Il semblerait que le groupe Orange succomberait aux pressions des antisémites qui se prennent pour de grands humanistes aveugles face à la vraie misère du monde.

Ce n’est ni les vraies situations immorales qui couvrent notre planète qui les interpellent, ni la barbarie des pays arabes, ni les mensonges qui servent de bases aux revendications palestiniennes, mais seule l’existence d’Israël qui les insupporte.

Si jamais cela devait se faire, le gouvernement français, qui prétend défendre les Juifs en France, devrait rendre des comptes. Pour l’instant cette déclaration est pour le moins surprenante quand on sait qu’Orange vient de renouveler son accord pour 10 ans avec la société israélienne, et on se demande bien si cette déclaration n’est pas simplement contextuelle dans la mesure où elle a été fait en pays arabe.

Le PDG de l’opérateur français Orange a annoncé mercredi son intention de revoir les liens avec l’opérateur israélien Partner dont les activités dans les territoires palestiniens ont été critiquées par des ONG.

Orange

 

Fin mai, cinq ONG et deux syndicats, dont CCFD-Terre Solidaire, l’Association France Palestine Solidarité et la CGT, ont demandé à l’entreprise « de communiquer publiquement sa volonté de désengagement et de dénoncer les atteintes aux droits humains commises par Partner ». Selon un rapport de ces organisations, Partner, en exerçant des activités économiques « dans les colonies israéliennes contribuerait à leur viabilité économique et à leur maintien, et aiderait ainsi à perpétuer une situation considérée comme illégale par la communauté internationale ».

« Notre intention est de nous retirer d’Israël »

Orange a alors indiqué qu’il n’était « pas opérateur en Israël », ne détenait « aucune action ou droit de vote de Partner ». Il a expliqué que le contrat de licence existant, permettant à Partner d’utiliser « la marque et l’image d’Orange en échange d’une redevance », avait été « signé par le propriétaire de l’époque, et transmis à France Télécom en 2000 lors de l’acquisition de la marque ».

Mercredi, Stéphane Richard, le PDG d’Orange, est allé plus loin en déclarant : « notre intention est de nous retirer d’Israël ». « Cela va prendre du temps mais nous allons certainement le faire », a-t-il ajouté en anglais lors d’une conférence de presse au Caire, où il effectue une visite auprès de l’opérateur égyptien Mobinil, dont l’entreprise française est actionnaire à près de 100 %. « Je suis prêt à abandonner demain matin » les liens avec Partner mais « sans exposer Orange à des risques énormes » sur le plan légal ou financier, a précisé Stéphane Richard.

Israël demande des explications

La ministre israélienne adjointe des Affaires étrangères Tzipi Hotovely a écrit au PDG français pour demander des explications. « Je dois avouer avoir été surprise par ces informations, qui ne me semblent pas raisonnables pour une entreprise de la taille d’Orange », écrit-elle en anglais dans une lettre dont l’AFP a eu copie. « Je suis confiante dans le fait que ces informations ne reflètent pas les intentions de votre compagnie. Et vous prie donc de clarifier cette question le plus vite possible », poursuit-elle.

Selon son site internet, Partner Communications Company compte 2,77 millions d’abonnés en Israël, soit une part de marché de 28 %.

JForum.fr avec AFP- 20 Minutes.fr

 

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Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme condamne les déclarations discriminatoires et indignes , visant l’Etat juif, prononcées par Mr Stéphane Richard    P  D G de ORANGE qui avoue que « S’il le pouvait, il déciderait dès « demain » le retrait d’Orange d’Israël. » Mais cette décision représenterait un « énorme risque financier », en termes de pénalités, car elle signifierait une rupture unilatérale avec son partenaire local, la société Partner Communications. Par cette déclaration alambiquée, faite au Caire, mercredi 3 juin, le PDG de l’opérateur téléphonique français a provoqué la colère et l’indignation du BNVCA comme celle des clients de FRANCE TELECOMET DE ORANGE.

Le dirigeant français a semblé ainsi répondre et céder à la pression croissante exercée sur sa société, dans le cadre de la campagne de boycott visant à déligitimer Israel .Il commet une double faute extrêmement préjudiciable pour sa société et pour le pays . ORANGE est détenu à 25 pour cent par l’Etat Il se rendrait coupable d’action illégale au regard du droit français et de la très mauvaise image du groupe de télécommunication français . De plus le PDG d’Orange engage la politique étrangère de notre pays en invitant ouvertement à la stigmatisation et au boycott économique d’un pays ami .

Le BNVCA s’interroge avec inquiétude sur la pusillanimité et le degré d’inconscience politique que ce chef d’entreprise manifeste en allant faire de telles déclarations au Caire en Égypte comme pour complaire à la supposée demande des autorités égyptiennes .

Nous demandons au ministre des affaires étrangères d’interpeller Stephane Richard sur ses intentions manifestement hostiles et qui risquent d’avoir des retombées négatives au sein de l’opinion publique française et alimenter encore un climat ce  haine qui pousse à l’acte antijuif dans notre pays .
 
 Le BNVCA n’a de cesse de souligner que les plus hates autorités de l’Etat Président de la République, Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, ont officiellement reconnu que « l’antisionisme c’est l’antisémitisme » Cette déclaration du président de Orange est antisioniste.

Cette déclaration s’apparente à appel à boycott qui  relèverait du délit prévu et puni par l’article 225 du Code Pénal,

Le BNVCA qui depuis 2009 poursuit les activistes du mouvement illégal B D S se tient  prêt à engager une action  en justice contre ORANGE t son président le cas échéant.  

Le BNVCA demande au Premier Ministre, au Ministre de la Communication,et au Ministre des Affaires étrangères de dénoncer les intentions du Président Richard, et de prendre sans délai à l’encontre de Mr Stéphane Richard. les dispositions administratives et disciplinaires qui s’imposent.
Le BNVCA demande au Conseil d’administration de ORANGE de publier un démenti, et d’inviter le PDG Richard à présenter ses excuses.

 Nous rappelons que déjà en 2011 le BNVCA avait alerté le même PDG d’ORANGE en raison de plaintes d’usagers qui en arrivant à l’aéroport Ben Gourion en Israel, recevaient le SMS « ORANGE;TO PALESTINIAN AUTHOROTY » ignorant l’existence d’Israel.

Dans sa réponse  du 2/9/2011 adréssée au Président du BNVCA, le PDG de ORANGE nous informait qu’il avait décidé de faire supprimer des SMS d’information du type « ORANGE les accompagne «  »TO PALESTINIAN AUTHORITY » »reçus sur les téléphones des personnes arrivées à l’Aeroport Ben Gourion de Tel Aviv en Israel. Cette disposition était  confirmée par le Directeur Général Orange, Mr Pierre LOUETE dans un premier courrier du 31/8/2011

Le PDG d’ORANGE y avait remercié le BNVCA pour son intervention qui a permis de corriger cette »indelicatesse involontaire »

8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 0663883029

 

Le Président                                                      Drancy le 4 juin 2015

Sammy GHOZLAN

0609677005 ///0177384944

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