Lla guerre entre Israël et le Hamas, qui dure depuis plus de trois semaines va-t-elle se terminer par un changement radical de la situation à Gaza ?
C’est la question que l’on peut se poser, au vu des rebondissements quotidiens dans les tractations en cours entre les acteurs de ce ballet diplomatique un peu curieux.
Quelle que soit la nature du cessez-le-feu ou de l’accord, on peut d’ores et déjà tirer quelques conclusions. La plus importante, c’est que, pour une fois, il ne s’agit pas d’un conflit entre Israël et les pays arabes, mais d’un affrontement entre les partisans d’un Islam intégriste et djihadiste et une coalition de pays, dont des Etats arabes Egypte, Jordanie, et dans une certaine mesure, l’Arabie saoudite et l’Etat juif.
L’Egypte est aujourd’hui un allié stratégique d’Israël, au même titre que la Jordanie. Ces deux pays connaissent bien les dangers du djihadisme, notamment depuis les derniers développements en Irak et en Syrie et la reconstitution du califat.
Un historien et diplomate égyptien, qui servit en son temps à l’ambassade de son pays en Israël, déclara un jour qu’il n’existait en fait qu’une seule nation arabe, l’Egypte, toutes les autres n’étant que des tribus auxquelles les puissances coloniales avaient attribué un drapeau.
Les mouvements djihadistes se réfèrent à des sources religieuses antérieures pour rejeter les appartenances nationales qu’on leur imposa depuis plus d’un siècle. Cette référence à la civilisation islamique est également la pierre d’achoppement essentielle des divergences qui opposent aujourd’hui le président américain Barack Obama à Israël. Depuis son élection et le fameux discours du Caire, il n’a de cesse de vouloir placer l’islam au centre des débats, car il estime qu’il représente le patrimoine commun des masses populaires, dont on ne peut faire l’économie pour élaborer des solutions politiques. Il n’a jamais abandonné cette idée fixe.
En soutenant les Frères musulmans, il a failli faire basculer l’Egypte dans le chaos et aujourd’hui il veut imposer la Turquie et le Qatar comme partenaires dans la solution du conflit de Gaza.
Israël, allié stratégique des Etats-Unis, est-il en train de perdre son statut privilégié ?
On peut le craindre si l’on écoute les propos de John Kerry et si on constate que les américains développent leur base militaire à Doha, sans exiger du Qatar qu’il renonce à financer le Hamas, Al Qaida, Boko Haram, et Aqmi. Les scènes de ménage à répétition entre Netanyahou et Obama, immédiatement divulguées à la presse, ne doivent pas nous cacher une réalité, à savoir la situation désastreuse de l’image de marque d’Obama, qui ne sait plus quelle stratégie adoptée pour ne pas perdre les élections au Congrès du mois de novembre. Si les sondages se confirment, il est probable qu’Obama subira sa plus grosse défaite électorale et deviendra alors un président caduc sans majorité parlementaire.
Michaël Bar-Zvi
Chronique du 31 juillet 2014
Daleth be Av 5774
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Mon cher, ce n’est pas la première fois que les USA sabotent les victoires israéliennes. J’étais encore jeune lors qu’après des batailles sanglantes et de lourdes pertes de Tsahal, à la guerre du Kippour (due une fois de plus à l’incompétence et à la naïveté du gouvernement socialiste) l’armée israélienne se trouvait aux portes du Caire ayant pulvérisé la défense égyptienne, a été forcé par les USA à un cessez-le-feu et à un accord de paix avec l’Egypte sous la menace d’ailleurs récurrente de supprimer l’aide financière à Erets Israel. La seconde fois, je me trouvais en Israël, quand mes amis ont participé à l’opération « Paix en Galilée » sous la houlette d’Arik Sharon. Là encore, tandis que la majorité des terroristes avec leur leader syphilitique étaient piégés dans Beyrouth et qu’une occasion unique s’offrait d’éliminer définitivement cette vermine, il a fallu que les USA et l »Europe forcent Israël à les laisser partir en bateau vers la Libye.Encore, des menaces de sanctions contre Israël. Ariel Sharon était furieux et Tsahal aussi.Tout le proche-orient est dans le chaos, depuis les interventions des USA et de l’UE, l’Afghanistan, l’Irak, la Libye – le fameux « printemps arabe »- la Syrie.Partout, ce sont les Djihadistes les grands vainqueurs. En armant le Djihad terroriste contre le président Assad, ce sont ces mêmes armes euro-américaines qui détruisent le proche-orient et qui servent à attaquer Israël. Même si Assad était une triste figure, avec lui régnait le calme à la frontière nord du Pays. Et voilà que maintenant, ils veulent remettre ça, d’abord les USA ont adoubé l’alliance Fatah- Hamas (encore un coup de poignard dans le dos d’Israël), ils ont soutenu l’engeance nauséabonde des « frères musulmans » contre le général {{Al}} {{Sissi}}, qui lui les a mis en prison et passe toutes sortes d’accords défensifs avec Israël. En fait, il serait le seul capable d’endiguer l’avance djihadiste dans la région. Une fois encore, Israël a la possibilité d’écraser ces cloportes, mais les USA et le traître Kerry avec UE qui condamnent Tsahal pour défendre son pays, veulent encore forcer une armistice en vue d’une « paix » probable, une telle stupidité n’a pas de nom, les USA après avoir ruiné le proche-orient sont en train de torpiller Israël, afin d’obtenir les bonnes grâces de l’Iran!! Quel allié extraordinaire!
Il y a un adage chez nous » que Hashem nous protège de nos amis, de nos ennemis nous nous chargeons »
Au lieu de s’occuper des Palestiniens, le Président Obama ferait bien de penser à réparer les dégâts perpétrés par les troupes US en Irak.
Bush a fichu une pétaudière monstrueuse pour l’unique profit des compagnies pétrolières américaines. La contrepartie diabolique, c’est la misère galopante dans la population Irakienne qui commence à regretter la gouvernance de Saddam Hussein, c’est l’holocauste de la population chrétienne, c’est la déliquescence des institutions Sunnites au profit d’un Califat sauvage et improvisé dont seuls les Arabes ont le secret. UBU Roi n’aurait pas mieux fait.
Et par dessus le marché, M. Obama veut nous faire la leçon via un John Kerry maladroit au possible. Franchement grotesque mais tellement US.
Qu’Israël se méfie de lui, c’est son dernier mandat et si il avait une idée derrière la tête il va tout faire pour l’appliquer maintenant.
Plus l’échéance de la prochaine élection présidentielle Américaine approche, plus il devient dangereux.
tout le monde sait que c’est un musulman, le ramadan a du lui etre difficile, quoique il ne fait rien sauf son jogging!un président lamentable , le pays est sans aucun doute dirigé par son épouse!!quand à son état civil sur son lieu de naissance, n’oublions pas que ce sont de simples bouts de papier!!
Personne… sauf ses frères islamistes, évidemment.
LE PIRE DIRIGEANT QUE L’AMERIQUE A SUPPORTE !!!!!
IL A RUINE LE PAYS , MORALEMENT ET DIPLOMATIQUEMENT !!!!
IL EST DETESTE PAR TOUS LES EX-ALLIES DES USA !!
PERSONNE NE CONSIDERE PLUS LES USA COMME CREDIBLES !!
VIVEMENT QU’IL DISPARAISSE DE LA SCENE POLITIQUE MONDIALE , PERSONNE NE LE
REGRETTERA !!!!!
Barack Obama restera dans l’Histoire comme l’un des pires présidents (et ennemi) que les Etats-Unis auront connu . Il a presque atteint tous les objectifs de son premier mandat : ruiner le pays et rendre le monde plus sûr pour les dictatures et l’islam radical. Une idéologie dangereuse sur le plan intérieur comme et surtout sur la scène internationale. Il aura trahi les alliés des USA l’un après l’autre et plongé le monde dans une situation extrêmement dangereuse. Des pays comme la Russie, la Chine, l’Iran, la Syrie ou la Corée du Nord ont rapidement compris à qui ils avaient affaire, et agissent aujourd’hui comme bon leur semble sur la scène internationale. Et maintenant il ne cache même plus ses objectifs d’extrême gauche islamiste . Il restera dangereux jusqu’à sa fin !