Le rabbin Eliyahu Abergel, chef des chefs des tribunaux rabbiniques à Jérusalem, a parlé avec Arutz Sheva de ce qu’il a défini comme une déviation des coutumes connues de la fête de Lag Baomer.
« La coutume de nos pères, et des pères de nos pères, était de célébrer l’anniversaire du décès de Rashbi, à la veille de Lag Ba’omer, en célébrant l’achèvement du Zohar dans la synagogue », a déclaré le rabbin Abergel. « Nous n’avons jamais allumé de feux de joie et avons eu ces spectacles. Ce tumulte que nous voyons aujourd’hui à Meron – il ne l’a jamais été. Les sages du monde s’y sont opposés. »
Il a ajouté: « Il n’y a aucun problème à marquer les anniversaires de décès sur les tombes des justes. Mais tous ces feux de joie et ces feux de joie n’ont aucun avantage – ni pour la personne décédée ni pour ceux qui meurent. L’objectif principal était de se rassembler. et apprenez du livre saint du Zohar.
«Nous voyons les résultats des feux de joie et des feux de joie. Ce n’est pas en l’honneur de Rashbi (le rabbin Shimon Bar Yochai, auteur du Zohar) qu’ils font ces feux de joie. Je ne veux pas dire qu’ils font ces feux de joie. pour se faire honneur et mettre en danger le public.
« Nous devons retourner à la source et nous rassembler dans les synagogues de chaque endroit de Lag Baomer. Il n’y a pas de source dans la loi juive pour les feux de joie et les feux de joie. Il y a un endroit pour allumer une bougie à la mémoire de la personne juste, mais pas pour allumer des feux de joie qui mettent des vies en danger.
« Il y a même ceux qui disent que c’est dans la catégorie de l’idolâtrie – les non-juifs dansent autour du feu. Nous nous occupons des paroles de la Torah et du saint Zohar. Nous devons retourner aux sources et à la vérité », a-t-il conclu.
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