Scarlett Johansson est l’actrice la plus rentable de tous les temps
PS : encore un grave revers pour les Boycotteurs qui lui ont fait une campagne indigne pour avoir osé faire la promotion de SodaStream, encore présent dans la Zone C des territoires « disputés ».
Le grand public l’a découverte pour la première fois en 1994 dans L’Irrésistible North, de Rob Reiner, aux côtés de Bruce Willis et Elijah Wood. Elle avait 10 ans. Vingt-deux ans plus tard, Scarlett Johansson s’est définitivement fait une place dans l’univers concurrentiel de Hollywood et pulvérise aujourd’hui un record. Mercredi 29 juin, l’interprète de Lucy a reçu le titre d’« actrice la plus rentable » de toute l’histoire du grand écran, décerné par leBox Office Mojo, un site spécialisé dans le recensement des revenus du box-office.
Des premiers prix très masculins
Ainsi, Scarlett Johansson devance de loin ses rivales. Cameron Diaz, élue la deuxième actrice la plus rentable du classement global, n’arrive qu’en 19e position avec 3 milliards de dollars générés dans sa carrière. Par ailleurs, Jennifer Lawrence, qui a été élue actrice la mieux payées de l’année 2015 par Forbes, n’arrive elle qu’en 55e position, avec un millliard de dollars de moins que Scarlett Johansson.
Reste que si la star d’Avengers est en pole position parmi les comédiennes, elle arrive seulement 10e du classement mixte, derrière Harrison Ford, en tête du classement avec 4,8 milliards de dollars générés, suivi de près par Samuel L. Jackson (4,6 milliards), Morgan Freeman (4,4 milliards) et Tom Hanks (4,3 milliards).
Scarlett Johansson, actrice et sex-symbol
En images
L’actrice juive Scarlett Johansson, femme la plus sexy au monde ?
Trois films en sortie, lors des festivals de cet automne, prouvent, s’il le fallait, que cette jeune actrice juive polonaise »>Article original du New Jersey, révélation de la « Veuve Noire », est devenue la femme fatale la plus prisée… et la plus redoutable d’entre toutes. L’actrice Scarlett Johansson représente, aujourd’hui, le summum de l’attrait sexuel, que vous soyez originaire du New Jersey ou d’ailleurs !
Trois films très attendus le soulignent, et sont sur le point de marquer de leur empreinte le circuit classique des festivals d’automne, tremplins des « images de prestige », qui font le buzz, vers l’obtention des récompenses.
Le mystérieux « Dans la peau », un projet longtemps en gestation du metteur en scène judéo-anglais Jonathan Glazer, est, en ce sens, du plus grand intérêt.
Dans le Figaro du 04/09/13
“Dans la peau” est basé sur un roman satirique de science-fiction, de l’auteur hollandais Michel Faber. Se déroulant en Ecosse, il est centré sur le personnage d’une extra-terrestre envoyée sur notre planète, dans le but de piéger et de kidnapper des humains, élus pour servir de plats gourmets à leurs hôtes venus d’ailleurs. Glazer, scénariste de vidéos de rock révolutionnaires, comme « Karma Police » de Radiohead, « Virtual Insanity » de Jamiroquai et du film policier culte « Sexy Beast », avec Ben Kinsley, s’est montré bien avisé d’engager Scarlett Johansson, dans le rôle de l’irrésistible sirène interstellaire, mangeuse d’hommes, partie à la chasse aux auto-stoppeurs.
“Dans la peau” est le premier film de Glazer, depuis son œuvre surnaturelle « Birth », en 2004, avec Nicole Kidman, dans le premier rôle. Il fera ses débuts, le 3 septembre au Festival du Film de Venise, immédiatement suivi par une révérence au Festival International du Film de Toronto.
Fera également son apparition à Toronto : “Don Jon”, le premier film écrit, mis en scène et réalisé par l’acteur juif-américain et “ nouveau pionnier des media Article original ”, Joseph-Gordon-Levitt.
“Don Jon”, qui a débuté au Festival du film de Sundance (principal festival américain du cinéma indépendant, dans l’Utah) et qui doit être joué au théâtre à la mi-septembre, met en scène un jeune homme italo-américain doté d’une bonne nature, absorbé dans le tourbillon étourdissant des symboles de l’ « american way of life ». Il s’achète sa joie de vivre, grâce à sa voiture, à la routine de sa vie quotidienne et, croit-il, a fait d’avoir trouvé la petite amie parfaite sous tous rapports.
La vision d’un naturel sans fausse note illumine le personnage de Scarlett Johansson, avec ses bouclettes désordonnées et sa petite robe rouge moulante. La croissance de Levitt vers l’âge d’homme véritable s’incarne par sa rupture avec son addiction maladive à la pornographie sur Internet (qui donne lieu à quelques scènes comiques et d’autres vraiment tristes), a fur et à mesure qu’il réalise que Johansson représente plus un idéal qu’une partenaire taillée sur mesure pour lui.
Nous avons entendu parler, mais n’avons encore pas pu la voir dans ‘Her,’ qui offre un premier rôle à l’acteur juif Joaquin Phoenix. (photo credit: Courtesy Warner Bros.)
Nous avons entendu parler, mais n’avons, malheureusement, pas encore pu voir Scarlett Johansson dans le « Her » (« Elle ») de Spike Jonze qui offrira sa première au Festival d Film de New York, le 13 octobre. Jonze (né Adam Spiegel) a assi démarré sa carrière par les vidéos musicales ((Beastie Boyz, Fatboy Slim, Arcade Fire, Jay-Z et Kanye West) et il est cet homme fou responsable de films comme « Dans la peau de John Malkovich » et « Adaptation ».
Tout comme “Dans la peau”, les caractéristiques spécifiques de « Her » demeurent un peu vagues, mais il donne le premier rôle à Joaquin Phoenix (nés de parents juifs expérimentant un art de vivre New Age à Puerto Rico) incarnant un homme socialement maladroit, aux prises avec le système interactif de son smartphone dernier cri. Que cette application de reconnaissance vocale emprunte la voix de Sco-Jo, on peut en être certain, fait partie des raisons qui ont permis de mettre cet appareil sur le marché.
Alors que personne n’a encore pu assister à la projection de « Her », il est plus que probable que les attraits de Scalett Johansson, en femme imaginaire numérique, conduira, d’une manière ou de l’autre, à la ruine de cet homme sans voix.
Le mystérieux ‘Dans la peau’ met Scarlett Johansson dans le rôle d’une mangeuse d’hommes extra-terrestre. (photo credit: Courtesy Film4)
Ces trois rôles, mettant en scène la séduction dangereuse de la femme par excellence, représentent un tournant particulièrement intéressant à la suite des succès les plus récents de Scarlett Johansson, tels que sa prestation dans le rôle du formidable super-agent Black Widow (la veuve noire), dans « Avengers » (« Vengeurs ») qui a connu une énorme réussite. Alors que son personnage use, parfois, de ses attraits féminins pour piéger les méchants (ou leur faire penser qu’elle est bien plus frêle qu’elle ne l’est en réalité) les Films de Marvel ont fait un excellent travail, en respectant l’esprit des personnages, autant que leur type. Natasha Romanoff le personnage incarné par Scarlett Johansson, dans « la Veuve Noire » »>Article original (et, cela va de soi, sa tenue juste-au-corps noire) sera de retour sur les écrans, en avril prochain, dans « Captain America : The Winter Soldier » Capitaine América : le Soldat venu de l’Hiver » »
Critique de : JORDAN HOFFMAN 29 août 2013, 4:59 pm
Tout ça c’est du cinéma…
Elle est belle, elle est même très très belle. Et en plus elle est juive.
Ça les rend fous de rage. Et moi ça me fait sourire.