Quand les trafiquants de drogue ne veulent plus livrer Israël
Les récentes tensions entre Israël et la bande de Gaza ont des répercussions inattendues jusqu’au cœur des montagnes du Rif au Maroc, où les producteurs de cannabis ont décidé de prendre position. Face aux violences qui sévissent dans la région, ces cultivateurs ont annoncé un boycott contre les trafiquants israéliens, refusant désormais de leur fournir du haschisch.
L’annonce de ce boycott a été relayée par le site d’information israélien Mako, qui a rapporté les propos d’un trafiquant israélien, resté anonyme, affirmant que les fournisseurs marocains avaient décidé de cesser toute collaboration avec Israël en raison du conflit à Gaza. « Pourquoi les Israéliens continueraient ils à s’enrichir en vendant notre cannabis alors que nos frères palestiniens endurent tant de souffrances ? », s’interroge un des trafiquants marocains.
Selon certaines sources, ce boycott aurait déjà causé des pertes financières importantes du côté israélien. Un trafiquant israélien estime avoir perdu des dizaines de millions de shekels depuis le début du boycott. Cependant, d’autres remettent en question l’ampleur de ces pertes, affirmant que les exportations vers Israël ne représentent qu’une fraction des ventes de haschisch marocain. Un Israélien vivant au Maroc et impliqué dans la contrebande de drogue affirme que la majeure partie du cannabis marocain est destinée à l’Europe et à la Scandinavie, Israël ne recevant qu’une quantité relativement modeste en comparaison.
Il convient de noter que cette décision intervient à un moment où la consommation de cannabis à des fins récréatives est en cours de décriminalisation en Israël. En effet, depuis le début de l’année 2022, la législation israélienne permet l’usage récréatif du cannabis, ce qui pourrait avoir un impact sur la demande en provenance de ce pays.
Ce boycott des trafiquants israéliens par les producteurs de cannabis marocains souligne l’importance des enjeux géopolitiques même dans les secteurs les plus inattendus de l’économie mondiale. La solidarité avec les Palestiniens semble prendre le dessus sur les intérêts commerciaux, du moins pour certains acteurs du marché du cannabis au Maroc.
Jforum.fr
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Je m’en consolerai.
Un contrat passé par un Israélien avec des tueurs à gage de nationalité marocaine sera t il honoré ? Si non, les tueurs à gage devront ils rembourser leur client ? Et quel tribunal sera t il compétent pour régler le différent ? On sait que cette profession exige la confiance du client et la probité professionnelle du groupe criminel. Le crime organisé russe possédait autrefois ses » voleurs dans la loi ‘ et ses tribunaux. Il semble que les jeunes générations refusent toute forme de légalité, ce qui ne peut que nuire aux bénéfices, car en toute chose il faut de l’ ordre. Le Maroc n’est pas la Russie, c’est réconfortant.
Enfin quelques choses de positif ! Cette merde anéanti le cerveau
Ou est le problème ?