Devant le scandale que représente la mauvaise gestion de cet Institut islamisé, rappelons que la Ministre, souvent, aux abonnées absentes, a, longtemps, préféré faire l’Autruche.
La nuit du jeudi 21 mai, l’IUT de Saint-Denis a vécu un nouvel épisode difficile d’antisémitisme. Après les nombreuses menaces de mort à l’encontre de son directeur, Samuel Mayol, depuis plus d’un an, des étoiles de David ont été dessinées sur la porte du bureau d’une fonctionnaire de l’établissement.
Le Syndicat national de l’enseignement supérieur (Snesup) « tient à exprimer son plein soutien aux personnels de l’IUT de Saint-Denis qui ont rendu publiques les menaces odieuses [ antisémitisme] dont ils ont été l’objet le week-end dernier », a annoncé l’organisation syndicale mercredi 27 mai.
Des menaces qui ne datent pas d’hier
Depuis plus d’un an, Samuel Mayol, directeur de l’IUT de Saint-Denis, a reçu de nombreusesmenaces de mort.
Le 12 mai, le ministère de l’Education nationale réagissait en demandant sa mise sous protection policière. Il précisait qu’à la demande du directeur, « des mesures visant à assurer sa protection » et « sa sécurité personnelle ont été prises et sont d’ores et déjà en vigueur ».
Antisémitisme flagrant : Des intimidations à caractère antisémite
La nuit du jeudi 21 mai, un nouvel épisode a touché l’établissement : des étoiles de David ont été dessinées sur la porte du bureau de l’une des fonctionnaires de l’établissement. « Une intimidation à caractère antisémite », a immédiatement dénoncé Najat Vallaud-Belkacem, dans un communiqué de presse. Un acte contre lequel l’université Paris 13, dont dépend l’IUT, a porté plainte. « Depuis une semaine, les menaces ont pris un caractère antisémite notoire », dénonce le Snesup.
« Jusqu’où faudra-t-il aller pour que le droit à la protection des personnels de l’IUT de Saint-Denis soit enfin respecté ? », interroge le syndicat qui souhaite que « toutes les mesures administratives soient prises afin de garantir la sécurité des personnels menacés dans leur intégrité physique, aussi bien par l’octroi de la protection fonctionnelle que par le respect de la liberté de faire valoir leur droit de retrait ».
Pour le Snesup, ces nouvelles provocations montrent « que les auteurs des menaces agissent avec un sentiment d’impunité inadmissible ». Pour l’organisation, « la révélation du caractère collectif des menaces visant non plus seulement le directeur depuis plus d’un an, mais également six autres collègues de l’IUT, ne semble donc pas prise en considération par la présidence » de l’université Paris 13. Selon Le Figaro, Jean-Loup Salzmann, président de l’établissement, « a informé la ministre que toute l’aide nécessaire serait apportée à la victime pour qu’elle puisse poursuivre ses missions ».
murs de l’université recouverts d’affiches hostiles, et incitatives à la haine,professeurs menacés ,étudiants juifs molestés ,tags anti israéliens et antisémites peints sur les murs , telles sont leurs activités « étudiantes «