L’histoire des juifs de Prague est mouvementée. Elle vit fleurir l’une des communautés les plus importantes d’Europe centrale.

 

De son histoire riche subsistent de nombreuses synagogues, quelques cimetières et une communauté renaissante après l’ hécatombe de la Seconde Guerre mondiale…

Synagogue espagnole dans l'ancien quartier juif de Prague à Josefov. Photo de Øyvind Holmstad.

Synagogue espagnole dans l’ancien quartier juif de Prague à Josefov. Photo de Øyvind Holmstad

Josefov, le quartier juif aujourd’hui

Le vieux quartier juif, rasé par une grande entreprise d’assainissement au tournant du 19è et du 20è siècle, n’existe plus à proprement parler. On peut cependant y visiter les différentes synagogues historiques et le vieux cimetière juif.

La communauté juive de Prague est peu nombreuse mais elle renaît comme c’est le cas dans de nombreux pays de l’est notamment en Pologne à Cracovie.

Synagogue vieille-nouvelle et hôtel de ville, Prague

Synagogue vieille-nouvelle et hôtel de ville, Prague

L’avenue de Paris est l’une des plus belles de Prague. Les grandes griffes ne s’y sont pas trompées. Les magasins de luxe occupent les superbes immeubles art nouveau et art déco.

Josefov accolé à la Vieille Ville est un quartier très touristique. Vous pourrez y visiter le vieux cimetière juif et les synagogues dont certaines referment un musée. Des restaurants juifs casher ou non s’y trouvent également.

A la différence du 7e arrondissement de Budapest et de Kazimierz à Cracovie, Josefov n’est pas devenu un carrefour artistique et culturel occupé par de jeunes artistes.

Installation des Juifs à Prague

Après 950, la première colonie juive s’installe sur la route du château de Vysehrad. 15 années plus tard, le marchand juif andalou Ibrahim Ibn Jacob mentionne une deuxième colonie au pied du château de Hradcany.

C’est vers 1100, que la vieille ville voit à ses portes s’installer une troisième colonie. Cette dernière donnera la ville juive autonome attenante à Prague.

Histoire de la ville juive de Prague

L’histoire des Juifs à Prague est similaire à celle de beaucoup de Juifs en Europe. Des périodes de paix et de prospérité font suite à des pogroms (massacre), dès que le pouvoir ou l’inclinaison du roi change.

A noter que l’installation des Juifs favorisaient le commerce et donc augmentaient les revenus du royaume. Les rois avaient besoin d’eux autant que les Juifs avaient besoin des rois pour leur protection.

Certains rois protégeront les Juifs leur accordant des droits et des privilèges tout au long de l’histoire. Ce fut le cas d’Ottakar II dès le 13ème siècle puis de Charles IV au 14ème.

Par la suite, en 1558, ils sont à nouveau menacés d’expulsion mais parviennent là encore à monnayer le fait de rester, avant l’arrivée au pouvoir de Maximilien II qui, par un décret de 1567 les autorise à rester à Prague, et leur accorde la liberté de circulation et de commerce, politique continuée ensuite par Rodolphe II.

C’est à cette époque que la communauté juive de Prague connait son apogée, et la ville devient véritablement le cœur de la vie intellectuelle en Europe, avec des personnalités juives de premier plan comme le mathématicien Daniel Gans, le bien connu Rabbi Löw, le Maharal de Prague, créateur du légendaire Golem.

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Le rabbi Loew

Physicien, astronome et mathématicien, le rabbi Loew, né en 1512 ou en 1520, près de Poznan (actuellement en Pologne), fut le penseur juif le plus respecté de son siècle. Fameux interprète de la Loi et du Talmud, mais scientifique avant tout, il devint dans l’imaginaire collectif du XIXe siècle, un grand kabbaliste, voire un Faust juif qui aurait créé le Golem, un homme artificiel d’argile.

Il fut invité à rencontrer Rodolphe II le 16 février 1592, et, selon la légende, il fit apparaître sur les murs de la pièce les ombres des grandes figures de la Genèse et des Patriarches. On raconte qu’il réussit pendant des années à éviter la mort en lui arrachant de la main les listes de ceux qui devaient mourir dont le sien. Mais, elle le rattrapa, cachée dans une rose qui lui fit humer sa petite-fille.

Siège supposé du rabbi Loew à la synagogue vieille-nouvelle, Prague

Siège supposé du rabbi Loew à la synagogue vieille-nouvelle, Prague

Le roi promet au rabbin et à sa communauté la protection des Habsbourg. ou encore le financier mais philanthrope Marcus Mordechaï ben Samuel Meisl, maire du quartier juif, qui fit agrandir le vieux cimetière et construire l’hôtel de ville ainsi que plusieurs synagogues, dont l’une porte encore son nom aujourd’hui.

Au début du XVIIème siècle, Ferdinand II décide de récompenser certains juifs pour leur fidélité à son empire après la révolte provoquée par la Réforme, révolte qui prend fin en 1620 avec la bataille de la Montagne blanche.

Le XVIIème siècle n’est pas clément envers les juifs de Prague, décimés par une épidémie de peste en 1680 et par des incendies, notamment celui de 1689, sans compter les explosions d’antijudaïsme qui sont monnaie courante à l’époque, comme en témoigne notamment l’affaire Simon Abeles, du nom de cet adolescent assassiné par son père alors qu’il songeait à se convertir au christianisme.

L’aube du XVIIIème siècle fait de Prague la plus grande ville juive de la chrétienté avec une population de 12000 juifs, qui subissent cependant encore les foudres des souverains tout d’abord avec Charles IV, qui cherche à diminuer leur population en limitant le nombre de familles juives vivant dans les pays tchèques (ainsi, le nombre maximum sera de 8541 en Bohème), et n’autorise qu’un seul fils de chaque famille à se marier et à fonder un foyer.

Succédant à Charles IV, Marie-Thérèse se montre encore plus dure envers eux, avec notamment un décret de 1744 qui chasse tous les juifs de la capitale sous un an, sous le prétexte de les punir de leur « déloyauté » durant la guerre de Silésie contre les Prussiens.

Ainsi, 13000 juifs quittent la ville l’année suivante, le plus souvent pour des communes avoisinantes, mais l’impératrice exige alors leur départ des pays de langue tchèque. Néanmoins, ils parviennent à retourner à Prague quelques années après, en 1748-49, en contrepartie du paiement de très lourdes amendes, et de leur résidence obligatoire dans le ghetto, qui à l’époque est de plus en plus insalubre, mais également surpeuplé, avec une densité de population trois fois supérieure que dans le reste de la ville, et dégradé par de nombreux incendies.

C’est avec l’arrivée au pouvoir de Joseph II que le sort des juifs s’améliore véritablement, et le quartier juif porte d’ailleurs aujourd’hui encore le nom de Josefov, en hommage à ce souverain si bien disposé à leur égard.

Avec le « Toleranzpatent », l’édit de tolérance de 1781, une liberté religieuse, certes limitée, leur est accordée, de même que la plupart des droits dont disposent les autres citoyens de la ville. De plus, ils peuvent désormais accéder à l’enseignement secondaire et même supérieur, et la première école germano-juive ouvre ses portes le 2 mai 1782.

Au 1592, Le roi Rodolphe II féru de sciences occultes reçoit par la première fois un Juif au Château de Prague. C’est le Rabbin Low, créateur du légendaire Golem. Le roi promet au rabbin et à sa communauté la protection des Habsbourg.

En 1648, suite à l’invasion suédoise et à la participation des juifs à la défense de la ville, le roi Ferdinand III leur permis de construire un clocher. Seules les églises avaient alors ce droit. L’horloge du clocher de l’hôtel de ville juif est ainsi ornée de chiffres hébraïques.

Les juifs vivront au pied des murs de Prague dans une ville autonome. Ils auront leur hôtel de ville, leur cimetière et leur lieu de culte, les synagogues.

Le quartier Juif de Josefov à Prague avant 1905.

Le quartier Juif de Josefov à Prague avant 1905

 

Le manque d’espace les obligera à vivre et à construire une ville entassée, sombre, labyrinthique et sujette aux incendies… Ils ne pourront agrandir leur cimetière (le cimetière juif de Zizkov sera crée à partir de 1680). Les morts seront enterrés les uns sur les autres, ce qui doit au vieux cimetière juif de Prague ses stèles irrégulières et son caractère unique.

La communauté juive de Prague sera l’une des plus florissante d’Europe centrale avec celle de Kazimierz, aujourd’hui quartier juif de Cracovie.

La naissance de Josefov, 5ème quartier de Prague

En 1853, le baron Haussman a « libéré » Paris de ces ruelles sombres, insalubres, « mal famés » en traçant de grands boulevards bientôt bordés par des édifices bourgeois.

En 1892, la ville juive est intégrée dans Prague et devient Josefov. Le 5ème quartier tient son nom de l’archiduc Austro-Hongrois Joseph II, auquel les Juifs doivent l’égalité des droits.

Des boulevards sont tracés. Des ruelles élargies. Des maisons détruites. Beaucoup de maisons, de cours et d’arrières cours seront détruites. Le niveau du sol est remonté pour éviter les crus de la Vlatava proche. Les canalisations sont installées. Des maisons bourgeoises sont construites.

Synagogue espagnole, Prague

Synagogue espagnole, Prague édifiée en 1867

C’est le quartier juif tel que nous le connaissons aujourd’hui. Bourgeois et sans véritable « caractère juif» comme à Cracovie ou à Budapest.

Les familles juives les plus aisées quittent le territoire direct du ghetto. Ce sera notamment le cas de la famille de Franz Kafka.

Les maisons de Franz Kafka

Maison de Kafka, rue des Alchimistes, Prague

Maison de Kafka, rue des Alchimistes, Prague

Une visite des lieux de mémoire de la Prague juive serait incomplète sans un périple sur les lieux où vécut le plus célèbre des écrivains juifs.

Toute sa vie, au gré des nombreux déménagements de ses parents puis des siens, Franz Kafka resta dans un étroit périmètre au centre de la vieille ville, autour de la grande place, à quelques centaines de mètres de l’ancien quartier juif.

La maison natale (Radnice ulicka 5) est située sur le côté nord-est de la grande place. Il y naquit le 3 juillet 1883. Le bâtiment original a été détruit en 1896 par un incendie, et il n’en reste que le portail d’entrée.

Un buste à la mémoire de l’écrivain y a été érigé en 1965. Deux ans après la venue au monde de leur fils, les parents de Kafka déménagèrent. Après quelques pérégrinations dans le quartier, ils s’installèrent dans la maison U Minutin sur la place de la Vieille-Ville, tout près de la grande horloge.

La façade de cet édifice du XVIIe siècle est ornée de scènes de la Bible et de légendes de l’Antiquité. Franz y vécut de six à treize ans ; ses trois soeurs, Elli, Valli et Ottla, mortes en déportation, y virent le jour. En 1896, la famille Kafka déménagea dans une belle est très ancienne maison, « aux rois mages », au numéro 3 de la rue Celetnà. Kafka y demeura jusqu’à ses années d’étude à la faculté de droit. Sa chambre donnait sur la rue Celetnà.

Le premier magasin du père, Hermann, était un peu plus loin, à l’actuel numéro 8 de la place de la Vieille-Ville, sur le côté nord, mais le bâtiment n’a pas été préservé. Quelques années plus tard, il déménageait son entreprise rue Celetnà puis, en 1912, au rez-de-chaussée de l’imposant palais Kinsky donnant sur la grande place.

Kafka et sa soeur Ottla à Prague en 1914Kafka et sa soeur Ottla à Prague en 1914

 

Dans une aile de ce même bâtiment, était installé aussi le lycée allemand où avait étudié Franz.

La maison zum Schiff (« au bateau ») était toute proche de la Vltava. Il y écrivit trois de ses chefs-d’oeuvre, Le VerdictL’Amérique et La Métamorphose. Le bâtiment a été détruit en 1945. En 1913, la famille Kafka retourna sur la place de la Vieille-Ville dans la maison Oppelt.

En mai 1915, il s’installait seul, pour la première fois dans la maison « au brochet d’or » (actuellement 16, rue Dlouhà). 

Il habita ensuite quelques mois de l’autre côté de la rivière, dans une maisonnette, au numéro 22 de la Zlata ulicka (« ruelle des alchimistes »), près du château.

Puis, en mai 1917, il loua en plus un appartement dans le magnifique palais Schönborn, aujourd’hui siège de l’ambassade américaine.

La disparition de la communauté juive au 20ème siècle

En septembre 1938, les accord de Munich sont appliqués, et le pays perd les Sudètes, depuis lesquelles des milliers de juifs prennent la fuite.

Quelques mois plus tard, en mars 1939, l’armée allemande occupe le restant de la Bohème-Moravie, sur le territoire de laquelle se trouvent à l’époque 118000 juifs.

Les lois raciales sont aussitôt appliquées, les juifs sont donc chassés des emplois publics, les médecins juifs condamnés à ne soigner que des patients juifs, les entreprises confisquées, la population juive contrainte à faire enregistrer l’inventaire de ses biens, ses capitaux et devises saisis, etc.

En 1940, le port de l’étoile jaune est rendu obligatoire. Dans les pays tchèques, la « solution finale » est appliquée à partir de 1941, avec le départ d’un premier convoi de 1000 personnes en direction des ghettos polonais.

Par la suite, les nazis décident, sur le conseil des autorités juives qui y voient un moyen de sauver une partie de leur patrimoine, de faire de Prague ce qu’ils appellent un « musée de la race disparue », raison pour laquelle la plupart des monuments juifs de la ville ont survécu à la guerre.

Ils créent ainsi au nord du pays le ghetto de Terezin, petite ville vidée de ses habitants. Les juifs tchèques y sont entassés pour quelques semaines ou quelques mois avant d’être envoyés vers les camps d’extermination en Pologne.

Ainsi, 89000 juifs de Bohème et de Moravie sont déportés, et 80000 mourront en déportation.

Après la guerre, on constate à Prague un afflux de réfugiés juifs de l’est, et 19000 migrent pour Israël, phénomène qui se reproduit en 1968 après l’écrasement du printemps de Prague, avec cette fois 15000 départs.

Aujourd’hui, on dénombre environ 6000 juifs en République Tchèque, dont environ 1200 résident à Prague.

Les cimetières juifs de Prague 

Le  vieux cimetière juif est le plus célèbre d’Europe et l’un des plus intéressants, même si des allées bien marquées par des cordes empêchent désormais des dizaines de milliers de touristes qui y défilent chaque année de piétiner les tombes.

Mieux vaut s’y rendre très tôt ou très tard dans la journée, de préférence hors saison, pour en saisir la poignante nostalgie. Quelque 12000 stèles s’entassent sur trois ou quatre niveaux, parfois plus : un conglomérat de pierres bancales, inclinées, comme titubantes, enfoncées jusqu’à la pointe, recouvertes par le lierre, englouties par le sol humide et noir. Quelques arbres, des sureaux et des ormes, peinent à pousser dans l’amas minéral, et l’inclinaison de leur tronc rappelle celle des pierres tombales usées par les intempéries et les caresses des fidèles.

On peut encore y lire les inscriptions à la mémoire des disparus et, souvent, des bas-reliefs qui symbolisent le nom d’une famille, le métier ou la vertu du défunt. Les mains qui bénissent indiquent la tombe d’un Kohen (ou Cohen, Kohn, Kahn, ou Kagan), descendant d’Aron et des grand prêtres du Temple, les Kohanim.

La cruche ou le bassin ornent les pierres tombales des Leviyim, les descendants de Levi, les Lévites, les seconds après les Kohanim à lire la Torah lors des célébrations à la synagogue. D’autres figures, comme les palmiers, rappellent des versets des psaumes : « L’homme bon qui fleurit comme un palmier » (Psaumes 92:13). la grappe de raisin évoque l’abondance en même temps que le royaume d’Israël.

Malgré l’interdit de la représentation de la figure humaine, quelques rares silhouettes féminines sont gravées sur des tombes des XVIIe et XVIIIe siècles, symbolisant, selon la mystique, le désir de Dieu d’entrer dans le coeur de l’homme. D’autres figures, plus prosaïques, précisent un métier, avec un bateau pour les marchands, des pinces pour les médecins, ou des ciseaux pour les tailleurs.

On peut y voir de nombreuses sculptures d’animaux, en premier lieu le lion, représentation de la loyauté de Juda et des douze tribus, ou rappel du nom du mort (Löwe, lion en allemand et Leyb en yiddish). Dans ce bestiaire de pierre, figure l’ours dont la recherche de miel symbolise celle du juif plongé dans la douceur de la Torah.

Il y aussi le daim et la gazelle (« Parce que Dieu bondit de synagogue en synagogue pour écouter les prières d’Israël) et l’oiseau. La tombe la plus ancienne, celle du rabbin Avigdor Kara, remonte à 1439. Un cimetière plus ancien, qui fut profané lors du pogrom de 1389, se trouvait près de l’actuelle rue Vladislavova, dans le Nove Mesto.

Les dernières tombes ont été édifiées en 1787, date de la fermeture du cimetière sur ordre de l’empereur Joseph II. De petits cailloux sont posés sur les tombes les plus célèbres comme celle, ornée de lions, du savant et très saint rabbi Yehuda Loew Betsalel (1512-1609), appelé le Maharal, sujet de nombreuses légendes et réputé pour ses miracles, même après sa mort.

Cimetière juif, Prague

Les pèlerins glissent dans les interstices de la pierre rouge des bouts de papier avec un vœu. Une autre tombe vénérée est celle de Mordechaï Meisl (1528-1601), financier philanthrope, maire et bienfaiteur de la Prague juive. L’épitaphe rappelle que « sa générosité était sans limites et qu’il faisait la charité de toute son âme et de tout son être ».

Les cimetières de Zizkov

Si les premières tombes remontent à 1680, le  vieux cimetière a commencé à s’étendre après 1787, avec la fermeture de celui de l’ancien ghetto. On peut y voir de très belles sépultures baroques et classiques dans la partie restaurée. Les dernières inhumations datent de 1890. Une partie du cimetière a été transformé en parc. Un émetteur de télévision s’y élève.

Fondé en 1890, le  nouveau cimetière est le seul des cimetières juifs de Prague toujours en fonction. Le grand hall qui abrite aussi les bâtiments administratifs a été construit en style néo-Renaissance à la fin du siècle dernier. On peut y voir de magnifiques tombes de style Art nouveau, néo-gothique ou néo-Renaissance. Là est enterré Franz Kafka, aux côtés de ses parents. La tombe est surmontée d’une sobre stèle de pierre grise où les visiteurs déposent souvent en hommage de petits cailloux. En face, repose l’écrivain Max Brod, qui fut son ami et le divulgateur de l’essentiel de son oeuvre qu’il se refusa à brûler, comme le demandait Kafka dans son testament.

Adaptation par JForum  Sources:  Source 2

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