L’ex-président iranien Ali Akbar Hachémi Rafsandjani, rompant avec la thèse officielle défendue à Téhéran, a accusé dimanche le gouvernement syrien d’avoir eu recours aux armes chimiques contre son propre peuple, rapporte l’agence de presse iranienne Ilna. »Le peuple syrien a beaucoup souffert ces deux dernières années », a-t-il ajouté.
01-096-2013/ Le Figaro.fr avec Reuters Article original