L’anneau de pression sur le Hamas

Depuis l’entrée de Tsahal dans la bande de Gaza, le Hamas a le sentiment que c’est la fin du règne de l’organisation à Gaza. Avec des cris de mort, le Hamas appelle à l’aide à trois niveaux.

1) Résidents de Cisjordanie et Arabes israéliens-

Le Hamas diffuse des messages demandant à tous ceux qui possèdent une arme que c’est leur obligation d’aller combattre contre Israël.
Bien entendu, cette tentative est contrecarrée par Tsahal en Cisjordanie et les Arabes israéliens ne répondent pas à la demande.

2) Appels aux pays du monde à faire pression sur Israël pour qu’il cesse le feu.

Le Hamas mobilise tous les agents judiciaires et tous les bureaux gouvernementaux de l’organisation à Gaza pour publier des photos et des vidéos (certaines bien mises en scène) sur le « massacre » qu’Israël serait en train de perpétrer dans la bande de Gaza.
La plupart des reportages en provenance de Gaza sur les chaînes et en ligne sont accompagnés des mots « crime de guerre/« massacre ».
Cette tentative a également échoué, l’armée israélienne fait un excellent travail en documentant, enregistrant et en les publiant aux parties concernées dans le monde. Vous avez tous entendu parler de la vidéo très difficile du matin du Chabbat noir que Tsahal a réalisée à partir du tournage des vidéos des terroristes capturés, des volontaires de ZAKA, de MDA et plus encore… Une célèbre vidéo  » a fait pleurer et s’effondrer en larmes une partie importante des téléspectateurs ! 

3) Aide des organisations voisines, des pays arabes, du patronage iranien

Commençons par les pays arabes, le Hamas a appelé les pays arabes à intervenir dans la guerre contre al-Aqsa, mais s’ils décidaient de répondre par la condamnation d’Israël/le rapatriement des ambassadeurs/et l’aide humanitaire (dont une partie était constituée de linceuls).

Le patron iranien

Dès le début des combats, l’Iran s’est empressé de blanchir son nom des événements du samedi noir, affirmant qu’il n’était pas au courant de cette action, l’Iran a envoyé son ministre des Affaires étrangères courir entre les pays et montrer son soutien à Gaza, pour faire des déclarations et des menaces.
La grande contribution que l’Iran a apportée à Gaza est une instruction donnée à ses mandataires au Yémen, en Irak et au Liban de harceler un peu… et si j’ai insisté sur le Liban, alors oui, il est temps de parler du discours de Nasrallah.
Le Hezbollah, le bastion le plus grand et le plus fort de l’Iran à la frontière d’Israël, a lancé depuis une semaine une campagne promotionnelle à la hollywoodienne avant le discours du secrétaire général de l’organisation, Hassan Nasrallah qui a créé un drame et un discours avant le discours. Mais la promotion a été encore plus appréciée par les Palestiniens – chaque Palestinien, en particulier à Gaza, était rempli d’espoir que vendredi à 15 heures, Gaza ne serait plus seule et le Hezbollah ouvrirait un front nord et rejoindre la guerre. Dans son discours, Nasrallah a affirmé qu’il était déjà en guerre depuis le 8/10/23 (le lendemain du déclenchement de la guerre contre le Hamas) et que chaque Palestinien qui entendait le discours commençait une série de malédictions contre Nasrallah !
Dans tout le réseau on l’appelle : « le cochon traître » « le lâche » « le vil » etc… Une très grande colère vient de Gaza envers l’organisation Hezbollah et pas seulement de la part des habitants de Gaza. Les journalistes du Hamas écrivent avec une grande déception à l’égard de l’organisation.

En conclusion: si le Hezbollah souhaite le succès du Hamas à Gaza et il laisse le Liban en dehors du théâtre militaire .

La pyramide de l’organisation Hamas commence à s’effondrer. Le Hamas a menti, le Hamas a massacré, le Hamas paiera !

JForum.fr avec Nziv

טבעת הלחץ על חמאס

Crédit : La chaîne Mukhabarat Telegram – David Hazati Crédit photo : Réseaux sociaux

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Damran

Dans un autre forum, un ancien responsable de Tsahal, dit exactement le contraire.
En fin de compte, il y a autant d’opinions que de commentateurs….

o.icaros

Oui, mais il faut Israël termine rapidement cette guerre. Plus elle traînera et plus l’opinion publique se tournera contre lui. Les démocraties perdent leurs guerres contre leur opinion publique et non sur le terrain.