Visé par une enquête préliminaire pour exhibition et harcèlement sexuel, Patrick Bruel nie « le moindre geste déplacé »
Patrick Bruel, 60 ans, a été entendu dimanche soir sous le régime de l’audition libre par les gendarmes à Châlons-en-Champagne (Marne), où il venait de se produire, dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte mi-août par le parquet d’Ajaccio (Corse-du-Sud) pour « exhibition sexuelle » et « harcèlement sexuel » après des accusations d’une employée d’hôtel. Une information du journal Le Parisien, confirmée de source judiciaire à LCI.
Les investigations doivent se poursuivre encore quelques jours avant que le parquet ne prenne sa décision quant aux suites qu’il souhaite donner à cette affaire.
Les faits auraient eu lieu le 9 août, alors que le chanteur se produisait en concert à Ajaccio et séjournait à l’hôtel Radisson Blu de Porticcio.
Le procureur d’Ajaccio, Eric Bouillard, saisi des faits le 13 août, a précisé à l’AFP que la jeune masseuse de 21 ans n’a pas souhaité déposer plainte mais a simplement « signalé des faits et un comportement déplacé » de l’artiste.
Selon le magistrat, Patrick Bruel aurait rencontré la jeune femme sur son lieu de travail quelques heures avant son concert, et son entourage aurait commandé une prestation de massage auprès de l’hôtel.
« La jeune masseuse rapporte que lorsqu’elle arrive dans la loge de Patrick Bruel, la porte est fermée à clef et la lumière tamisée. Alors qu’elle commence le massage, le chanteur refuse par ailleurs de suivre le protocole dans ce domaine, notamment de mettre des vêtements, et va donc rester nu », raconte le procureur, ajoutant que le chanteur reconnaît ces faits « en précisant toutefois que lorsqu’il se met sur le dos il se couvre d’une serviette ».
« La jeune femme indique également que M. Bruel va avoir des demandes de massages très particuliers dans certaines zones. Là, le chanteur nie les faits rapportés par la jeune femme », détaille Eric Bouillard.
Contacté par Le Parisien, Patrick Bruel nie les faits : « Nous étions une heure avant mon concert, dans ma loge, accessible à tous. Mon équipe, mes collaborateurs, mes enfants étaient à proximité et ont l’habitude d’entrer à tout moment dans ma loge. Je n’ai pas eu la moindre intention, ni le moindre geste déplacé envers cette femme ».
Depuis les faits, la jeune femme, précise Le Parisien, a quitté son emploi. L’enquête a été confiée aux gendarmes de la section de recherche d’Ajaccio. Le procureur doit désormais décider s’il classe l’affaire ou s’il renvoie le dossier devant un tribunal.
Si elle a tété victime d’harcèlement sexuel pourquoi n’a t elle pas déposé plainte ?
Attendons la décision du Juge mais je ne suis pas inquiet pour l’issue de cette sombre affaire .
On entend déja les antisémites sauter sur l’occasion agissant comme des procureurs aveugles .
J’aurai voulu les voir ces mecs en 40 sous Pétain , ils en auraient balancé plus d’un .
A gerber .
@ Mixo
Et vos curés pédophiles ?
Sans compter ceux qui mettaient en ceinte des bonnes soeurs et qui enterraient les foetus .
Balayez devant votre porte avant de l’ouvrir .
Un antisémite va chercher n’importe quoi pour exprimer sa haine .
Autre chose, on aimerait bien connaître le nom de l’accusatrice qui ne se gêne pas pour jeter en pâture le nom de son accusé, alors même qu’elle ne porte pas plainte. Bizarre, non ?
A moins de se faire masser les pieds, il est tout de même rare de rester tout habillé pour un massage…
Le vide sidéral de cette accusation étonne, d’autant que la « plaignante » n’a pas portée plainte et n’a pas été agressée. Si elle est choquée de voir un corps nu, sans doute ferait-elle mieux de changer de métier et de se reconvertir dans la manucure ou la coiffure.
Le harcèlement sexuel, voire le viol, sont totalement condamnables sans réserves, d’autant qu’il y a de grandes difficultés à établir les faits, et à fournir des preuves réelles de l’accusation.
C’est curieux mais frère Tariq vient de publier un livre dans lequel il prétend qu’il est le nouveau Capitaine Dreyfus, victime d’une injustice équivalente; rien que ça.
S’agit-il d’une réponse du berger à la bergère, organisée par son club de groupies inconditionnelles ?
Depuis qu’aux USA des femmes prétendent avoir été victimes de viols il y a 40 ans, tout est possible.
Au bout de combien d’années il y a prescription ?
TRUMP, depuis son élection, a été accusé de viol, à quatorze reprises, tandis que le Juge Kavanaugh a subi lui aussi l’accusation d’une femme qu’il aurait tenté d’abuser il y a 45 ans; trop c’est trop…..