudy Giuliani » et a probablement interprété l’annonce de Donald Trump « comme la première salve d’une tentative de saper voire de renverser le régime«
Par AFP , publié le , mis à jour à
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RACHEL JE SUIS D ACCORD SUR TT…
2 pays sont responsables de la prise du pouvoir par les mollahs de Khomeini: les USA avec le gauchiste Carter un des plus mauvais président des USA qui a laissé faire ces fanatiques barbares mususulmans renverser le Shah d’Iran même si celui ci était un monarque dur et mégalomane
Carter a continué ses nuisances et sa haine contre Israel s’est traduite par des écrits et conférences mensongères et pro arabes
Le second c’est Giscard d’Estaing qui a donné asile et à protégé Khomeini à Neuphles le Château dans la région parisienne pensant tirer profit apres le renversement de Shah d’Iran
Comme d’habitude la France est toujours dans les mauvais coups et Giscard à été le président le plus antijuif et anti israélien et les attentats ont débuté durant son septennat le plus calamiteux de la V ieme Republique monarchique en permettent par le droit du sol et du regroupement familial d’être responsable de l’invasion de la France par les arabes et les noirs musulmans qui ont été les vecteurs de l’antijudaisme en France qui a réapparu avec l’islam et les islamogauchistes qui ont libéré la parole antijuive sous Chirac et Jospin avec en 2000 dans Paris aux cris de mort aux juifs
Sale président responsable du règne des mollahs qu’il faudra renverser et je prie por que Trump, Pomeo et Bolton défasse ce que Carter a fait avec Giscard comme ils ont fait pour défaire ce que le cryptimusulman Obama et son juif converti Kerry ont fait pour renforcer l’islam dans le monde et affaiblir l’Occident en se soumettant à l’irà , Qatar, Syrie…..et à piégé Israel en le critiquant et en s’abstenant l’ONU et en le laissant seul à l’Unescro
C’est la seule solution por que la paix puisse revenir dans cette région dévastée par la guerre
Les noms cites sur le torchon immonde sont les debris du regne d hussein obama , un des pires est robert malley , ne Juif , et devenu anti Juif , ses interventions sont citees dans des torchons , comme le washington post et le n y t .
Quant a eurabia , le but vise est de maintenir a tout prix , comme en 1940 , les relations commerciales avec l iran .
Dire que Trump a besoin des » europeens » pour faire pression sur l iran , est idiot .
Aujourd hui , le monde n a pas a faire a hussein obama et ses adeptes . Trump est la , qu on se le dise !
Ce n’est pas le sujet mais j’ai besoin d’écrire mon courroux et mon dégoût.
Infirmière à la retraite, exilée au Canada chez ma fille et mon gendre car ne pouvant plus supporter
le nouvel antisémitisme criminel en France et les hommes et femmes politiques déconnectés de toute réalité et des gens de la base, vivant en plus sur une planète parallèle, je tiens à préciser à Madame Agnès Buzyn que les opérateurs et opératrices du SAMU sont très TRES majoritairement des agents administratifs payés le plus souvent au SMIC qui n’ont aucune formation médicale ou paramédicale et non des infirmières qu’elles considèrent comme des sous-professionnelles vu le ton méprisant qu’elle employait aujourd’hui sur BFMTV et sur lesquelles elle a voulu se défouler devant les caméras, elle qui croit faire partie d’une caste supérieure parce qu’elle est médecin : l’Etat paie au SMIC ces agents alors qu’il faudrait qu’il paie 200 euros de plus les infirmières et ça, l’Etat ne le veut pas.
Le manque de personnel de santé est criant dans les hôpitaux et cliniques mais elle, elle s’en fiche car il ira se faire soigner, elle et sa famille, dans des hôpitaux cinq étoiles. Elle est la fille d’un rescapé de camp d’extermination : moi, je dis qu’ELLE FAIT HONTE à la communauté juive en se croyant supérieure parce qu’elle est devenue médecin, alors que ses propres parents comme ceux de mes parents étaient considérés comme des êtres inférieurs à éliminer par l’Allemagne nazie, l’Italie fasciste, l’Autriche et la France complices : en une génération, elle a tout oublié et c’est minable et là, on peut parler d’infériorité dans la transmission de la mémoire. Ces JUIFS DE COUR, en général anti-israëliens comme Attali, Stora, car les deux vont souvent de pair, ne pensent qu’à eux et méprisent les juifs, les chrétiens et les athées de classes moyennes et populaires comme je l’ai été : nous ne leur ferons pas de cadeau car ce sont eux qui donnent une mauvaise image à notre communauté.
Pour finir, je lui laisse la maxime suivante : « Il n’y a point de sot métier, il n’y a que de sottes gens. » Et Madame Buzyn Agnès fait partie des sottes gens.
PS : J’avais un énorme doute par rapport au « suicide » de Maurane : elle ne correspondait pas au profil malgré son hypersensibilité, pas comme Dalida dont bon nombre de compagnons et d’amis se sont suicidés et surtout qui était déprimée et désespérée de ne pas pouvoir avoir d’enfants ( « Lucas » ma chanson préférée d’elle).
Infirmière retraitée, je vous jure sur la tête de ma fille que j’ai pensé à l’infarctus massif du myocarde pour Maurane(crise cardiaque) : chez les femmes, ce genre de crise est très sournoise et se traduit par de la fatigue, des maux de ventre, des maux d’estomac et je viens de lire que les médecins légistes belges disent que c’est la cause de sa mort. En plus, on ne se suicide qu’exceptionnellement dans sa baignoire.
Ma compassion aussi avec la famille de Naomi, 22 ans parce que j’ai vécu la même chose avec une amie qui a présenté les signes d’une embolie pulmonaire brutale suite à une intervention abdominale quelques jours auparavant alors qu’elle était rentrée à domicile mais quand j’ai appelé le SAMU et que l’opératrice m’a prise de haut, je savais quoi répliquer : les opératrices n’ont souvent aucune formation médicale ou paramédicale et ne comprennent pas ce qu’est la sensation de mort imminente, en plus celle de Naomi et celle que j’ai eue manquaient sérieusement d’empathie.
Bolton et Pompéo sont des faucons et moi, j’aime les faucons parce que les épreuves de mon enfance m’ont appris à être une fauconne.
PS : Maurane est morte et je suis triste : elle ne mourra pas sur scène comme Dalida (je fais bien sûr allusion à ‘Mourir sur scène. »). La chanson que je préfère de Maurane, c’est : « Tu es mon autre. » avant « Sur un prélude de Bach ».