Un responsable du Hamas occupant un rôle stratégique d’intermédiaire avec l’Iran meurt 3 semaines après s’être « accidentellement » tiré une balle en pleine tête
Le groupe terroriste déclare qu’Imad al-Alami, un agent de liaison crucial entre Gaza et l’Iran, s’est accidentellement tiré dessus, mais les circonstances de cette auto-élimination ciblée restent confuses.
Un responsable de premier plan du Hamas, qui avait subi des lésions critiques à la suite d’un coup de feu présenté comme involontaire, il y a trois semaines, à son domicile dans la Bande de Gaza, a été déclaré décédé, mardi, alors qu’un nuage d’incertitudes plane encore autour de l’incident. =
Imad al-Alami, qui était le principal agent de liaison entre Gaza et Téhéran, s’est tiré en peline tête le 9 janvier, alors qu’un porte-parole du groupe terroriste a mentionné à l’époque qu’il avait déchargé accidentellement sa propre arme en l’inspectant.
Un autre porte-parole du Hamas, Haze Qasem, a annoncé la mort d’Al-Alami, mardi matin, dans une prise de parole devant les médias de Gaza à l’hôpital Shifa.
Le groupe n’a pas révélé les détails de cette manipulation de l’arme qui a assassiné son maître et il demeure incertain de savoir si Al-Alami a pu être la cible d’une tentative d’élimination [interne ou adverse], que le Hamas préfère dissimuler, s’il s’est réellement suicidé à cause d’une maladie grave ou si le tir a réellement pu être aussi accidentel qu’on veut le laisser entendre.
Al-Alami, également connu sous le nom de guerre d’Abu Hamam, est né en 1956 à Gaza. Il a été un des fondateurs du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza et il occupait, depuis des années et jusqu’à ce jour funeste, le rôle de principal représentant du groupe terroriste à Téhéran, avant de déménager à Damas en 2008. Le Hamas tenait à insister, ces derniers temps, sur le fait que l’Iran est, actuellement, son principal fournisseur en armement militaire.
Au début de la guerre civile en Syrie, en 2012, c’était le dernier dirigeant important du Hamas à quitter Damas et à revenir à Gaza, où il a rapidement été élu dirigeant-adjoint du Hamas, un rôle qu’il a occupé jusqu’aux dernières élections internes l’an dernier.
Il était unique, parmi les dirigeants du Hamas, pour se tenir systématiquement à l’écart de la presse. Il ne prenait jamais part aux conférences de presse, pas plus qu’il n’était actif sur les réseaux sociaux.
Al-Alami qui était ingénieur en mécanique de formation, avait subi de graves blessures aux jambes, au cours de la dernière guerre entre Israël et Gaza, à l’été 2014, dans des circonstances qui, là, non plu, n’ont jamais été totalement éclaircies.
Selon certaines allégations, il aurait été blessé lorsqu’un ascenseur s’est effondré, à l’intérieur d’un tunnel où se trouvaient dissimulés les hauts-dirigeants du Hamas. Une autre rumeur dit qu’il a été blessé dans un échange de tirs fratricide entre membres du Hamas réglant leurs propres comptes. On note qu’il a été soigné en Turquie, maison-mère, avec le Qatar et l’Iran, du groupe terroriste islamiste palestinien.
Al-Alami avait été expulsé vers Gaza en 1991, après avoir été arrêté par les forces de sécurité israéliennes pour menée d’activités terroristes au nom du Hamas.
©JForum avec agences
S T O P ! ! – Stoppons tout – notre travail, notre appel, notre ménage, nos courses bref tout et observons une minute de silence pour le plus beau jour de tous les français –
Imad al-Alami meurt 3 semaines après s’être “accidentellement” tiré une balle en pleine tête
C’est I N C R O Y A B L E – retenons cette date et je propose qu’elle devienne un jour férié – c’est historique !! – j’en suis toute bouleversée !!!
Dites vous bien ……« Lorsqu’un enfant musulman naît, il naît une bombe potentielle
pour la planète car Mohammed a dit « Le paradis se trouve à l’ombre de la lame ».
Les fennecs, eux, ont un cerveau…….
Nathalie JORGE – LAICK (NICE)
La ou sont les cadavres s’assemblent les charognards !!!
Je ne suis pas sûr que mon coeur résiste à une aussi mauvaise nouvelle. Snif, snif…