Les « Queers pour la Palestine », comme les « Visons contre manteaux de fourrure », soutiennent ceux qui veulent les massacrer
par Bassam Tawil
Les membres palestiniens de la communauté LGBTQ ne se sont jamais sentis en sécurité, que ce soit dans les zones sous le contrôle de l’Autorité palestinienne (AP) en Cisjordanie ou sous le groupe terroriste Hamas soutenu par l’Iran dans la bande de Gaza.
En 2016, lorsque le commandant du Hamas Mahmoud Ishitwi a été accusé d’avoir eu des relations sexuelles avec des hommes, il a été « suspendu au plafond pendant des heures et des jours d’affilée… [il] a été fouetté et les gardes ont fait entrer de la musique forte dans sa cellule. , bannissant le sommeil. Après avoir enduré des jours de torture, il a été abattu.
« Dans de nombreux pays, y compris dans les anciens foyers de mes parents et dans l’Iran théocratique, l’homosexualité est encore parfois punie par des pendaisons publiques… La communauté internationale ne doit pas rester silencieuse. Mais elle l’est. » — Hen Mazzig, autoproclamé « Juif israélien queer », nommé parmi les principaux influenceurs LGBTQ, Jerusalem Post , 23 octobre 2022.
« Il semblerait que le ‘harcèlement des homosexuels’ soit une ‘politique pratiquement officielle’ au sein de l’Autorité palestinienne. Les victimes sont fréquemment qualifiées de collaboratrices et accusées en tant que telles. Il est également rapporté que la police de l’Autorité palestinienne inflige régulièrement des tortures épouvantables aux homosexuels. » — Ilka Schröder, députée européenne, 2003.
« En ce qui concerne Queers for Palestine, ce qui est richement ironique, c’est que de nombreux Palestiniens LGBTQ demandent l’asile en Israël – le même pays contre lequel ces manifestants aux États-Unis se rassemblent… Au cœur de cette contradiction se trouve la tendance au sein des mouvements de justice sociale à choisir un choix, protagoniste et antagoniste clairs, l’opprimé et l’oppresseur, et partir de là d’une manière uniforme. Certains progressistes ont décidé il y a longtemps que la Palestine était la première et qu’Israël était la seconde, qui est la graine à partir de laquelle tout doit provenir. grandir. La Palestine défend donc non seulement l’anticolonialisme, mais aussi les droits des LGBT et les droits reproductifs, même si ces droits, dans le sens significatif du terme, n’existent pas réellement là-bas. Les Queers pour la Palestine sont à peu près aussi convaincants que les visons en manteaux de fourrure. » — Billy Binion, Raison , 27 octobre 2023.
Les « Queers pour la Palestine » devraient parler aux « Queers en Palestine »… De nombreuses vies palestiniennes auraient pu être sauvées si les « Queers pour la Palestine » s’étaient souciés du peuple palestinien autant qu’ils détestaient Israël.
Bassam Tawil est un Arabe musulman basé au Moyen-Orient.
JForum.fr avec www.gatestoneinstitute.org
Sur la photo : des manifestants anti-israéliens lors du « défilé de la fierté queer » à New Delhi, en Inde, le 26 novembre 2023. (Photo de Sajjad Hussain /AFP via Getty Images)
 |
 |