Les médias si prompts à condamner l’Etat juif, plus précisément l’Etat des Juifs, se montrent d’un mutisme total quand ce dernier se voit disculpé dans l’affaire de la flottille pseudo humanitaire, allant soulager d’étranges réfugiés qui depuis plus de soixante années bénéficient d’une aide colossale se chiffrant à plusieurs milliards de dollars par an. Diffamez, diffamez, il en restera toujours quelque chose disait Francis Bacon dans son Essai, sur l’athéisme. Voilà qui est fait.

Etrange chose que de constater en tapant sur Google « Commission Turkel » que seuls des sites proches d’Israël reprennent l’information.

Les donneurs de leçons, ceux qui aboient si vite contre Israël dès qu’ils trouvent un prétexte à le faire, compris nos braves ONG, oublient leur grands principes moraux dont ils savent pourtant si hardiment se vêtir, quand il s’agit de clouer Israël et les Juifs au pilori.

« Indignez-vous » disait l’antisémite de service, quand il s’agit de condamner Israël. Pour le reste dormez tranquilles. Ce préambule après tant de paroles assassines, tant de haines libérées, tant d’hypocrisie criminelle, dont le seul but n’était certainement pas la défense des palestiniens que de délégitimer les juifs pour leur juste aspiration à avoir un petit état, unique pied à terre sur cette planète, paraissait indispensable.
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Le commission Turkel a examiné les rallyes provocateurs (organisations de flottille) qui ont eu lieu il y a sept mois en mer. La première partie de ce rapport a été publiée aujourd’hui Dimanche (23/01/2011) et traite principalement de la légalité du blocus sur la Bande de Gaza et le contrôle juridique de l’intervention de l’Armée israélienne face aux rallyes provocateurs en mer appelées flottilles.
 » Le Comité a salué les opérations de l’armée israélienne pendant l’événement et a déclaré que : « L’assaut était légal »

La commission Turkel a estimé que les soldats ont agi de manière professionnelle face à une extrême violence qui n’était pas prévue.
Le Comité a examiné, et pendant toutes les sessions, les interventions des forces israéliennes, les témoignages des combattants qui sont intervenus, a analysé les rapports des médias, et déterminé sur la base des règles internationales qu’il s’est produit 127 incidents violents sur 133.

Conformément à la loi internationale sur l’usage de la force, la Commission Turkel a déterminé que les soldats ont agi de manière professionnelle face aux actes très violents non considérés à l’avance, comme par exemple la non utilisation d’armes létales remplacées par des armes non létales appropriées en réponse à ces violences.

Selon le juge Turkel, les opérations ont été menées par des commandants de très haut niveau sur la zone, y compris le commandant de la marine, Le Major général Eliezer Marom ce qui souligne l’importance du professionnalisme de Tsahal.  » Cela a aidé à prendre les décisions adéquates et mettre en place des tactiques et lancer des escadrons face à 13 organisations internationales utilisées dans des événements comme celui-ci  » a déclaré le juge Turkel.

« Le blocus n’a pas été imposé pour empêcher l’entrée de l’aide humanitaire »

La commission a étudié les preuves qui démontrent que le Gouvernement
d’Israël a imposé le blocus sur la bande de Gaza uniquement pour des raisons sécuritaires afin d’empêcher l’entrée d’armes et d’argent a des fins terroristes qui sont de réelles menaces pour les citoyens d’Israël.

Le juge Turkel précise que le blocus naval n’a pas été imposé pour empêcher l’entrée d’aide humanitaire et indique qu’il y a un port de commerce sur les plages de Gaza.

Le Juge Turkel a estimé que « l’imposition du blocus a également été considéré comme légitime au vu de la stratégie Globale d’Israël (conflit entre Israël et le ‘Hamas) qui consiste à ne pas fournir le ‘Hamas et est conforme à la fin du contrôle effectif d’Israël sur la bande de Gaza, et ce depuis la fin du désengagement d’Israël de Gaza en 2005.

Le juge Turkel a souligné que le blocus sécuritaire était imposé contre l’infrastructure terroriste du ‘Hamas.

Les restrictions ont été imposées pour limiter la capacité du ‘Hamas et surtout celle de frapper Israël par des actes de terreur. Le blocus n’a pas été imposé pour limiter l’apport de fournitures humanitaires a soutenu le Juge Turkel, et a ajouté que le blocus est compatible avec le droit international.

La conclusion du comité est la suivante : « l’imposition du blocus est légale et conforme au droit international compte-tenu de la situation sécuritaire d’Israël »

Les militants de l’ IHH ont utilisé des armes à feu contre des soldats israéliens.

En ce qui concerne la flottille le juge Turkel précise que des efforts diplomatiques et politiques déployés pour faire cesser la préparation du rallye composé de six navires se sont avérés vains

L’organisation IHH, ne cache pas ses relations avec des organisations terroristes et est un soutien du ‘Hamas

La Commission a noté que le navire (Mavi Marmara) a reçu plusieurs avertissements de la marine israélienne mais qu’il a ignoré ceux-ci et continué a avancer dans la zone de blocus.

Le Juge Turkel décrit comment les activistes se sont préparés a attaquer les soldats de Tsahal, préparant le navire en stockant des armes dans différents endroits de celui-ci.

La commission a noté que les « soldats ont été agressés par des activistes extrêmement violents, que la plupart d’entre eux portaient des masques à gaz. Trois soldats ont été violemment attaqués, leurs armes et équipements ont été saisis et jetés dans une cale où ils ont été battus et n’ont pas reçu par la suite des soins médicaux appropriés. Il est noté également que deux soldats ont été touchés par des balles réelles. Un soldat a été touché par une balle de 9 mm de diamètre et un autre a été poignardé au genou. La commission a souligné les membres de l’IHH ont utilisé des armes a feu contre les soldats de Tsahal »

Le juge Turkel précise que parmi les forces de Tsahal étaient présents 18 médecins, six ambulanciers et 60 soldats.

Certains passagers du Mavi Marmara se sont opposés à un traitement médical.

Selon le droit international un navire qui tente de forcer un blocus naval peut-être saisi et même dans les eaux internationales, cela reste légal.

Le comité A analysé la réponse apportée par les forces israéliennes face à la violence dirigée contre eux.

Les soldats ont utilisé des grenades assourdissantes et des armes non létales. Les soldats ont été briefés avant l’arrivée de la flottille pour éviter au maximum l’usage de la force

«La conception et la façon dont la mission a été organisée et son application n’a pas entraîné un usage illicite de la force en violation du droit international..

Le Chef d’état-major Ashkenazi: assume la responsabilité de l’action.

Ont témoigné devant la commission, entre autres, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ministre de la Défense Ehud Barak et le chef d’état-major le lieutenant-général Gabi Ashkenazi.

Il y a cinq mois, Le chef d’état-major Gabi Ashkenazi devant la commission a déclaré « En tant que commandant de l’armée, je suis responsable de toutes les opérations militaires. L’Action déployée sur le Mavi Marmara a été proportionnelle à la violence dirigée contre les soldats. »

Le lieutenant-général Gabi Ashkenazi a également dit que «les combattants ont risqué leurs vies. Les soldats ont fait preuve de sang-froid, de courage et de moralité. « 

Les quatre membres israéliens et les deux observateurs étrangers qui composent la commission Turkel se sont exprimés d’une seule voix. Ils ont affirmé à l’unanimité que les restrictions imposées dans le cadre du blocus israélien sur la bande de Gaza, ainsi que ses actions militaires liées au Mavi Marmara, étaient en conformité avec le droit international.

Selon les conclusions rendues, « le blocus maritime imposé sur la bande de Gaza – au vue de la situation sécuritaire et des efforts d’Israël pour se conformer à ses obligations humanitaires – a été effectué conformément aux règles du droit international.

Les opérations menées par l’Etat hébreu le 31 mai 2010 ont eu des conséquences regrettables. Néanmoins, l’utilisation limitée de la force et les mesures prévues, nous mènent à une conclusion : les opérations étaient conformes aux règles du droit international. »

La commission chargée d’enquêter sur les incidents survenus à bord du Mavi Marmara, navire de la Flottille pour Gaza, qui tentait de forcer le blocus imposé par l’Etat hébreu, a publié dimanche son premier rapport. Ofer Lefler, porte-parole de la commission, explique que chaque rapport répond à des attentes précises, formulées par le gouvernement.

Fidèle à sa politique générale, Israël a refusé de permettre à quiconque d’autre que son armée, d’interroger les soldats de Tsahal.

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