Les sites pro-russes et donc pro-Irano-syriens rapportent que deux positions au moins ont fait l’objet de frappes (tout en s’accrochant aux mensonges de l’appareil syrien sous perfusion russe, affirmant que des engins : 1 avion et 1 drone israéliens auraient été abattus hier, en dépit de leurs contre-mesures de déviation des tirs de missiles entrants en leur direction – Sachant encore que, si jamais un tel incident s’était produit, les médias des régimes dictatoriaux d’Iran, du Liban hezbollahnisé et de Syrie se serait certainement empressés d’afficher des images de pièces déchiquetées et d’appareils explosés) : il s’agirait du Château de Jandal, au sommet de la montagne al-Sheikh et d’une autre cible contre une base de l’artillerie syrienne près du village d’Ayn Burj.
Carte syrienne qui parle, évidemment de Golan « occupé » au lieu de mentionner qu’il est « libéré » et que, sinon, les djihadistes et le régime comateux syrien s’affronteraient jusqu’au-dessus de Tibériade… En bleu, Israël, en vert, les « rebelles » de tout ordre, de l’autre, en rouge,les forces irano-syriennes et Hezbollah…
L’armée israélienne a riposté mardi soir après l’explosion d’obus de mortier dans le Golan et a visé des positions du régime syrien après avoir confirmé que trois projectiles en provenance de Syrie sont tombés à l’intérieur de la partie israélienne du plateau du Golan sans faire de blessé.
Le dernier projectile est tombé quelques heures après que l’armée syrienne a déclaré avoir abattu un avion et un drone israéliens sur les hauteurs du Golan, en réponse à une riposte de l’armée israélienne survenue la nuit précédente.
L’armée israélienne a de son côté précisé que ses avions avaient été ciblés par des tirs de missiles, mais qu’aucun de ses appareils n’avait été touché.
L’armée de l’air israélienne a frappé mardi des positions de l’armée syrienne après l’explosion d’un projectile en provenance du territoire syrien, a annoncé plus tôt l’armée israélienne.
La frappe a été effectuée sur « des positions d’artillerie du régime syrien dans le centre du plateau du Golan », en réponse à « un projectile » tombé lundi sans faire de victimes, a indiqué l’armée dans un communiqué.
Un haut officier de l’armée syrienne a déclaré à l’agence de presse iranienne Fars qu’une vaste offensive avait été lancée par l’armée syrienne aidée par le Hezbollah pour lutter contre les rebelles sunnites; « une ligne rouge pour Israël », selon le journaliste d’I24newsMatthias Inbar.
L’armée israélienne (Tsahal) considère que le régime syrien est responsable des actes d’agression commis contre Israël et ne tolère aucune entrave à sa souveraineté et à la mise en danger de la sécurité de ses citoyens.
Les tirs de mortier en provenance des combats en Syrie sont fréquents sur le plateau du Golan. Ils semblent être un « débordement de la guerre civile en Syrie », selon les médias israéliens.
Le 4 juillet, l’armée israélienne avait attaqué deux positions militaires syriennes après des tirs en provenance de Syrie qui ont endommagé la barrière de sécurité le long de la ligne de démarcation.
La ligne de cessez-le-feu sur le Golan était considérée comme relativement calme ces dernières années mais la situation s’est tendue avec la guerre en Syrie déclenchée en 2011.
Les médias affiliés au régime syrien d’Assad publient aussi des images Twitter de soins apportés à la frontière par l’Hôpital de campagne israélien à des blessés du Front et de pourparlers en ce sens avec ceux qui les déposent. La règle ne vigueur est que les membres des groupes armés (sans distinction) reçoivent des soins sur place quand seuls les civils peuvent bénéficier d’une hospitalisation dans le pays en cas de blessures et séquelles graves.
Un « rebelle » blessé, traité par des soldates et soldats israéliens près de la frontière de Quneitra en Israël (Photo: dailymail.co.uk)
Wounded Al-Nusra terrorists, treated by Israeli soldiers near the Quneitra border in Israel (Photo: dailymail.co.uk)
Soldats et rebelles dont des islamistes à la barrière de Quneitra (Photo: twitter.com / GeopoliticsWar)
Soldats et rebelles dont des islamistes à la barrière de Quneitra (Photo: twitter.com / GeopoliticsWar)
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