L’Iran redéploie son quartier général dans l’est de la Syrie sous couvert du Hezbollah
La Syrie, maillon-clé de la stratégie régionale de l’Iran jusqu’au Liban, est devenue, après 2011, un pays de transit pour les armes iraniennes et un refuge pour les milices iraniennes. Ces dernières harcèlent les 900 soldats américains présents dans l’est de la Syrie. Depuis le Sud-Ouest syrien, elles menacent aussi Israël, de leurs tirs de roquettes et de missiles.
Les Gardiens de la révolution iraniens ont commencé à préparer de nouveaux sites qui en feront leur quartier général dans la ville de Deir ez-Zor, dans l’est de la Syrie, à la place des sites récemment bombardés par les avions américains.
Le site d’information local syrien « Ain al-Forat » a rapporté que les nouveaux sites ont été choisis par des milices iraniennes et sont situés à proximité de l’association Rosfa, près du ministère des Transports de la ville de Deir ez-Zor.
Le site ajoute, citant des sources inconnues, que les milices iraniennes ont préparé des maisons pour protéger les nouveaux sites, comme alternative aux sites attaqués par les avions américains il y a quelques jours.
Les sources ont indiqué que les milices iraniennes ont amené des dizaines de combattants de « l’Unité 313 » de la milice libanaise « Hezbollah » et leur ont confié la tâche de protéger le nouveau quartier général.
On sait également que des commandants iraniens et libanais vivent dans la ville d’al-Mayadeen et supervisent directement ces sites. Parmi eux figurent « Hajj Rabia » et « Hajj Amer », et ils comptent parmi les premiers commandants du Hezbollah.
Les États-Unis ont accusé l’Iran et les milices armées de soutenir des attaques en Irak et en Syrie, alors que les tensions s’intensifient en raison de la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza et du soutien américain à Israël.
Le Pentagone a jusqu’à présent répondu en menant trois vagues de frappes contre des installations utilisées par l’Iran et ses forces mandataires, mais les contre-attaques se sont jusqu’à présent limitées au territoire syrien et aucune frappe n’a été autorisée en Irak.
JForum.fr avec et www.lemonde.fr
Crédit : Bloody News Crédit photo : Wikipédia
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Pour l’instant la réaction militaire des USA apparaît dérisoire surtout compte tenu de l’importance des moyens déployés.
Ils n’effrayent plus personne que ce soit l’Iran la Turquie le Qatar la Chine et bien sûr Poutine.
sauf le gouvernement israélien qui n’a pas le choix d’un autre allié hélas.
C’est vraiment le lion aux pieds d’argile dont parlait Mao.et avec une cervelle de pois chiche ou d’alzheimer.
Il est difficile de comprendre pourquoi ces sites iraniens ne sont pas neutralisés pour les rendre inutilisables, il suffit juste de les rendre non opérationnels.
Si les choses se passent normalement sans que Biden ne se mêle de la guerre d’Israël contre les pourritures du hamas, tous les grouillots de l’Iran paieront.
Au final, il ne sera pas nécessaire de détruire les installations nucléaires des enturbannés, mais juste de frapper les sites les plus dangereux et retarder/anéantir les lieux les plus dangereux pour assurer la sécurité d’Israël.
Il faut couper la tête du serpent….