Nikki Haley , toujours là pour défendre Israël

L’ONU et l’Antisionisme : Un Voile pour l’Antisémitisme Persistant

L’Organisation des Nations Unies (ONU) incarne souvent l’idéal mondial de coopération et de résolution pacifique des conflits. Cependant, une réalité sombre émerge à la lumière de l’expérience personnelle de Nikki Haley  ambassadeur des États-Unis à l’ONU, mettant en évidence une triste vérité : l’antisionisme, loin d’être une position neutre, masque insidieusement l’antisémitisme ancien.

Il devient apparent que derrière le terme antisionisme se cache une hostilité ancestrale envers les Juifs. Nikki Haley témoigne de la confrontation quotidienne avec l’antisémitisme au sein même des Nations Unies. Cette révélation souligne la nécessité de comprendre que le rejet d’Israël n’est souvent qu’un déguisement pour la haine envers les Juifs.

Le biais anti-israélien au sein de l’ONU est un secret à peine dissimulé. Les premiers jours de travail de l’ambassadeur ont été marqués par un changement significatif de priorités diplomatiques, où Israël a été placé en tête de liste avant de nombreux autres pays. Cela visait à exprimer un soutien clair à l’un des alliés les plus proches des États-Unis et à contrer le parti pris anti-israélien de l’ONU.

Nikki Haley met en lumière le traitement distinct dont Israël fait l’objet. Des réunions mensuelles du Conseil de sécurité de l’ONU sont consacrées à la « situation au Moyen-Orient », bien que cela se traduise souvent par des attaques injustifiées contre Israël. Ce pays est régulièrement accusé d’opprimer les Palestiniens, malgré son statut de seule démocratie au Moyen-Orient, respectant les droits de toutes les personnes vivant à l’intérieur de ses frontières.

Ce double standard révèle une forme insidieuse d’antisémitisme institutionnalisé. L’année précédente, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté un nombre disproportionné de résolutions condamnant Israël par rapport à tous les autres pays combinés. Cela inclut des régimes notoirement violateurs des droits de l’homme tels que la Corée du Nord, la Chine communiste et la Russie de Vladimir Poutine.

Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU est également pointé du doigt, avec un point permanent à l’ordre du jour exclusivement réservé à Israël. En réponse à ces tendances, les États-Unis ont pris des mesures radicales, se retirant du Conseil des droits de l’homme, de l’UNESCO (qui nie l’héritage juif), et cessant le financement de l’UNRWA, une organisation enseignant la haine des Juifs aux enfants palestiniens.

L’antisémitisme, déguisé sous l’apparence d’antisionisme, ne se limite pas à l’enceinte des Nations Unies. Il s’infiltre dans les campus universitaires, les grandes villes occidentales, et même au sein du Congrès américain. Nikki Haley souligne la nécessité de confronter cette menace, en appelant à une clarté morale et à des actions sans compromis.

L’ambassadeur exprime sa préoccupation quant à la rhétorique pro-Hamas qui émerge dans certaines sphères, qualifiant le conflit avec Israël de justifié. Lorsque des étudiants, des professionnels de la santé et des élus félicitent le Hamas pour sa lutte contre les « oppresseurs » et les « colonialistes », ils encouragent tacitement la violence contre les Juifs. Il est souligné que cette menace s’étend bien au-delà des frontières de l’ONU et trouve désormais un écho dans les campus, les villes et les institutions américaines.

Nikki Haley appelle à des actions concrètes pour contrer cette montée de l’antisémitisme. elle plaide pour des présidents d’université et des dirigeants d’entreprise qui dénoncent l’antisionisme, ainsi que des leaders élus qui soutiennent fermement Israël. elle critique le manque de clarté morale de la part du président actuel des États-Unis, soulignant le besoin d’une condamnation sans équivoque de l’antisémitisme, y compris de l’antisionisme.

En conclusion, Nikki Haley insiste sur l’urgence d’agir pour contrer l’antisémitisme sous toutes ses formes. elle propose des mesures spécifiques, notamment inscrire dans la loi fédérale que l’antisionisme est de l’antisémitisme, retirer le statut fiscal des institutions propageant la haine des Juifs, et mettre fin au soutien financier aux organisations internationales alimentant ce fléau.

Les enjeux sont clairs et urgents. L’ambassadeur rappelle une rencontre poignante avec une survivante d’une attaque terroriste, soulignant que la vie de cette femme et de nombreux autres est toujours menacée par ceux qui nourrissent une haine envers le peuple juif. elle appelle l’Amérique à prendre le leadership dans la lutte contre l’antisémitisme, affirmant que la survie du peuple juif et de l’État juif est en jeu.

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