Trump et Netanyahu confirment la coordination militaire américano-israélienne contre la menace d’une attaque iranienne
La conversation entre Trump et Netanyahou dimanche soir, le 1er décembre, a finalisé les arrangements pour la coordination militaire contre l’Iran, mise en place lors des récents pourparlers des généraux américains lors de visites en Israël, rapporte DEBKAfile.
L’échange entre le président des États-Unis et le Premier ministre israélien, portant sur «la menace de l’Iran» et «d’autres problèmes bilatéraux et régionaux critiques», a eu lieu avant le sommet de l’OTAN à Londres cette semaine et dans le contexte des nouvelles menaces de Téhéran contre États-Unis et Israël.
Les sources militaires de DEBKAfile notent que de hauts généraux américains ont pénétré à l’intérieur et à l’extérieur d’Israël ces dernières semaines. Ils comprenaient le général David Goldfien, chef de l’US Air Force, le général Jeffrey Harrigan, chef des forces américaines de l’US Air Force Europe-Afrique, et le général Kenneth McKenzie, commandant des forces américaines au Moyen-Orient. Enfin, le général Mark Milley, président des chefs d’état-major des États-Unis, est arrivé la semaine dernière pour mettre la dernière main au programme de coopération opérationnelle contre l’Iran élaboré par les généraux américain et israélien.
La conversation entre le général Milley et le chef d’état-major de Tsahal, le général Aviv Kochavi, n’a donné lieu à la révélation aucun détail, à l’exception d’une déclaration laconique : «Les deux généraux ont discuté de questions opérationnelles et de développements régionaux».
Toutes ces discussions tendues se sont accompagnées d’un mouvement important : Le groupe de frappe du porte-avions américain USS Abraham Lincoln a quitté le nord de la mer d’Oman pour se rendre dans le Golfe, pour la première fois depuis juin. Il a traversé le détroit d’Hormuz pour prendre position en face du centre de l’Iran.
Le 23 novembre, le général McKenzie a déclaré à propos de l’attaque iranienne par missile contre le pétrole saoudien le 14 septembre: « Mon jugement est qu’il est très possible qu’ils attaquent à nouveau », ou des cibles alliées, y compris Israël.
Cette menace a été énoncée vendredi 29 novembre dans un discours du général Allahnoor Noorollahi, conseiller du commandant du collège des officiers des gardiens de la révolution iraniens (IRGC). Il a déclaré que 21 des bases américaines de la région sont dans la ligne de mire des missiles iraniens et que « l’Iran s’est préparé à la plus grande guerre contre le plus grand ennemi ».
Le président Trump se rend au sommet de l’OTAN cette semaine après que les Etats-Unis et Israël ont achevé leurs estimations et leurs préparatifs militaires en vue d’une confrontation, dans le but de dissuader l’Iran de mener à bien son offensive prévue – ou d’être prêt pour une contre-attaque.
Trump and Netanyahu confirm US-Israel military coordination against threatened Iranian attack
Est-ce enfin la fin de cet état terroriste qui sème la peur dans les capitales occidentales et autres?
Si tel est le cas ça ferait un beau cadeau de Hanouka et aussi de Noël, mais surtout le monde serait plus sûr.
Les iraniens que nous plaignons ont choisi leurs gouvernants c’était à eux de s’en débarrasser mais à leur grande majorité ils ont préféré porter le tchador et la barbe en buvant du whisky dans les arrières salles, qu’ils se débrouillent, mais soyez certains qu’en cas de conflit ils seront face à nous.
Entièrement d’accord avec vous Shelomo.
Maintenant, il faut patienter encore un petit peu, les réunions de l’Otan ont eu lieu, les Généraux israëliens et américains se sont rencontrés, l’USS Lincoln est sur zone, exactement face au centre de l’Iran, et le B52 stationné en Jordanie fait chauffer ses moteurs…
Attention Mesdames et Messieurs, le spectacle va bientôt commencer!!!
La fin des ayatollas arrive.
Leur desespoir leur fera commetre l’erreur fatale d’attaquer, et serons balayez en question d’heures.
Les mollahs ne bougeront pas. Ils savent qu’en cas de débâcle militaire leur régime serait balayé par les iraniens.
Moi je n’en peux plus d’attendre…