Netanyahou a convoqué une seconde réunion du cabinet de sécurité, en moins de deux jours, autour de la crise syrienne ; un Ministre important déclare qu’il est impensable qu’on permette à Assad de gazer des enfants.
Le Premier Ministre Binyamin Netanyahou était sur le point de mener une seconde réunion, en moins de deux jours, de son cabinet restreint de sécurité, pour évaluer la crise syrienne, mardi après-midi, au beau milieu d’indications que les services de renseignements israéliens jouent un rôle central, en consolidant le dossier américain contre l’usage syrien d’armes chimiques, à la veille d’une probable frappe militaire conduite par les Etats-Unis.
Avant même cette session, appelé à discuter des implications pour Israël d’un frappe éventuelle, un Ministre israélien de tout premier plan a déclaré qu’il serait inconcevable que la communauté internationale permette au régime du Président Bachar al Assad de continuer à massacrer des enfants avec des armes chimiques.
Naftali Bennett, le Ministre de l’économie, qui siège au cabinet de sécurité, exprimait son point de vue qui équivaut à une exigence d’intervention militaire contre Assad : « Cela ne ce peut pas q
Alors qu’Israël ne devrait, théoriquement pas, prendre directement part à une frappe militaire, on pense, de façon très large, que les informations que détiennent les renseignements israéliens ont joué un rôle central, en forgeant la conviction catégorique des Etats-Unis que le régime Syrien a bien tiré des obus chimiques contre des civils, à l’extérieur de Damas, mercredi dernier, tuant au moins des centaines de gens et en blessant plus d’un millier, selon les groupes rebelles syriens.
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Cette fois-ci encore, les renseignements militaires israéliens, selon tous les recoupements d’information, ont joué un rôle majeur en fournissant les preuves de l’usage d’armes chimiques par Assad. Vendredi, la 2ème chaîne sraélienne révélait que c’est la 155 ème Brigade de la 4ème Division blindée Article original qui a tiré ces obus chimiques, une division sous le commandement du frère du Président, Maher Assad. Les obus à gaz innervant ont été tirés depuis une base militaire implantée dans une chaîne de montagnes, à l’ouest de Damas, selon ce reportage TV.
Ce reportage ne mentionnait pas la source de ses informations. Mais, par la suite, le magazine allemand Focus Article original a révélé q’une unité des renseignements de Tsahal écoutait les responsables de haut rang syriens, alors qu’ils s’entretenaient de la mise en œuvre de l’attaque chimique. Selon le reportage de Focus, samedi, une escouade spécialisée dans les écoutes téléphoniques au sein de la prestigieuse unité 8200 des renseignements, a intercepté une conversation entre des chefs militaires syriens de haut-rang, dissertant de l’usage d’agents chimiques, au moment de l’attaque. Le reportage citait un ex-responsable du Mossad, s’exprimant sous couvert de l’anonymat, qui affirmait que la conversation interceptée prouve que le régime Assad est responsable de l’usage d’armes non-conventionnelles.
Le
“Il est assez probable qu’il s’est produit, là, un certain type d’erreur opérationnelle » a précisé ce responsable cité par le journal. « Je ne pense pas qu’ils voulaient tuer autant de gens, et plus particulièrement, autant d’enfants. Peut-être tentaient-ils de toucher un endroit bien particulier ou d’obtenir un certain effet et qu’ils ont provoqué un impact bien plus dévastateur qu’ils ne le pensaient ».
Dans son discours de ce lundi, présageant une intervention militaire menée par les Etats-Unis et qui condamnait le régime Assad pour sa frappe chimique « inexcusable », le Secrétaire d’Etat américain John Kerry a déclaré tout net que « des armes chimiques ont bien été employées en Syrie » et indiqué que les Etats-Unis avaient reçu « une information complémentaire au sujet de cette attaque, et que cette information était réunie et révisée, ensemble, avec nos partenaires ».
Une déclaration, formulée par la Maison Blanche, lundi, faisait remarquer que l’équipe israélienne présente à Washington a, aussi, évoqué l’Iran et d’autres problèmes régionaux, avec leurs homologues américains, et que cette rencontre faisait partie d’une série de dialogues réguliers, dans le cadre des bonnes relations entre les deux pays.
Un responsable syrien de haut-rang a formulé, lundi, une première mise en garde directe, qu’en cas d’attaque, son pays pourrait exercer des représailles contre Israël. Khalaf Muftah, un dirigeant majeur du parti Baath, qui a l’habitude d’offrir ses services comme ministre-adjoint à l’information, a affirmé, lors d’un entretien à la radio, que Damas considérerait « qu’Israël est responsable l’agression occidentale et qu’en conséquence, il devenait une cible privilégiée ».
“Nous disposons d’armes stratégiques et nous sommes capables de répliquer”, s’est-il employé à convaincre. « Normalement, nos armes stratégiques sont dirigées contre Israël ».
Ses paroles ont été amplifiées par les dirigeants iraniens, lundi, qui ont traité la menace d’une attaque américaine contre son proche allié par un haussement d’épaules, mais affirmé que si une telle frappe avait lieu, Israël serait le premier à en souffrir.
“Les Américains sont incapables de mener une nouvelle guerre dans la région, à cause des défaillances de leurs capacités économiques et de leur moral qui flanche” a ironisé Mohammad Reza Naqdi, le Commandant de la force d’élite des Basiji, au sein des Gardiens de la Révolution ».
“Aucune guerre ne sera déclaré à la Syrie” a plastronné Hossein Sheikholeslam,, membre de l’Assemblée islamique consultative d’Iran. « Cela dit, si un tel incident a lieu, ce qui paraît impossible, le régime sioniste sera la première victime d’une attaque militaire contre la Syrie ».
Des responsables militaires israéliens ont indiqué qu’ils pensent assez improbable que la Syrie puisse prendre Israël pour cible, si les Etats-Unis et d’autres interviennent, parce qu’une seule réplique d’Israël suffirait à faire s’effondrer le régime Assad, mais Israël a, néanmoins, pris toutes ses précautions en matière de sécurité, juste au cas où.
Le second obstacle, dans cette équation, pourrait bien être Obama, qui fera tout pour s’en tenir à une frappe limitée, voire symbolique, et pour la mener, il a, d’abord, besoin de lier les mains d’Israël. Toute guerre, pour Israël, est existentielle. Pour Obama et Hollande, c’est plus que relatif. Moshe Ya’alon a prévenu, ce soir, qu’Israël était paré à tout type de scénario et Netanyahou a précisé que la réplique sera féroce »>Article original
Par la Rédaction de TIMES OF ISRAEL 27 août 2013, 2:16 pm 2
timesofisrael.com Article original
Adaptation : Marc Brzustowski
Honte aux Renseignements Israëliens s’il est avéré que le gaz sarin soit une mise en scène d’un ou plusieurs partenaires de l’ASL. Ils auraient contribué à décrédibilser pour longtemps Israël.
{{ {{ {{Qu’on livre nos secrets aux E.U c’est normal , mais pas avec Obama .}} }}
{{ {{En effet ce dernier les fait sûrement circuler aux FM , Djihadistes et autres criminels .}} }} }}
{{ {{Mais ce qu’il ne sait pas , c’est qu’Israël n’est pas né de la dernière pluie . Ils savent ce qu’ils font .}} }}
{{ {{Je ne sais pas où je l’ai lu , mais quand Israël avait attaqué les sites nucléaires en Syrie , même les officiers supérieurs de l’armée ( syrienne ) ignoraient leurs existence .}} }}
{{ {{De quoi leur donner froid au dos .}} }}
Et si tout ça tourne au vinaigre devinez qui serait pointé du doigt comme grand responsable du désastre : ISRAEL, c’est couru d’avance. Pour ce qui me concerne le principal responsable c’est obalabamba , le musulman qui se cache derrière un faux masque de chrétien, dont la haine à l’égard des juifs n’a pas de comparaison ici bas, haine mille fois prouvée. Ayant fait tomber le libyen Kadhafi, et l’égyptien Moubarak, les fanatiques longtemps retenus par les deux tyrans ont émergé en plein jour, les frères musulmans financés par obalabamba ont largement pris possession d’un monde musulman surchauffé par des idées de djihad, ayant les dents longues et des visées de conquête de l’Occident vacillant et déjà largement noyauté par un islam rampant mais suractif qui tel un cheval de Troie n’attend que l’occasion pour déverser ses cohortes prêtes à prendre la suite. Europe est déjà soumise sans que ses dirigeants n’en aient la moindre idée, eux qui voient en l’islam une religion paisible apportant des valeurs à une entité en manque de repaires où tous les interdits sont permis. Il est impératif qu’Israël se réserve le droit absolu d’exercer toute riposte appropriée en cas où sa sécurité et son existence seraient de quelques manières menacées. Nous voyons bien que les pressions actuelles sur les dirigeants hébreux pour leur faire accepter l’inacceptable partage de la Judée et de la Samarie sans oublier la partition de fait de Jérusalem sous peine d’un lâcher américain à l’ONU est d’une perfidie jamais atteinte dans l’ère moderne, sans non plus ignorer les récentes dispositions de boycotte ourdies par l’EU sur des frontières qui n’ont jamais existé et au plus grand mépris du droit international, et des lois de la guerre.
Il ne fait aucun doute que nous arrivons dans des temps prophétiques annoncés depuis des millénaires et que nos yeux voient se dérouler au youd près…