Benny Gantz signe l’ordre de saisir 4 millions de dollars transférés de l’Iran au Hamas
L’argent était destiné à développer l’infrastructure terroriste du Hamas à Gaza, y compris la production d’armes et les salaires des terroristes.
Le ministre de la Défense, Benny Gantz, a signé mardi un ordre de saisir 4 millions de dollars transférés de l’Iran à l’organisation terroriste Hamas à Gaza.
Cette décision fait suite à une recommandation du Bureau national du financement de la lutte contre le terrorisme (NBCTF) du ministère de la Défense.
L’argent, selon un communiqué du ministère de la Défense, était destiné à développer l’ infrastructure terroriste du Hamas à Gaza, y compris la production d’armes ainsi que les salaires des terroristes de l’organisation. La source des fonds est le régime iranien, qui continue d’agir contre l’État d’Israël.
L’ordonnance qui a été signée se dresse contre l’homme d’affaires de Gaza Zuhir Shamalch et sa société de change, Al-Mutahadun (le syndiqué).
Un ordre similaire a été signé en février 2020. En réponse à l’ordre, et dans un effort pour déguiser sa relation avec le Hamas, la société a changé son nom en Al-Markaziya Lil-Sirafa (le centre de commerce). La commande mise à jour comprend Zuhir Shamalch et le nom d’origine de l’entreprise, en plus de son nouveau nom.
L’arrêté administratif, que le ministre de la Défense a signé conformément aux pouvoirs qui lui sont attribués en vertu de la loi contre le terrorisme de 2016, permet la saisie de fonds ou de biens d’une valeur égale aux entreprises de services monétaires où qu’ils se trouvent, a indiqué le ministère dans le communiqué de presse.
Il a ajouté que Shamalch occupait la place de Hamad al-Khodari, le principal bureau de change du Hamas qui était proche de Yahya Sinwar. Tsahal l’a éliminé lors d’une opération en mai 2019.
L’ordre imposera des restrictions à Shamalch et à sa famille dans le monde entier, en restreignant leurs mouvements dans certains pays, ainsi qu’en restreignant les activités financières de l’entreprise auprès des institutions financières internationales.
La Direction du renseignement militaire, en collaboration avec la FENB, a constitué le dossier qui a conduit à la publication de l’ordonnance.
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Bravo pour cette saisie continuez sur les comptes en Suisse de Abbas été tznt d’autres , mettez les à poil mon général
cher hubert,ça me fait plaisir de lire ta demonstration
entièrement d’accord ,même si je ne sais pas à quoi tu fais allusion
barouh mehaye metim
… et ça n’est pas qu’une question d’esthétique : la chose, le temps et l’espace !
On ne doit plus dire « … israélien, israélienne » mais plutôt « … d’Israël », ceci pour au moins quatre raisons :
– sur le plan strictement musical, l’adjectif « …israélien » est long, appuyé, pesant, chargé (voir agressif), et disharmonieux, comparé à une terminaison en « …el » qui est mélodique, harmonieuse, aérienne et très légère à l’oreille ;
– sur le plan grammatical, « israélien » n’est qu’un adjectif relationnel, il souligne que l’élément auquel il se rattache entretient une relation avec ce nom, Israël, mais sans préciser ni la nature, ni la force de cette relation ;
– sur le plan historique, « …israélien » ne fait référence qu’à l’Histoire récente (depuis 1948) du peuple juif et occulte tout le passé antérieur multimillénaire du peuple d’Israël;
– enfin et surtout, sur le plan symbolique dire « …d’Israël», pour un premier ministre, pour un soldat ou pour toute une armée, représente une responsabilité, une identification et une appartenance définitoire forte et englobant tout le peuple juif où qu’il soit dans le monde et à travers toutes les temps…