10 000 réservistes ont annoncé leur retraite de la réserve suite à la législation

10 000 réservistes de 40 unités ont annoncé leur retraite des réserves ce soir.

L’ancien commandant de la 13e flotte, Nebo Erez, a déclaré que « le sentiment est que les lois sur les coups d’État déchirent le peuple, déchirent l’armée. L’unité militaire est en train de disparaître. Si cela continue, nous continuerons sans Tsahal et sans maison ».

Eyal Neve, de l’organisation Brothers in Arms, a déclaré : « Abolir la raison du raisonnable n’est pas corriger le système judiciaire, nous nous sommes engagés à servir le royaume et non le roi. Nous sommes déterminés, nous sommes des combattants, nous aimons ce pays, mais nous n’abandonnerons pas. des moments d’espoir distillé pour l’État. »

Here 11 a rapporté que dans le contexte de la fin du volontariat des soldats de réserve, Tsahal tiendra des pourparlers avec tous les soldats en service régulier au sujet de la cohésion de Tsahal à partir de demain. Tsahal affirme que les dommages causés à l’armée de réserve prendront des années à réparer.

Manifestation dans l’armée de l’air : « Si quelqu’un s’attend à ce que le chef d’état-major renverse les rôles, cela n’arrivera pas »

Des responsables de l’armée ont commenté la menace pour la sécurité associée à la fin du volontariat de centaines de pilotes et d’agents. Sur les pourparlers avec l’échelon politique : « Un dialogue continu et authentique ». Que fera le chef d’état-major Halevi ? « Il n’y aura pas de coup d’État militaire ici »

Les responsables de Tsahal avaient admis vendredi que l’armée ne peut rester indifférente aux 1 142 membres de l’armée de l’air , dont 500 pilotes, qui ont annoncé la fin de leur service dans les réserves suite à l’avancement de la législation sur la révolution légale. Ces chiffres énormes pourraient avoir une grande importance sur la capacité de l’armée à maintenir la sécurité du pays.

« Le modèle de service dans l’Armée de l’Air fonctionne parfaitement depuis 75 ans. Réservistes et réguliers, techniciens et pilotes, ‘vert et bleu' », a ajouté Bar.

« Si quelqu’un s’attend à ce que le chef de cabinet renverse les rôles, cela n’arrivera pas. Il n’y aura pas de coup d’état militaire ici »

« Tsahal est une condition de mon existence. Cette période est très sensible, et en particulier il y a une peur de la façon dont l’ennemi voit la situation, ce qui peut lui faire réfléchir. » L’IDF a abordé l’aspect de la condition physique, qui se détériore de plus en plus à mesure que les pilotes sont absents de leur entraînement régulier : « Nous mesurons tout le temps, mais nous ne connaissons que ceux qui ne se présentent pas », ont-ils expliqué. Il y a un gros effort pour maintenir la cohésion, mais c’est très dérangeant. »

L’armée a même été accusée d’utiliser la manifestation comme une menace pour la sécurité. « Il semble qu’il y ait un mouvement planifié ici qui tente de créer un levier non pertinent, ce qui peut justifier la revendication de ceux qui disent qu’ils essaient de faire plier l’État », ont-ils déclaré. « Il y a une tentative ici de faire pression sur l’échelon politique, et cela peut provoquer le résultat inverse. Il n’est pas juste de jouer avec la sécurité et de lui nuire. Vous pouvez prendre des mesures économiques ou autres avant que la sécurité ne soit compromise. »

Tsahal affirme également qu’il y a des discussions sur la question avec l’échelon politique. « Il y a un dialogue continu et authentique avec l’échelon politique, et ils mettent les choses sur la table. Lorsqu’elle atteint un point dangereux, l’armée présentera les significations et prendra les décisions qui s’imposent ». Mais si quelqu’un s’attend à ce que le chef d’état-major renverse les rôles, cela n’arrivera pas, renverser les rôles n’est pas démocratique. Il n’y aura pas de coup d’État militaire ici.

Dans la réponse officielle donnée par le porte-parole de Tsahal, le général de brigade Daniel Hagari, il a été déclaré que « Tsahal surveille la situation, nous refléterons les implications au niveau politique ».

JForum avec Nir Debori N12 , www.inn.co.il,  et Avichai Hevar , D. Av Tashfag 

IllustrationIllustrationPhoto : Photo de Somchai Kongkamsri de Pexels

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victor nizard

bon débarras. Personne n’est indispensable, surtout pas les traitres

Sion

L armée n à pas le droit de citer en politique. Ceux qui le font doivent être traduit devant un conseil de discipline militaire, et les officier supérieur devant un tribunal militaire pour incitation à l in subordination .
C est grave, ce règlement ne peut être bafoué.
Même et surtout par des anciens chefs d état major !!!!!!!
Et l état reprendra sa place.

Damran

En France, l’armée est appelée « la grande muette ».
Les militaires ne doivent jamais se mêler de politique, ils sont là pour défendre le pays et garantir sa sécurité et sa stabilité.
Voilà où mènent ces excès de pseudo « démocratie » qui autorise les pires folies.
En cas de guerre avec le hezbollah ou l’Iran, il serait très étonnant de voir ces protestataires rester chez eux pendant que le pays sera soumis à la guerre.
En attendant, ils ont réussi à déchirer le pays et à le déstabiliser, sans parler de la cohésion nationale qui vient de prendre un sale coup à la figure.
Combien de temps faudra-t-il pour recoller les morceaux déchirés par des cinglés qui n’ont pas admis d’avoir perdu les élections, l’ordure Lapid en tête ???

Filouthai

Il vaut mieux connaître les traitres avant qu’une guerre n’éclate que pendant qu’elle est en cours !