À Stains, une rue au nom de la femme du prophète Mahomet fait polémique

Un projet éphémère renommant symboliquement certaines rues de Stains (Seine-Saint-Denis) par des noms de « femmes inspirantes » fait polémique sur les réseaux sociaux.

À Stains (Seine-Saint-Denis), une plaque au nom de la femme du prophète Mahomet, posée au-dessus du panneau indiquant la rue de Pontoise en septembre 2022, fait polémique sur les réseaux sociaux. Cette plaque éphémère, qui s’inscrit dans un projet artistique participatif réalisé par des habitantes de la ville, visait à « renommer symboliquement les rues du quartier avec des noms de femmes inspirantes ».

Mais à Stains, l’islamisation rampante de la ville est orchestrée par le maire, très proche des islamo-gauchistes. Il soutient de manière ostentatoire le terrorisme palestinien et les mouvements liés aux frères musulmans comme le Hamas. Il est le premier à retirer les sapins de noël, mais ne voit aucun inconvénient, à nommer une rue au nom de la femme du prophète Mohamed dont tout le monde, à Stains tout au moins, connaît les actions méritoires. Si le français moyen n’a pas une connaissance du coran, le maire se fera un grand plaisir, dans le cadre de sa vision de la laïcité républicaine, à le lui enseigner.

Une plaque polémique

Sur Twitter, les réactions des militants et de figures politiques d’extrême-droite n’ont pas tardé à pleuvoir à la vue d’une plaque mettant à l’honneur Khadija Bint khuwaylid, la première épouse du prophète Mahomet.

Le projet, financé par le bailleur social CDC Habitat ( entre les mains du maire) en concertation avec le centre social Maroc Avenir, a été bâti par les femmes de Stains. « J’ai souhaité inviter à réfléchir sur la place des femmes dans l’espace public, dans nos villes et plus généralement dans la société. L’intention est de leur redonner plus de place en renommant nos rues, nos résidences, nos bâtiments publics avec des noms de femmes qui nous inspirent par leur parcours ou leurs combats », expliquait le photographe Philippe Monges à l’origine du projet dans les lignes du journal municipal Stains actu. Nul doute que la femme du prophète Mohamed, inspire beaucoup de personnes à Stains, et on se demande même pourquoi il y a une petite note explicative, qui devrait leur sembler superfétatoire.

La municipalité dénonce la polémique

De son côté, la municipalité , qui est à l’origine de cette provocation,  dénonce une « polémique qui n’a pas lieu d’être ». « La rue n’a pas été renommée, la plaque nominative existe toujours. Il s’agit d’un projet éphémère, qui n’a pas vocation à perdurer dans le temps », indique la Ville, qui n’a pas participé à ce projet. « Nous avons découvert les plaques le jour où elles ont été posées », précise-t-elle.

Dans un communiqué publié sur Twitter, le maire de Stains Azzédine Taïbi indique que ce projet a « pour objectif premier de réfléchir à la place des femmes dans l’espace public. » « La haine n’a pas sa place au sein de notre République », écrit-il, regrettant une polémique alimentant « la théorie délétère du « Grand Remplacement » » sur la ville de Stains et en Seine-Saint-Denis.

 

La municipalité regrette la focalisation de l’attention sur une seule plaque, indiquant qu’il s’agit d’un projet plus vaste « pour valoriser des femmes de tous horizons ». Parmi les autres femmes à l’honneur dans le quartier figurent notamment Jeanne d’Arc, Mère TérésaJoséphine Baker ou encore Greta Thunberg.

Pour expliquer leurs choix, les Stanoises ont rédigé un petit texte explicatif sous le nom de la personnalité choisie.

Stains-Actu corrigé par Jforum.

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patriote2020

C’est le Grand Déclassement qui continue.
Prochaine étape : les nom des jardins et fontaines vont être rebaptisés en « Jardin du Coran », « Jardin des Sourates », « Jardin Hallalique », « Fontaine de l’Aïd », « Fontaine du Mouton Egorgé », etc…