Free Palestine, l’écho du Hamas
Après quelques tergiversations, la manifestation aux cris « d’Israël assassin Macron complice « et sur le mot d’ordre « Contre la déportation des palestiniens en Egypte » a bien eu lieu, réunissant des milliers de personnes. Ces manifestations anti Israël ne peuvent soutenir « la cause palestinienne ». En effet, qui demanderait à des populations civiles de rester dans les zones de guerre ? Confirmant ainsi que la « cause palestinienne » est bien l’autre nom donné par le Hamas à l’éradication de l’Etat d’Israël, le seul état juif. Sur son site Capjo-Europalestine annonce une « grande victoire politique ». Effectivement être autorisé à prôner l’éradication de l’état juif est une grande et aberrante victoire. Les termes de « génocide » et « solution finale à Gaza » sont répétés jetant ainsi les bases et le cadre pour autoriser les agressions. Lorsque le Hamas et ses islamonazis veulent l’éradication de l’état d’Israël, ils ne disent rien d’autre que « Free Palestine, Palestine de la mer au Jourdain « la traduction en langues occidentales de cette éradication, qui s’appelle aussi « liberté d’expression », selon le Collectif Palestine Vaincra, dont la suspension a été annulée, Soutenir les islamonazis relèverait donc de la liberté d’expression. On se souvient que les nazis sont arrivés au pouvoir par les urnes. Les faiblesses – un mot politiquement correct pour dire lâcheté – de la démocratie explosent. Les langues occidentales éprises de démocratie répétaient « Plus jamais ça ». Mais « Plus jamais ça » est arrivé. Des bébés ont été arrachés des bras de leurs mères et massacrés devant elles. Les islamonazis ont fait des vidéos de leurs atrocités et, utilisant les téléphones de leurs victimes les ont envoyées aux proches imposant, en plus de la souffrance, la vue d’images impossibles. La télévision israélienne passe et repasse les images de ces kibboutzim qui ne sont plus que désolation montrant l’acharnement des islamonazis.
Jérusalem
A Jérusalem, comme dans toutes les villes, les personnes et familles évacuées par décision de l’armée des zones exposées arrivent et sont logées dans les hôtels, maisons, chambres d’hôtes et toutes structures réquisitionnables. De Sderot, un couple de personnes âgées veut retourner dans sa maison. Ils parlent des Boum Boum sur Sderot mais disent y être habitués, cinquante ans de Boum Boum. Lui est arrivé du Pakistan après 1967, elle de Bombay. L’histoire d’Israël. Sderot à une heure et demi en voiture de Jérusalem. Une heure et demi pas trois heures ou cinq, une heure et demi. Un israélien, venu d’Ukraine il y a 31 ans, raconte s’être levé de la semaine de Shiva, mardi. Il est là, plaisante et conclut : « Je suis fort, si je ne le suis pas, qui le sera ? ». Cet Ukrainien n’est pas et ne se considère pas comme un réfugié, il est israélien. Toute la différence avec les « réfugiés palestiniens » qui se dsient réfugiés depuis 75 ans. Il est vrai que cela leur a rapporté un pactole invraisemblable. Pas un mot de ces 500 000 évacués israéliens dans les médias, les yeux fixés sur les zenfants de Gaza. Israël, l’état confetti, s’est rétréci des zones devenues zones de guerre, Sderot et environ au sud, Kiriat Shmona et environ au Nord. Jusqu’où ?
Yemen et ailleurs
L’un des deux navires américains arrivés en soutien à Israël, a intercepté hier soir trois missiles longue portée qui se dirigeaient « vers le Nord ». « Vers le Nord » le nouveau nom d’Israël pour les Houthis du Yemen qui se sont déclarés en guerre avec Israël.
Le 1er ministre écossais Humza Youssaf, qui n’est pas en kilt, a dégagé une enveloppe de 600 000 $ pour Gaza et surtout le Hamas, au moins c’est clair.
Le 1er Ministre britannique Sundak a eu des mots très forts pour Israël « Ce n’est pas votre droit de vous défendre, c’est votre devoir ». Vu l’ampleur des manifestations communautaristes anti Israël dans son pays, on ne peut que féliciter son courage.
New York et ailleurs
La Communauté juive américaine s’est mobilisée pour l’achat de gilets de protection en céramique pour les soldats de Tsahal. Chaque jour des américains montent sur le Har HaBayit avec des Tsitsit bleu et blanc pour y faire la prière de Min’ha. Le souk de la Vielle Ville a quelques échoppes qui ouvrent à nouveau. En Israël, un Français fabrique des planches pour bloquer de l’intérieur l’accès des Mamad, les pièces sécurisées qui, jusque là, n’avaient pas de moyens de fermeture. Les récits de héros qui ont sauvé des vies se multiplient pour masquer, un peu, l’horreur sanglante. Israël ne pleure pas, Israël se bat.
Que D. protège Israël et Tsahal
Chabbat Chalom
Evelyne Gougenheim
L’armée israélienne a annoncé samedi avoir retrouvé dans la bande de Gaza «des cadavres» d’otages israéliens enlevés par des commandos du Hamas lors de leur attaque du 7 octobre en Israël. PHOTO AFP – AFP
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Amen
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