(Photo: Flash 90)
Avant de sombrer dans le coma: Sharon évoquait également le désengagement en Judée-Samarie
Le Premier ministre Ariel Sharon, qui a conçu le plan d’expulsion des juifs du Gush Katif et du nord de la Samarie, discute d’un autre plan de désengagement en Judée-Samarie: « Sharon a clairement planifié un autre retrait en Judée-Samarie »
Nouvelles préparées 30.07.20 09:04 T. Bab Tashp
Deux semaines après la mise en œuvre du plan de «désengagement» et la destruction des implantations de Gush Katif en 2005, Ehud Olmert , alors Premier ministre par intérim Ariel Sharon , a demandé à présenter à la secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice un autre plan de désengagement pour prouver que le désengagement de Gaza n’était «qu’une bande-annonce. « , Et qu’une évolution similaire est attendue dans le secteur de Judée-Samarie.
Dans un article à paraître demain (vendredi) dans le journal « Israel Hayom », sous le titre « Le désengagement qui n’a pas eu lieu », Olmert a déclaré que Sharon n’aimait pas l’idée, mais ne l’a pas empêché de présenter des choses à Rice. Selon Olmert, il a même rapporté la rencontre à Sharon à son retour des États-Unis. une décision.
En outre, environ un mois avant que Sharon ne tombe dans le coma à la fin de l’année, Sharon et son ministre de la Justice ont nommé Tzipi membre d’un comité dirigé par Aharon Abramovich, alors directeur général du ministère de la Justice.
Abramovich et d’autres membres du comité, y compris l’ancien chef de cabinet adjoint Moshe Kaplinsky et l’ancien vice-président. «Aux Affaires internationales, Shavit Matias, a été invité à présenter le cadre sécuritaire, économique, juridique et politique d’un nouveau retrait, selon les leçons du désengagement également dans le secteur de Judée-Samarie. Après que Sharon ait subi un grave accident vasculaire cérébral et qu’Olmert soit devenu Premier ministre, Olmert a ouvertement promu le programme de «convergence», qui avait pour but de retirer unilatéralement Israël d’autres régions du secteur de Judée-Samarie.
sous administration egyptienne, la bande de gaza etait tenue de main de fer par leurs « freres »arabes Peut etre mr Shamir a eu les yeux plus gros que le ventre?je vous concede bien volontiers qu’il est facile d’avoir un avis avec le recul de plusieurs décennies…je n’ai pas votre erudition pour imaginer ce qui se passerait si gaza etait toujours sous administration egyptienne mr Shamir etait un homme de valeur meconnu de la majorité des gens Il avait une vision du Grand Israel qui n’avait rien à envier à celle de mr Begin.J’ai lu dans un article je crois bien que c’etait ici lors de déplacements dans le pays avec sa femme, si mr Begin voulait une glace(glida)mme Begin donnait l’argent au chauffeur pour qu’il s’arrete à un kiosque pour lui en acheter!!Les temps ont bien changé joseph Shabbat Shalom
Le désengagement de Gaza entrait dans une stratégie politique consistant à séparer les squatters arabes et rendre impossible toute création d’un état arabe viable. Il était évident que le Hamas allait prendre le pouvoir à Gaza et que ce territoire ne serait pas viable par lui-même. Israël a appliqué la classique stratégie de guerre, diviser pour régner, le temps de mener à bien la stratégie de Bégin et Shamir d’implantations Juives tous azimuts. Maintenant, le fait est accompli, plus d’un million de Juifs vivent sur cette zone. L’affaire est pliée et les trois millions de squatters arabes n’ont pas d’autre avenir que de partir à moyen terme plutôt qu’à long terme. En attendant, Israël maintient le Hamas à Gaza pour soutenir la situation de division, mais une fois la Judée-Samarie annexée, le tour de Gaza arrivera. Ce n’est plus qu’une question de temps: moins de 5 ans pour la Judée-Samarie? et combien d’années de plus pour Gaza?
Il est toujours commode de « faire parler les morts » et cette façon de faire endosser ses idées par Sharon, de la part d’un Olmert encore plus extrémiste de gauche, depuis qu’il n’est plus en politique, mais discrédité par les affaires, n’est pas très fair-play.
Il existe une autre version, ici totalement passée sous silence : le désengagement du Goush Katif pensé comme un « échange », avec Bush junior, qui l’aurait signé, contre le fait de foutre la paix aux près de 450.000 résidents de Judée-Samarie, proprement « indéboulonnables » de leur position, puisque représentant un véritable « exode intérieur » qu’aucune armée n’accepterait de mener. Sans compter le quasi-risque de « guerre civile »… : qu’on imagine : reloger 450.000 exilés de l’intérieur, sans compter le renoncement à une partie du rêve sioniste, pour se capitonner d’être un « Etat Palestinien » survalorisé!!!
Au-delà de l’utopie irréaliste, comment un tel procès d’intention, « sous perfusion », OU UN TEL PROJET aussi vite avorté, dans les faits, pourrait-il nous servir de point de repère historique? On sait, techniquement que, par ailleurs, les « élections palestiniennes » de 2006, avec 66% de voix au Hamas, et le coup d’Etat du même groupe islamiste à Gaza en juin 2007, ont proprement gelé tout pourparler d’Annapolis (novembre 2007) et toute « négociation » depuis. Donc, comment et pourquoi un second « retrait unilatéral »? Les Israéliens, sous les bombes de Gaza, n’auraient pas laissé faire. Plus sagement, c’était l’amorce de « Plomb Durci », moins d’un an plus tard.