Scandale : Comment TF1 fabrique la propagande pro-palestinienne à l’insu des Juifs. Par Valérie Cudkowicz.
Voilà quelques semaines j’ai été contactée par une équipe de TF1 qui tournait un sujet sur le tramway de Jérusalem. Etant française et habitant sur la ligne du tramway, à Pisgat Zeev, les journalistes voulaient m’interroger sur ce moyen de transport et ma vie en Israel.
Rendez-vous était donc pris à Mahané Yehuda pour retourner ensemble chez moi à Pisgat Zeev en tramway tout en parlant de mon quotidien.
L’interview par Patrick Fandio a duré deux heures et a porté sur des sujets variés.
Certaines questions étaient un peu
En voyant le reportage ce dimanche au journal de 13 heures, je suis tombée de haut!
Pour voir le reportage : http://videos.tf1.fr/jt-we/2014/zoom-sur-jerusalem-ville-de-melanges-8424071.html Article original
Tout ce qui reste de ces deux heures d’interview, est
Par contre, les commentaires off, vont bon train et on m’attribue des phrases que je n’ai jamais prononcées : Pisgat Zeev est “un quartier israélien
Voilà comment on se fait avoir!
Voilà comment on intervient dans un reportage sur le tramway, pour se voir transformer en colon, profiteur.
Pas la peine de rappeler que là ou se trouve Pisgat Zeev actuellement était
Patrick Fandio, en cherchant une française de Pisgat Zeev, n’avait visiblement aucune intention de montrer la réalite de la vie le long du tramway, du moins de ce coté de la ligne, contrairement à ce qu’il laissait entendre. Il ne cherchait qu’un visage à montrer
Il faut un peu de courage quand on est journaliste pour
Suis-je complètement surprise? Non pas vraiment. On sait bien que sur deux heures d’interview, seules quelques minutes seront à l’antenne. Mais on ne s’attend pas à devenir malgré soi, le visage d’une réalité falsifiée, que l’on n’incarne pas et
On espère toujours que ce qu’on dira lors d’une interview sera compris, ou au moins seulement écouté.
Cette lettre ouverte est une façon de dire à Patrick Fandio qu’on ne peut pas
Le journalisme, le vrai, demande une certaine éthique. Mais sur certains sujets “brûlants” il semble que ce soit trop demandé !
Cette lettre est surtout destinée à mettre en garde tous ceux qui seront contactés par des journalistes de médias francophones pour parler de leur vie en Israël, quant à ce qu’ils pourraient estimer être la sincérité et l’ouverture d’esprit de ces journalistes.
Si vous voulez savoir ce qui se passe réellement en Israël, venez sur place vous faire votre propre opinion. Vous serez surpris par la réalité !
BY FEMININ ISRAEL · 28 MAI 2014
femininisrael.com Article original
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Devant le nombre croissant de « journalistes » qui se transforment en porte-paroles du terrorisme arabe et de la mafia du pseudo « peu-ple pâle-hestinien », les Israëliens devront réagir vivement ….
En Israël, s’il le veut, le gouvernement peut frapper directement les journalistes menteurs et/ou les médias qui les emploient. En effet, tous ces gens sont tellement désireux de nuire à Israël leur bête noire, qu’ils en oublient souvent les limites que leur propre éthique de journaliste leur impose….On en vient vite à la propagation de fausses nouvelles et à l’incitation à la haine. On peut alors penser à expulser, sans espoir de retour, ces « journalistes » mus par la haine du pays dont ils boivent l’eau et mangent le pain.
Les Juifs résidant hors d’Israël ont également leur part du fardeau à porter. On peut déjà penser à ne pas répondre aux questions des médias français coutumiers du lynchage d’Israël sur leurs écrans. On peut aussi adresser des e-mails de protestation. Grâce à notre excellente mémoire, les noms des individus impliqués ne seront jamais oubliés et même des années après leurs odieux forfaits chacun se fera un devoir de ne jamais leur fournir de matière pour leur rédactionnel.
Reste la chaise éternellement vide des zz’organisations zzzjuives zz’ élueszz de France……Alors qu’ils sont fort bien placés pour intervenir « en haut lieu », légitimés en cela par leur « mandat électif » ces personnages en restent souvent à garder un silence assourdissant, parfois à menacer de priver ces haineux des Juifs de dessert! Ca ne suffit pas! Peut-être faudra-t-il que les « journalistes » dont nous parlons franchissent le Rubicon et tiennent un discours ouvertement antisémite pour que nos zz’élites zzélues tapent sur la table???
Bonjour,
Après avoir visionné le reportage de Patrick Fandio, l’envoyé spécial de TF1 au Moyen-Orient, je me demande si j’aurais pu garder mon sang froid comme l’auteure de cet article devant le caractère si obséquieusement anti israélien de ce premier.
Ayant maintes fois constaté (tout au long de ses nombreux reportages depuis qu’il œuvre au M.O. pour TF1) que Monsieur Patrick Fandio, à l’élocution claire et précise, n’avait de cesse de stigmatiser plus ou moins ouvertement le comportement d’Israël, et/ou de son gouvernement, et/ou de ses habitants sous un vocable neutre et innocent qui, pour qui savait lire entre les lignes était clairement négatif et à charge contre Israël.
Le danger de ce type de discours ne réside pas dans l’affaiblissement de l’État d’Israël (ce genre de porte-voix de la cause palestinienne et du monde arabe ne peut altérer la démocratie israélienne) mais bien plutôt au niveau des dégâts collatéraux qu’il pourrait déclencher et occasionner, à savoir la recrudescence de l’antisémitisme en Europe et dans le reste du monde (et malheureusement la toute proche actualité belge ne fait que de le confirmer).
Tel un pompier-pyromane Monsieur Fandio relate, commente, décortique, analyse l’information proche orientale. Une seule question me vient alors à l’esprit : en est-il conscient ?
Mais de toute évidence, même s’il ne l’est pas, TF1, son employeur l’est. Et quid des autres médias hexagonaux et européens ?
Depuis l’éclosion d’Internet, la parole se libère et les voix s’expriment plus facilement. Bon nombre d’entre nous réagit à l’actualité, bien souvent sur celle qui nous touche et en tout premier lieu celle provenant d’Israël et du monde Juif. Or, force est de constater que depuis, les choses n’évoluent pas, voire elles se dégradent. Alors que nous reste-il à faire ? Baisser les bras et accepter docilement que nos ennemis nous éradiquent physiquement ou intellectuellement ? Ou bien réagir de manière toujours aussi volontaire mais peut-être un peu plus organisée, construite et ordonnancée, considérant que le débat démocratique est la seule juste voie pour faire entendre notre voix.
Reste à savoir si nos adversaires (déclarés ou non) seront également capables d’emprunter le même chemin ?…