Pratiquement tous les jours depuis l’élection présidentielle, les médias dominants ont été obsédé par le mythe de la collusion de Donald Trump avec la Russie pour «voler» les élections à Hillary Clinton. Pas un iota de preuve pour cela n’a fait surface.

Pendant ce temps, la preuve d’une collusion très sérieuse entre le président Barack Obama et le groupe terroriste iranien Hezbollah a été révélé, mais elle est complètement ignorée par les militants des médias engagés à protéger l’héritage de leur élu et à abattre leur ennemi haï; l’atteindre par tous les moyens nécessaires.

Politico a publié une enquête époustouflante méticuleuse plus tôt cette semaine détaillant comment, afin de conclure sa désastreuse affaire nucléaire avec l’ Iran, l’administration Obama avait secrètement miné les efforts des organismes d’application de la loi américaine de fermer un réseau international de trafic de drogue géré par le Hezbollah.

« Échangez maintenant » Trump « pour » Obama « et » Russie « pour » Iran « et imaginez l’éruption que ces révélations pourraient générer », écrit David Harsanyi dans le New York Post. :
Parce que, selon toutes les normes journalistiques imaginables, ce scandale aurait dû déclencher une couverture généralisée et paru aux premières pages à travers le pays. Selon toute norme historique, le scandale devrait susciter l’indignation face à la corrosion des normes gouvernantes par les experts et les comités de rédaction.

Harsanyi continue à noter que, dans les jours qui ont suivi la nouvelle, aucun des trois grands réseaux n’a pris la peine de couvrir cette histoire choquante. Il y avait un silence radio, pour ainsi dire, à ce sujet même sur les nouvelles du câble, à l’exception de Fox News. Les grands journaux n’ont pas non plus abordé la collusion potentielle entre l’ancien président et un État soutenant le terrorisme.

« Peut-être que si le président Trump avait tweeté à propos de l’histoire, » écrit Harsanyi, « les points de vente auraient imprimé quelque chose. »
Ces organes de presse qui ont vraiment couvert l’histoire « l’ont encadré comme il ou elle l’a dit ». « Le Reporter de Politico dit que l’administration Obama » a fait dérailler « l’enquête sur le Hezbollah », comme l’écrivait par exemple la gauchiste NPR. On ne l’aurait jamais su si Politico n’avait pas soutenu ce « rapport » (pièce d’enquête de 14 000 mots), diligemment documentée, exposant comment le Hezbollah avait blanchi près d’un demi-milliard de dollars et transportait de la cocaïne aux Etats-Unis. l’administration Obama a entravé l’enquête de la DEA et n’a pas poursuivi les principaux acteurs.
Harsanyi poursuit:
Ce qui rend le black-out des médias particulièrement honteux, c’est que l’histoire n’est pas une oeuvre partisane à succès. Elle a été écrite par un journaliste bien considéré et respecté dans un grand journal. L’histoire a deux sources sur le disque – ce qui est plus que ce que nous pouvons dire pour la grande majorité des prétendus scoops de l’enquête « de collusion » avec les russes. L’une de ces sources, David Asher, était un expert en finances illicites du Pentagone qui avait été engagé pour mener l’enquête. Il n’y a aucune raison plausible pour l’ignorer lui ou l’histoire.

« La prépondérance des éditeurs, des journalistes, des experts et des bookers, d’un autre côté, continue d’affliger les Démocrates », conclut Harsanyi. « Choyer c’est peu dire. De connivence » pourrait être plus approprié.
Source :Adaptation Mordeh’aï pour malaassot.com

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