Publié le 14 Fév 2014
La vie des juifs dans l’Europe médiévale, si riche en aspects exaltants, est jalonnée aussi par des épisodes sanglants qui illustrent abondamment l’épithète de “barbare”, si souvent accolée à la société médiévale d’Occident. Le massacre des juifs de Strasbourg, connu sous le nom de “massacre de la Saint-Valentin”, apparaît comme le type de ces flambées de haine dont les manifestations ont ensanglanté le calvaire d’Israël au long des siècles passés.
Le massacre des Juifs de Strasbourg
Les premières décades du 14e siècle avaient été marquées dans le Saint Empire Germanique par des guerres et des troubles continuels, conséquences des luttes d’influence entre les nombreux princes allemands. Aux approches de l’an 1340, des bandes de brigands s’étaient formées en de nombreux pays relevant de l’Empire : elles pratiquaient sans risque leur sinistre industrie à la faveur de la disparition quasi-complète d’une autorité publique capable de faire régner l’ordre.
L’Alsace n’était pas épargnée par le fléau. Des groupes de brigands s’étaient constitués qui, sous la direction d’un certain Armleder, rançonnaient les habitants et mettaient le pays à feu et à sang. Les principaux seigneurs d’Alsace se décidèrent à une rigoureuse réaction collective. A cette fin, l’évêque de Strasbourg conclut alliance avec le Landgrave d’Alsace et les villes de la Décapole. Les coalisés prêtèrent le serment de sévir sans faiblesse contre les bandes d’Armleder et contre tous ceux qui s’étaient joints à lui dans l’intention de participer au massacre des Juifs entrepris par ses tueurs.
Les massacres de juifs étaient un phénomène assez fréquent dans le Saint-Empire pour laisser en paix la conscience publique. Celui qui commença vers 1347 revêtit pourtant une ampleur et une importance particulières. A son origine se trouvait l’apparition d’un fléau horrible, la peste noire, qui s’étant déclarée pour la première fois en Europe au cours de cette année, faisait d’effrayants ravages. Or, les Juifs étaient moins frappés par le fléau que les chrétiens. Cet apparent privilège était dû très probablement à leur pratique d’une morale sévère qui interdisait certains excès et à l’observance de lois alimentaires qui s’avérèrent en l’occurrence une sauvegarde précieuse contre la maladie.
Le petit peuple pourtant ne l’entendit pas ainsi. Il donnait à la peste une interprétation lourde de menaces pour les Juifs. D’une part on disait que la peste noire était un châtiment envoyé par le Ciel pour punir les princes coupables d’avoir arrêté l’ouvre. D’extermination entreprise par Armleder ; d’autre part, on accusait formellement les juifs d’avoir provoqué le fléau en empoisonnant tous les points d’eau : sources, fontaines, citernes. La populace, ulcérée par les ravages du mal, cherchait un bouc-émissaire : les Juifs, comme il va de soi, étaient tout désignés pour ce rôle. Pour s’attaquer aux Juifs en toute quiétude, il fallait détenir des preuves de leur culpabilité : on en trouva sans peine. Des juifs torturés à Wintzenheim avouèrent tout ce que les tortionnaires voulaient. Désormais, on pouvait passer aux actes : les Juifs le savaient et vivaient dans l’angoisse. A Strasbourg, à l’approche du mois d’Adar – au début de l’année 1349 – aucun Juif ne se risquait plus dans la rue. Le Stettmeister de Strasbourg, désireux de protéger ses Juifs contre les violences de la populace, ordonna la fermeture du quartier juif. Des pays de l’Empire, comme des régions voisines, des nouvelles alarmantes atteignirent les juifs d’Alsace. Des massacres atroces endeuillaient jour après jour des communautés de Suisse, de Rhénanie et de Haute-Alsace. Les seigneurs alsaciens, inquiétés par ce mouvement dont ils n’avaient pas le contrôle, se réunirent en congrès à Benfeld pour aviser aux moyens les plus propices à rétablir l’ordre. Mais ils se contentèrent d’appeler la populace au calme, sans se faire illusion sur la valeur de cette manifestation. Brusquement, la situation atteignit un degré d’extrême gravité en Basse-Alsace. Lire la suite www.lemondejuif.info/
Par Lazare LANDAU – Extrait de l’Almanach KKL Strasbourg 5718-1958
Source : http://judaisme.sdv.fr © Photos : DR
Progrom des juifs de Strasbourg connu sous le nom de massacre de la « Saint Valentin ». Perpétré par les habitants de la ville, 2000 juifs seront arrêtés le vendredi puis brûlés vifs le samedi 14 février 1349. Tableau du pogrom : illustration du 19ème d’Émile Schweitzer.
strasbourg. 1349. 1943. tout un programme les dates
Les juifs doivent leur salut et intelligence à la génétique et dans la courbe de Gauss 20% des juifs demeurent aussi des crétins… mais la peste a laissé des traces génétiques à ses survivants et une mutation dirigeant la Fièvre Méditerranéenne, protègerait contre le bacille pesteux….
L’hygiène n’a là qu’un rôle minime!
et pourtant ils viennent presque en même temps que nous et déjà perdu toute forme de politesse et de savoir vivre et,,,,essayant de nous maltraiter dans les Escalators en bloquant les sorties ,,,en passant devant tout le monde dans les fils d’attente et commandant de vive voie,,,suivi d,efets par ces ignares de serveurs ,,,ou nous reprochant notre venu car à leurs dires,,,pour nous réfugier. Alors qu,aux portes des citadelles le danger est omniprésent,,,toutefois merci à l,administration qui est serviable et efficace,malgré qu,el que graves erreurs impossible à régler comme estimer que nous avons plus d,un bien immobilier en Israël. et nous t’axant pour des maisons. Fantôme,,,,,,,
Oui le désarroi des juifs de France,,,,mais aussi celui des juifs ayants fait leur alia et souhaitent retourner au pays du mal ,,,,,histoire de certifier les bonnes et les mauvaises raisons qui nous ont persuader de nous soumettre à la bêtise,,la haine de son prochain,,,le vol sournois et omniprésent,,,mais voila les aéroports bouclés et ce désirants respirer ailleurs se trouvent enfermés jusqu’à nouvel ordre ,,merci à vous les aigris et les jaloux,,,et continuez car il est vrais que le mal engendré le mal maïs pourtant étions venus la fleur à la main et souhaitons rentrer le mal au ventre,,,,,,