Bio et halal ne sont pas compatibles selon le Conseil d’Etat !

Etrange société, qui comme un poulet sans tête court après le bio, en oubliant l’essentiel. Alors que des milliards de personnes engloutissent chaque jour des milliards de médicaments, les mêmes jouent une comédie stupide, en voulant priver les animaux et les végétaux de ces progrès.

Les tenants du bio, devraient s’interdire tout médicament. Voilà qui libèrerait plusieurs doses de vaccins. C’est bien de vouloir la nature au naturel. Mais les mêmes qui sont les chantres de cet hymne à la nature, sont les mêmes à promouvoir sa trahison quand il s’agit d’avoir des enfants comme la nature l’a prévue à savoir un couple composé d’un homme et d’une femme, qui engendre un enfant à leur image. Faites ce que je vous dis, mais pas ce que je fais.

Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les voilà qu’ils font la guerre à l’abattage rituel. Pour eux exploser le cerveau de l’animal est un acte anodin et d’une grande tendresse. C’est bien une société qui a perdu la tête. Malheureusement dans le cadre de la pensée unique, l’abattage rituel qui est le moins douloureux, est poursuivi comme état un acte cruel envers les animaux.

Voilà que le Conseil d’Etat s’y met lui aussi. Il a bizarrement TRANCHE qu’un animal élevé de manière conforme à la norme, perdait son caractère Bio du seul fait que son cerveau n’avait pas été explosé, comme le demande la technique appelée à tord étourdissement, alors qu’il s’agit de la mutilation du cerveau.

Un arrêt de la haute instance estime que l’exclusion du halal du label “ne porte pas atteinte à la liberté de religion et n’est pas discriminatoire”.

Il n’y aura donc pas de viande halal certifiée bio officiellement. C’est l’avis qu’a rendu le Conseil d’Etat en toute fin d’année 2020 en refusant d’accorder la certification « bio » à la viande halal. Cet avis est la conséquence du recours lancé par la société Bionoor, qui commercialisait notamment des steaks hachés bio halal sous la marque « Tendre France », explique Bladi.net. Dans son avis, le Conseil d’Etat estime que « l’exclusion de la certification Agriculture Biologique pour des viandes issues d’animaux abattus sans étourdissement préalable ne porte pas atteinte à la liberté de religion et n’est pas discriminatoire ». L’infirmation a été confirmée par l’OABA (Oeuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs), une association de lutte pour la protection animale qui dénonçait cette certification alors qu’il n’y a pas étourdissement des animaux.

L’association avait obtenu de la Cour de Justice et de l’Union européenne que le label bio ne soit pas apposé sur les emballages de Bionoor en 2019, la Cour estimant que « le logo de production biologique européenne ne peut être apposé sur les viandes issues de l’abattage rituel sans étourdissement au préalable au motif que cette pratique ne respecte pas les normes les plus élevées du bien-être animal ». Dès lors, Bionoor devra lui verser 3000 euros.

Organisme bio…halal

L’OABA qui rappelle que l’utilisation par la société Bionoor de ce logo était dès son origine « dépourvue de base légale ». La société pourra encore saisir la Cour européenne des droits de l’Homme mais ses chances de réussite sont plus que minimes.

Bionoor n’a pas réagi à l’avis du Conseil d’Etat, mais comme le rappelle SaphirNews, elle s’est tournée vers le label AVS depuis 2019, un organisme de certification bio… halal. Leurs normes semblent se rapprocher du bio (parcours extérieur pour les bêtes, espace aéré, alimentation adaptée, pas d’OGM…), mais reste à savoir si la certification perdurera. Car elle garantit seulement que les produits carnés « sont bien issus d’animaux ayant bénéficié de l’application de ces normes de leur vivant, hors abattage, puis abattus rituellement sans étourdissement préalable ».

JForum – Valeurs actuels

 

 

 

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

4 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Élie de Paris

En bref , les Juifs font les frais de l’abattage islamique, qui reflète réellement la…cruauté islamique, mais, pour la paix « sociale » et ne pas faire de discriminations Dans la discriminatoin, tout est mis dans le même sac !
N’importe quel musulman peut égorger un animal tandis qu’un abatteur hébraïque doit, après 7 ans d’étude, recevoir un diplôme et une certification de ses pairs !
Quant au bio, pouffons tous en cœur ! les certifications AB ou Ecocerf sont à vendre, pour labeliser !
Pour preuve, les milliers de produit biocertifiés en train d’être retirés de la vente contenant du sésame toxique contenant 1000 (mille) fois la dose maxima tolérée d’oxyde d’ ethylene, à ne surtout pas consommer (aller sur le site de la DGCRF, ou taper sésame toxique).
Aussi nous nous passerons du label bio…
Ne mettons pas notre tête sur le billot !

Élie de Paris

Chers amis, après entretien avec la Cepasco (Espig), seul le sésame Noir a été impliqué chez Cépasco Espig dans la toxicité. Les nouveaux sachets _sésame noir_ne sont pas concernés, mais ils ne sont pas, malheureusement, identifiés,… peut-être avec la date de consommation ? Lointaine

Alex E. MERALI

Si j’ai bien compris cet article, le Conseil d’État ne met en cause, dans sa décision, que le halal. Reste donc à savoir s’il ne s’agit pas là d’une manoeuvre sournoise destinée à masquer la volonté de mettre en cause, prochainement, notre abattage rituel, en s’abritant alors derrière le principe du « pas de 2 poids 2 mesures ».

LE CHAT DORT

incomprehensible