L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a débuté dimanche dans la ville de Cracovie en Pologne la 41ème session du Comité du patrimoine mondiale, en présence de 21 Etats membres et plus de 170 pays observateurs.
Les responsables auront jusqu’au 12 juillet pour débattre et voter des résolutions visant à la protection de sites à travers le monde. L’une des résolutions porte notamment sur l’inscription de la ville de Hébron en Cisjordanie en tant que site palestinien protégé, tandis qu’une seconde vise à contester la souveraineté d’Israël à Jérusalem, une annonce qui a provoqué de vives contestations dans l’Etat hébreu.
La vieille ville de Hébron, qui abrite le Tombeau des Patriarches, est un lieu saint pour les Juifs et les Musulmans. L’Autorité palestinienne, avec le soutien des autorités jordanienne, réclame l’inscription des lieux sur la liste du Patrimoine mondial en péril de « l’Etat de Palestine » en prétextant des « détails alarmants concernant les violations israéliennes à Al-Khalil (Hébron), dont des actes de vandalisme, des dégradations et d’autres attaques ».
La député israélienne et ancienne ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni a fustigé dimanche la proposition de résolution palestinienne et appelé l’UNESCO à rejeter ce « vote provocateur ».
« Je suis un leader de l’opposition en Israël, mais je ne suis pas en opposition avec l’Histoire de mon peuple, ni en opposition avec la vérité », a déclaré Mme Livni.
« Ces décisions ne nuiront pas au lien entre mon peuple et les villes de Jérusalem et Hébron, mais elles porteront préjudice à l’UNESCO et sa capacité à promouvoir des intérêts communs », a-t-elle insisté, précisant que l’organisation ne devait pas devenir une « arène politique ».Selon l’ancienne ministre, des représentants d’Etats membres « exploitent l’UNESCO à des fins politiques ».
Par ailleurs, Israël a interdit la semaine dernière l’accès de la ville de Hébron à des représentants de l’UNESCO venus s’y rendre « en repérage ». Une décision « de principe et stratégique », a affirmé l’ambassadeur israélien à l’UNESCO, Carmel Sharma HaCohen.
« Nous sommes au cœur d’une campagne contre l’ouverture d’un nouveau front palestinien dans la guerre religieuse et culturelle dans laquelle ils souhaitent nous attirer », a-t-il déploré.
La date du vote en question n’a pas été communiquée, mais compte tenu de la majorité automatique dont bénéficient les pays arabes, la résolution devrait être acceptée, a souligné le Times of Israel.
Depuis deux ans, les pays arabes à l’UNESCO, soutenus par les Palestiniens, ont fait voter des résolutions dans lesquelles les lieux saints juifs du Mur des Lamentations et du Mont du Temple sont désignés uniquement par leurs noms musulmans: le mur de Buraq et la mosquée Al-Haram Al-Sharif, niant ainsi le lien millénaire entre les Juifs et leurs lieux saints.
 |
 |
s’il arrive a contester les droits d’Israël, ils pourront récupérer les dollard du pétrole, et du gaz, qu’Israël commence à exploiter, et c’est dans cet unique but que le hezbollah avec l’UNESCO, rassemblé pour la bonne cause, ( la cause des dollards ) cherchent à conquérir Israël, la seule raison, la vraie raison, l’unique raison c’est les DOLLARDS
La terre d’Israël Dieu vous l’a donné, elle est à vous, et ne permettez à personne de vous la reprendre