Zarif se retire après une tentative désespérée du régime de sauver l’économie iranienne de l’effondrement
Mohammad Javad Zarif, moteur de l’accord sur le nucléaire conclu entre l’Iran et Barack Obama en 2015, a démissionné alors que le régime est en lutte pour survivre à l’ère Trump, rapporte DEBKAfile. En six ans, ce diplomate poli, ayant le serns de la formule, généralement estimé à Washington et Bruxelles, « a présenté ses excuses pour ses « défauts … pendant son temps d’exercice en tant que ministre des Affaires étrangères … » quand il a annoncé sa démission lundi 25 février , sur Instagram.
Sa sortie marque le début des licenciements et démissions à grande échelle de hauts responsables du régime, au beau milieu des délibérations désespérées, qui selon des rapports des renseignements en Iran, sont en cours à Téhéran depuis quinze jours. Ces discussions cherchent la façon de sauver l’économie chancelante de l’effondrement, sous le poids écrasant des sanctions imposées par le président américain Donald Trump, sur les exportations de pétrole iranien, après qu’il a déchiré l’accord sur le nucléaire en mai dernier.
La tête du président Hassan Rouhani pourrait également être mise sur le billot, maintenant que son allié, Zarif, est parti. Nos sources découvrent des preuves que les dirigeants iraniens ont admis qu’ils n’avaient guère d’autre choix que de faire appel à l’administration Trump et de ramener Téhéran vers la table des négociations. Ils recherchent un diplomate dansla ligne de Kim Jong-un, un nord-coréen, qu’ils considèrent comme l’homme idéal pour traiter avec Donald Trump.
La visite surprise du président syrien Bashar Assad lundi dernier a également mis en lumière le fait que le régime de Téhéran est en train de procéder à une refonte majeure de sa politique. Nos sources signalent qu’il a été invité à rencontrer pour la première fois le dirigeant suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, pour un briefing sur les prochaines mesures du régime islamique en ce qui concerne la Syrie. Il était accompagné du commandant suprême iranien pour le Moyen-Orient iranien, le chef de la brigade Al Qods, le général Qassem Soleimani, ce qui devrait sonner l’alarme en Israël. Cela indique clairement que les ayatollahs ont l’intention de se présenter à la table des négociations avec les États-Unis en position de force, et non de faiblesse.
Bashar Assad , Hassan Rouhani , crise économique iranienne , Mohammed Javad Zarif
Adaptation : Marc Brzustowski
Zarif bows out amid desperate regime bid to save Iran’s economy from meltdown
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Les perses commencent à bouffer de la vache enragée. Ils seront bientôt à l’eau et au pain sec. On verra si à ce moment là, ils se révoltent contre les barbus enturbannés, quitte à laisser des centaines de tués.
Rohani vient de refuser la démission de Zarif. Totalitaire, on est ou on n’est pas…
En fait, Rohani commence à bouffer son turban. Ces 2 là vont bientôt aller sucrer les fraises, et tous vont suivre en se lançant la patate chaude, et s’autoliquider pour incompétence antisiomite, et se terminer pendouillette, façon haman l’agaguite et sa family.
Pourim saleah !
Sameah ! 🙂
Rohani vient de refuser la démission de Zarif. Totalitaire, on est ou on n’est pas…
En fait, Rohani commence à bouffer son turban. Ces 2 là vont bientôt aller sucrer les fraises, et tous vont suivre en se lançant la patate chaude, ets’auto
Et si les Iraniens ouvraient des livres d’histoire?
Ils verraient que les systèmes totalitaires ont toujours failli, d’une manière ou d’une autre. Mais que même s’ils le savent, ils courent droit à leur perte, ce qui est une des caractéristiques de ce genre de système.
C’est fataliste, mais ce sont eux qui veulent ça.
Allez un effort, et c’est tout le système qui va s’effondrer.