La Shoah revue et très blanchie par Rokhaya Diallo
Dans le monde des historiens et chercheurs spécialistes de l’Histoire de l’extermination des Juifs d’Europe, le nom de Rokhaya Diallo suscite l’admiration pour ses parutions scientifiques très remarquées, telles que “Savon et blanchité sous le IIIème Reich”, “Leni Riefenstahl, d’une esthétique nazie à la sublimation de l’africanité, un cas exemplaire de rédemption blanche” ou encore sa brillante exégèse de Mein Kampf, “Quand Hitler écrivait Ma blanchité”, qui lui a valu une notoriété certaine outre-atlantique.
Faut-il rire ou pleurer devant les propos tenus sur Twitter par Rokhaya Diallo sur la Shoah ? Quand “l’éditorialiste” la brandit pour étayer ses thèses indigéstenistes, son obsession qui frise la pathologie et le dispute à l’ignorance crasse produit une bouillie idéologique au fumet nauséabond. Morceaux choisis (ou moisis, rayer la mention inutile).
La propension à l’anachronisme de Rokhaya Diallo, qui repeint en blanchité la première moitié du XXème siècle pour sa cause – qu’elle dessert plus qu’elle ne la défend – n’est qu’un des aspects de son inculture abyssale, qui se manifeste notamment dans son essai Racisme, mode d’emploi (2011), où l’on peut notamment apprendre que «L’antisémitisme nazi a une particularité : il ne sert jamais à justifier une domination ou l’exploitation d’autres peuples.», notre historienne poursuivant «L’idéologie nazie, si elle a prêté aux Juifs les caractères négatifs que l’Église leur avait déjà associés… ne leur a jamais attribué de caractéristiques inférieures, au point de les dire rusés voire plus intelligents que la moyenne – à l’inverse des Tziganes, des homosexuels et des personnes handicapées, eux aussi déportés mais perçus comme des populations nuisibles ou malsaines.»
Mais c’est son art de la “catégorisation” qui reste finalement l’aspect le plus risible de la dialectique dialloiste. En la lisant, on se réjouit à la découverte du concept de “racistes nazis” (oui, il fallait le souligner, les nazis n’étaient pas tous adeptes du vivre-ensemble), du “groupe des blancs” et de son sous-groupe les “blancs juifs“, autres trouvailles essentialistes qui finalement ne font que la distinguer très peu de ses collègues d’extrême-droite.
Nous attendons maintenant avec une impatience non dissimulée ses analyses brillantes des génocides des Arméniens, des Cambodgiens, des Tutsi… Elle sera, c’est certain, à la hauteur pour nous en offrir une lecture richement illustrée et inclusive. Si Molière (NDA : dramaturge blanc) avait eu vent de Rokhaya Diallo lorsqu’il écrivit Les précieuses ridicules, nul doute qu’il lui aurait dédié sa pièce avec admiration.
Alain Granat
Directeur de la publication de Jewpop, le site qui voit.e des juifs.ves. partout.e (blancs, noirs, asiatiques, séfarades, ashkénazes, roux, transgenres, coiffeurs) !
© photos : captures d’écran YouTube / Twitter
Article publié le 15 septembre 2019.
J’appréhende le jour où elle découvrira la valeur des notes en musique .
Rappel : une blanche vaut deux noires .
Rokhaya Diallo les blancs , les Juifs et les peaux rouges de Géronimo t’emmerdent .
Rokhaya Diallo aurait grand besoin de s’inspirer d’intellectuels africains lucides et honnêtes (qui connaissent la véritable histoire de leur peuple ainsi que celle des « blancs ») tels que Kakou Ernest Tigori, auteur de « L’Afrique à désintoxiquer ».
Un livre que je conseille à tous et à toutes, Européens, Européennes, Africains, Africaines.
Peut-être devrait-elle aussi s’informer sur l’étymologie du mot esclave ?
Une noire qui a trop envie de se blanchir a peau, comme ses congénéres de la gare de l’Est et de Chateau d’eau et du Blv Sébastopol.
Elle devrait lire « Conquête arabe de l’Inde, le plus grand génocide de l’Histoire » où 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde
Marre de ces pseudo-Afritellectuels.
Elle est en train de se ridiculiser toute seule. Heureusement que toutes les femmes – blanches, noires, rousses et d’autres couleurs ne sont pas aussi défoncées par la culture déteinte et indigeste…
Je préfère l’ignorer.
C’est la France de la diversité…et des collabos…
Rokhaya Diallo restera dans l’histoire comme l’imbécile qui a réussi à inventer l’antiracisme raciste.Pour cette idiote tout passe par la couleur de la peau, c’est l’attitude la plus raciste qui soit
J’ai remarqué sa technique pour se donner de l’importance .
Elle invente une histoire .
Elle tire un coup de feu en l’air pour voir qui se met à la fenêtre……….
Comme nous .
Elle se prend pour qui cette bouffonne ?
Qu’elle aille dans son pays , ils ont assez de problêmes .