Le BNVCA dément une information diffusée de bonne foi par un service de la communauté juive (SPCJ) à propos de l’agression d’un enfant de 12 ans à Paris 19e le 22/10/12.

Le BNVCA tient à rassurer les dirigeants et membres de la communauté juive, inquiétés par une information grave diffusée de bonne foi par un « Service de Protection communautaire »qui faisait état d’une « agression violente commise par 2 hommes » le lundi 22 octobre, vers 8:45 à Paris 19e rue Botzaris, contre un garçon de 12 ans porteur d’une kippa, qui attendait le bus qui l’emmène à l’école « .

Après enquête, le BNVCA peut affirmer que cette agression n’a jamais eu lieu.

Les services de police ont confirmé au BNVCA que la vidéo disposée sur les lieux, ne relevant aucun incident, le mineur prétendument victime a reconnu avoir menti..

Les raisons de son affabulation relèveraient de problèmes psychologiques et familiaux.

BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L’ ANTISEMITISME
8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 0668563029

Le Président

Sammy Ghozlan

il semblerait qu’ici, le SCPJ n’ait pas suffisament vérifié ses informations, en menant une contre-enquête, avant de les diffuser.

On ne peut que le déplorer, s’agissant d’un sujet aussi sensible.

Nous constatons, qu’en matière d’évênements antisémites, Le BNVCA est une source autrement plus fiable, avec des informations qui font l’objet d’une vérification, avant leur diffusion .

Le manque de professionalisme du SPCJ est ici flagrant, malgré sa position privilégiée auprès des institutions, et des subventions conséquentes pour son fonctionnement.

Le contraste avec les conditions difficiles dans lesquelles le BNVCA remplit sa mission est frappant, mené par le méritoire commissaire de Police à la retraite, Sammy Ghozlan.

Un « réequilibrage » serait peut-être souhaitable ?

Thierry Fhima/JForum

Conclusion d’investigation sur une déclaration d’agression antisémite, par un enfant de 12 ans

C. un enfant de 12 ans a déclaré avoir été violemment agressé par deux individus à l’arrêt du bus qui l’emmène à l’école lundi 22 octobre, vers 8:45 à Paris 19e – quartier Botzaris.

Le SPCJ contacté par le père a entrepris les démarches d’investigation et d’accompagnement de l’enfant et de la famille.

Suite à un dépôt de plainte et plusieurs échanges avec le jeune garçon il apparait qu’il a effectivement essuyé des insultes antisémites par deux individus d’une quarantaine d’années, l’un d’origine nord-africaine et l’autre d’origine africaine.

En revanche, la suite de son récit – coups portés – se révèlent avoir été inventés par l’enfant.

La situation familiale semble être à l’origine d’une très certaine détresse de l’enfant, en effet, l’état de santé extrêmement grave de sa maman aurait poussé C. à développer une version aggravée de la situation qu’il a vécue.

L’ensemble des éléments du dossier – insultes antisémites de deux adultes sur un enfant et la souffrance familiale – ne peuvent laisser indifférents, le SPCJ a donc proposé et coordonné un suivi psychologique pour l’enfant et sa famille.

Lundi 29 octobre 2012/ SPCJ Article original

TAGS : Antisémitisme Paris France Violences BNVCA Sammy Ghozlan

Hoax Informations SPCJ Subventions Communauté Juive Démenti

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yacotito

Ce démenti est à l’honneur de notre peuple:
La calomnie nous est en effet formellement interdite par le 9ème commandement:

{{Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.}}

Merci au BNVCA et surtout au père d’avoir rectifié le tir.

Armand Maruani

Il fallait attendre un peu avant de démentir , les actes antisémites sont quotidiens . Pour une fois on les aurait devancés .