La France , dont le 1er flic s’agenouille devant Traoré, rampe devant les gangs tchéchènes et Arabes et laisse des centres-villes à la merci de la voyoucratie. Jusqu’où descendra le gouvernement de la pétoche Castaner-Belloubet-Macron?

 

Le 15 juin 2020 à 20h11

La tension n’est pas redescendue ce lundi. Quelque 150 personnes, parfois encagoulées et armées, se sont à nouveau rassemblées dans le quartier sensible des Grésilles à Dijon (Côte-d’Or), après un week-end déjà marqué par une série d’expéditions punitives menées dans la même zone par des dizaines de membres de la communauté tchétchène. Des poubelles et une voiture ont été incendiées, et plusieurs individus armés ont tiré en l’air en début de soirée, indiquent des sources policières.

Ce nouveau rassemblement tendu survient après l’envoi ce lundi d’un renfort d’une centaine de forces de l’ordre. Selon la préfecture, un escadron de gendarmes mobiles, soit 110 militaires, devait être déployé lundi soir. Vendredi soir, samedi soir et dimanche soir, plusieurs dizaines voire centaines de Tchétchènes, selon la police, se sont rassemblés dans le centre-ville de Dijon puis aux Grésilles, dans le cadre d’un apparent règlement de comptes.

Le maire, François Rebsamen, a lui-même pu constater, dans la nuit de vendredi à samedi alors qu’il rentrait chez lui, qu’une centaine de personnes, certaines armées de battes de base-ball et encagoulées, avaient fait irruption place de la République, en plein centre-ville. « Ces faits sont inacceptables et totalement inédits », a commenté l’édile, qui brigue un quatrième mandat.

Des représailles

Selon des sources policières, l’expédition aurait été lancée à la suite de l’agression, le 10 juin, d’un jeune homme de 16 ans issu de la communauté tchétchène. Dans un communiqué, le préfet Bernard Schmeltz a évoqué des « violences » perpétrées, « semble-t-il dans le cadre d’un règlement de comptes entre des membres de la communauté tchétchène de France et des résidents » de la métropole dijonnaise.

VIDÉO. Scènes de violence extrême à Dijon après une expédition punitive

Une cinquantaine de Tchétchènes ou Français d’origine tchétchène, selon la police, sont revenus dans la nuit de samedi à dimanche à Dijon, dans le quartier sensible des Grésilles. Un homme, gérant d’une pizzeria, a été grièvement blessé par balles, selon la même source.

Une troisième expédition a encore mobilisé, dans la nuit de dimanche à lundi, 200 Tchétchènes, également aux Grésilles, selon une source policière qui précise que les incidents de Dijon n’ont rien à voir avec des violences survenues dans la nuit de dimanche à lundi à Nice. Ces derniers sont intracommunautaires, fait-on savoir de même source.

«Venus de France, de Belgique et d’Allemagne»

Dans une interview au quotidien local Le Bien Public, un homme se présentant comme un Tchétchène et disant avoir participé à l’expédition a confirmé que l’opération visait à venger un « jeune de 16 ans », membre de la communauté tchétchène, qui aurait été « agressé » par des dealers.

« Nous étions une centaine (NDLR : dans la nuit de vendredi à samedi), venus de toute la France, mais aussi de Belgique et d’Allemagne […] Nous n’avons jamais eu l’intention de saccager la ville ni de nous en prendre à la population », ajoute le Tchétchène au Bien Public.

Selon le procureur de Dijon, Eric Mathais, aucune interpellation n’avait été effectuée lundi en milieu de journée et « six blessés » ont été enregistrés « au total dans trois épisodes successifs (vendredi, samedi et dimanche soir) ». Une enquête a été ouverte, « en particulier pour tentative de meurtre en bande organisée, dégradations, incitation à la violence », en cosaisine entre la police judiciaire et la sécurité publique, selon Eric Mathais.

Violences à Dijon : « Ce n’est pas la guerre, mais des événements très graves » selon le procureur

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Par France Bleu BourgogneFrance Bleu

Le procureur de la république de Dijon Eric Mathais le confirme sur France Bleu : les violences du weekend dans la cité des ducs sont toutes liées à un affrontement « communautariste » entre Tchétchènes et Maghrébins. Plusieurs blessés sont à déplorer, aucune interpellation n’a eu lieu. Explications

Eric Mathais, le procureur de la République de Dijon
Eric Mathais, le procureur de la République de Dijon © Radio France – Arnaud Racapé

Le bruit des hélicoptères, les fourgons de police par dizaines dans les rues de Dijon, un blessé grave quartier des Grésilles dans un véhicule parti en tonneaux. Voilà le décor très tendu ce dimanche soir à Dijon, point final d’un long weekend de violences sur fond de _ »_dérive communautaire et communautariste », confirme Eric Mathais.

Dérive communautaire et raciste

Sur les réseaux sociaux, les vidéos s’enchaînent, les commentaires haineux aussi. Certains riverains évoquent des « scènes de guerre », avec une présence en masse des forces de l’ordre aux Grésilles, soutenues par des équipes de CRS. « Ce n’est pas la guerre«  nuance le procureur de la république de Dijon, « mais ce sont des _événements graves_, un peu inédits pour Dijon, et même ailleurs sous cette forme. » 

Car les trois soirs de violence dans les rues du centre-ville n’ont qu’une seule et même source :  « une dérive communautaire sur fond de racisme. Ce sont apparemment des membres de la communauté tchétchène qui ont appelé sur les réseaux sociaux à partir de vendredi à venger des violences commises sur un jeune par des personnes issues de la communauté _maghrébine_. Trois soirs de suite, on a donc jusqu’à 140 personnes qui viennent à Dijon dans ce cadre-là. 

Autre confirmation : un homme est hospitalisé dans un état grave ce lundi matin après un accident lié à ces affrontements. Il était au volant du véhicule accidenté en plein quartier des Grésilles, une scène filmée en direct et publiée sur les réseaux sociaux. « Nous étions en direct au centre de commandement de la police, on voyait sur les caméras ces 140 personnes de la communauté tchétchène rassemblées sur la place du marché aux Grésilles. Et il y a un véhicule qui est venu à proximité, qui a d’ailleurs à un moment donné esquissé un mouvement pour foncer dans la foule, ensuite il y a eu cet accident. » 

Pas d’interpellation, une enquête lancée à Dijon

Cela peut surprendre au vu du déploiement de forces de l’ordre. Aucun individu n’a été interpellé lors des ces violences dimanches soir. « Dans un cas comme ça », défend Eric Mathais, « la priorité c’est avant tout la sécurisation, _éviter que le pire ne se produise_. Et puis dans un second temps, dès le vendredi soir, le parquet de Dijon a décidé de co-saisir la direction interrégionale de la police judiciaire et la sûreté urbaine de Dijon pour essayer de comprendre ce qui s’est passé, de voir quelles étaient les infractions commises – violences graves, violences avec armes, dégradation -,  et puis d’identifier, d’interpeller et de poursuivre les auteurs. Car il  est évident que cette dérive communautariste est intolérable. » 

Alors faut-il craindre de nouvelles violences ? « Il semble qu’après ces trois épisodes, les personnes et les véhicules qui étaient venus d’un peu toute la France _se sont rassemblés dans un dernier temps au Zénith, avant de partir_. On peut espérer que les choses s’apaiseront.  En tout cas nous resterons attentifs, et puis l’enquête judiciaire continuera évidemment. »

Place de la république, zone de non-droit ?

Trafic de drogue, menaces, bagarres fréquentes. Au-delà du quartier des Grésilles, les résidents de la place de la République se sentent de plus en plus en insécurité au pied de leur immeuble. Sur une place pourtant connue pour sa vie nocturne joyeuse. « Tous les weekends, la place de la république est un des lieux d’animation nocturne, avec le pire et le meilleur. Le meilleur, c’est les terrasses de restaurants et de bars. Et puis le pire c’est les fins de soirées avec des personnes sous l’emprise de l’alcool, des comportements pas adaptés avec des véhicules, des violences graves qui interviennent régulièrement. Il est inexact de dire que rien n’est fait. Il y a tous les weekends des interpellations, et régulièrement les personnes sont gardées à vue. » 

Des bagarres qui font partie de la vie d’une ville comme Dijon. Cela arrive, j’ai été procureur dans plusieurs villes.  A Brest par exemple, la vie nocturne était également très agitée, et c’était un peu les mêmes réflexions qu’on me faisait sur la situation. Mais la situation est maîtrisée, même si par moments ont assiste à des choses graves, et pas acceptables.

Conflits et violences communautaires : que s’est-il passé à Dijon ce week-end ?

 – Mis à jour le  –

Par France Bleu BourgogneFrance Bleu

Retour sur les violences qui ont eu lieu à Dijon ce week-end, après l’impressionnante bagarre ce vendredi 12 juin. Selon nos informations des membres se revendiquant de la communauté tchétchène, sont venus de tout le pays, pour se venger de dealers résidant en Côte-d’Or.

Des dizaines de personnes rassemblées vendredi 12 juin Place de la République à Dijon, armées de barres de fer
Des dizaines de personnes rassemblées vendredi 12 juin Place de la République à Dijon, armées de barres de fer © Radio France – Capture d’écran vidéo Tweeter de @Alchechnya

Les bagarres place de la République sont presque devenues une habitude le weekend. Mais les images de la nuit du vendredi 12 juin 2020 restent impressionnantes et inédites à Dijon. On y voit plusieurs dizaines de personnes réunies, armées de barres de fer et de battes de baseball. Il s’agirait d’un règlement de compte entre des membres de la communauté tchétchène venus de toute la France, et des dealers dijonnais.

Une dizaine de blessés pendant un règlement de compte le vendredi

Tout commence sur les réseaux sociaux la semaine précédente. La communauté tchétchène y appelle au rassemblement, afin de venger l’un de leurs membres : un garçon de 16 ans qui aurait été « passé à tabac » à Dijon par un groupe de dealers plus âgés. Le jeune serait toujours hospitalisé dans un état grave, nous indique une membre de la communauté tchétchène.

Le soir même, des tchétchènes venus des quatre coins de la France s’en prennent donc à un bar à chicha : le « Black Pearl », Place de la République, où se trouvaient les potentiels coupables. Des vidéos de ces échauffourées ont ensuite circulé sur les réseaux sociaux. Une bagarre faisant une dizaine de blessés, dont certains sérieusement : l’un d’eux aurait le bras cassé, certains sont en incapacité de travailler. Les représentants des deux communautés se seraient retrouvés le samedi pour apaiser les tensions.

Un homme blessé par balle, la nuit de samedi à dimanche

Malgré tout, la nuit de samedi à dimanche, des coups de feu résonnent dans le quartier des Grésilles. Un homme est blessé par balle avant d’être transporté dans un état grave au CHU. Ses jours ne sont plus en danger ce dimanche, nous indique le parquet. Le procureur de la République de Dijon confirme que ces tirs sont liés à la bagarre de la veille. Les tchétchènes garantissent vouloir seulement « faire peur » au camp adverse, soit d’après eux, « les dealers maghrébins » et que les coupables d’agressions « soient punis par leur propre communauté.« 

Une enquête est ouverte, menée conjointement par la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) et la police judiciaire. Il n’y aurait pas eu d’interpellation pour l’instant. Les forces de police sont renforcées dans Dijon ce dimanche.

Selon les témoignages recueillis, ces événements ne font que renforcer le sentiment d’insécurité de plus en plus palpable aux abords de la Place de la République, pourtant considérée comme un lieu pour sortir faire la fête en centre-ville. La baston de ce week-end était d’une extrême violence selon les témoignages des résidents, certains disent avoir vu un homme recevoir un coup de hache sur la tête.

La rédaction de JForum, retirera d'office tout commentaire antisémite, raciste, diffamatoire ou injurieux, ou qui contrevient à la morale juive.

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aaron

Ce pays est fini. Foutu. Et pour nous, il est temps de faire la valise car tous ces gens là nous détestent et nous sommes en haut de leur liste.
Souvenez vous de ce que disait le Cheikh Hyacine en Palestine : « je rêve d’étrangler le dernier Chrétien avec les tripes du dernier Juif ».
Rien n’a changé.

Jean michel Leray

Le gag, si c’est en est un c’est que c’est un imam qui a joué les médiateurs entre les deux communautés.Où est l’Etat? Source: Marianne.

maujo

LE CHAT DORT
100% d’accord avec vous, ce serait déjà un bon début.

Jg

Il faut leur céder les territoires perdus de la République ,soit la moitié de la France ,et signer un cessez le feu .
Le grand remplacement en marche forcée ,prévoit quelques changements avec l instauration de la charia pour calmer les esprits ! La soumission de toutes les Zelites facilitera la prise en charge par l immigration choisie du lourd fardeau de la gestion d in pays ,appelé autrefois France .

Damran

Après le choc provoqué par cette vidéo dans laquelle nous voyons des Tchétchènes armés de haches, Kalashnikov et autres armes à feu de poing, la réaction la plus inattendue est parvenue du maire LREM (Micron) de Dijon.
Ce dégénéré a déclaré qu’il était en déplacement à Paris et qu’il prendrait le train demain matin pour se rendre dans sa ville; voilà une preuve de solidarité incontestable que les électeurs oublieront lors des prochaines élections et qui vont certainement le reconduire.
Les Français adorent voter pour les équipes qui perdent et qui se moquent d’eux.
Pour faire bonne mesure, ce malade mental a écrit sur tweeter que le calme devait revenir dans sa ville et que chacun devait regagner sa demeure.
Que faut-il attendre de ces dégénérés aux cerveaux en panne, incapables de prendre la mesure des événements et d’agir avec fermeté pour protéger la population de ces violences inconnues en France, venues de pays exotiques à la tradition de non droit ???

gigi

Et pourtant, malgré tout ça, Macron ne s’en sort pas si mal auprès de la population française qui, lorsqu’on l’interroge, n’est pas très loin d’être majoritairement satisfaite de sa gestion du pays.

Au fond, pourvu qu’on ne touche pas à ses 35 heures, qu’on lui verse 90% du salaire à rester à la maison et qu’on lève les dernières interdictions covid pour qu’elle puisse aller en vacances, cette population semble s’accommoder de l’état du pays.

wall

Faut bien comprendre que la France est morte.. Les politiques ont vendu leurs âmes aux démons, aussi bien la gauche que le centre et que la droite…il n’y a plus rien à redresser.

bensoussan jean joseph

les tchétchènes, muzz’s comme les magrhebins ont vecu pour la plupart leur petite enfance en tchetchenie dans des villages détruits par les russes ils sont surement plus aguerris que les arabes magrhebins vendeurs de drogue.Il suffit de quelques autres emeutes aux quatre coins de ce pays pour que la police soit totalement debordée Le pouvoir est il à prendre? Des politiciens mal intentionnés vont finir par le penser j.

LE CHAT DORT

aujourd hui des Tchetchenes , demain des ingouches ? des Daguestanis ? des Kabardino Balkares ? et pourquoi pas des Tchouktches ??

pauvre France…………

le seul remède a toute cette chienlit ou se donnent libre cours des etrangers qui depuis 30 ans ont importé toute la lie de l’ humanité, le seul remède, equiper nod forces de l’ ordre de kalachnikov et avec instructions de s’ en servir contre tous ces factieux

fini les jouets de LBD , Bidules, grenades de desencerclement, et autres gadgets playmobil

avec a la clé emprisonnement des ligues , des médias et autres bordeleurs qui l’ ouvriraient

sans oublier la dissolution de toutes les ONG et la mise au pas de tous ces Rézosossio
sans oublier la fin des subventions a TOUTES les « associations »….tant pis pour les malfaiteurs qui en profitent

Patricia Caille

Tout à fait d’accord ! Bravo