La haine dans les rues de Montréal
La manifestation organisée par nul autre qu’Adil Charkaoui, l’imam aux sombres activités, a été pour la majorité francophone du Québec un spectacle insoutenable.
Ces manifestantes voilées, encadrées par des imams sortis tout droit des images qui nous viennent des pays musulmans où règne le fondamentalisme, brandissaient des pancartes où l’anglais occupait une place de choix et où le mot « haine » dominait.
Haine de la loi sur la laïcité, haine du premier ministre François Legault et par association haine des Québécois, qui appuient très majoritairement le gouvernement.
Une jeune femme voilée d’une vingtaine d’années a déclaré aux médias en anglais : « Le Québec n’est pas un pays. Je n’ai pas à respecter ses lois ». L’exemple lui vient de haut, puisque nombre de villes et de commissions scolaires anglophones ont prévenu qu’elles allaient défier la loi 21 votée par l’Assemblée nationale.
Menaces
Ceux qui croient que de telles manifestations sont l’expression de la démocratie doivent s’interroger. Nous ne sommes plus ici dans la diversité d’opinion et dans l’expression de la liberté de parole. Nous sommes plutôt dans une déclaration de guerre qui vise le gouvernement élu selon les règles de l’art.
Car nous sommes devant des minorités religieuses qui accordent la primauté à la religion. Des gens qui disent « Nous sommes chez nous », mais qui estiment que le « nous » majoritaire québécois est une imposture plutôt qu’une réalité sociopolitique.
En clair, nous assistons à une contestation inquiétante du droit de la majorité de gouverner. Comme si le droit des minorités diverses avec leurs revendications multiples, qui entrent en conflit avec la culture québécoise, pouvait avoir préséance sur le droit de la majorité.
En 1962, le premier ministre Jean Lesage lançait son slogan : « Maîtres chez nous ». Aujourd’hui, ceux qui nient que le Québec est une société distincte considèrent ce slogan comme raciste avec un relent colonialiste.
Péril
Si la manifestation de dimanche, où flottaient des drapeaux algériens, où s’affichait un bilinguisme généralisé, où même des fillettes étaient voilées et où un imam s’est adressé en arabe et en anglais à la foule d’où sortaient quelques voix criant « Allah akbar », est une indication du type des relations communautaristes à venir, il y a péril en la demeure au Québec.
Les Québécois ont choisi de demeurer dans le Canada, croyant sans doute que leur distinction pouvait s’exprimer. Leur naïveté les a aveuglés, car le Canada de Trudeau a d’autres minorités plus importantes à protéger : les autochtones, les LGBT, les minorités religieuses et autres, et les racisés.
Les Québécois ont perdu leur ferveur d’antan quant à leur langue. Montréal est une ville bilingue où même la mairesse use parfois de l’anglais naturellement. Sans s’en rendre compte.
Les Québécois croient à la suprématie de la laïcité pour l’État. Des groupes religieux, dont des fondamentalistes activistes, s’y opposent en les traitant de racistes, d’islamophobes, voire d’antisémites. Et les racisés les confondent avec les ségrégationnistes américains.
La haine pave la voie au mépris. Serions-nous un peuple devenu maudit [NDLR : serions-onus devenus aussi bêtes que les Français de Métropole?]?
Le Québec envisage d’interdire la burka et le hijab pour les employés du gouvernement
Cela fait 10 ans que la Commission Bouchard-Taylor du Québec recommande à tous les fonctionnaires incarnant l’autorité et la neutralité de l’État et de ses institutions, tels que les juges, les procureurs de la Couronne, les policiers, les gardiens de prison et les président et vice-président de l’Assemblée Nationale du Québec qu’il soit interdit de porter des symboles religieux visibles tels que le hijab, les turbans, les kippas et le crucifix.
Quatre gouvernements consécutifs ont tenté d’appliquer une loi sur la séparation de l’Église et de l’État, mais ont échoué. Cette fois, les chances de succès sont certaines.
Le fait est que, si le turban sikh, les kippot juives et le crucifix catholique sont des symboles religieux, le hijab ne l’est pas. C’est plutôt un symbole politique qui n’a jamais été présent jusqu’à la fin des années 1970 au Pakistan, en Inde, en Indonésie, au Bangladesh, en Turquie, en Somalie et au Nigéria. C’était l’uniforme des Frères musulmans dans le monde arabe.
Écoutons maintenant la représentante la plus en vue du hijab, la membre nouvellement élué de la Chambre des représentants des États-Unis, la hijabi Ilhan Omar, née en Somalie. S’adressant à Vogue, Mme Omar a déclaré : « Pour moi, le hijab est synonyme de pouvoir, de libération, de beauté et de résistance. »
Elle a admis que « porter son hijab lui permet d’être un panneau d’affichage ambulant« . Pour Ilhan Omar, le hijab est un drapeau islamiste, tout comme le béret de Che Guevara était destiné aux révolutionnaires en quête de révolution ou que le cône du KKK correspond à l’idéologie du suprémacisme blanc.
Plus près de chez nous, l’offensive de charme des islamistes tentant d’invoquer la culpabilité des Blancs et de se positionner en tant que « victimes » a suscité le soutien de la plupart des commentateurs. Une féministe autoproclamée a écrit dans le Toronto Star : « Les Burqas offrent aux nouveaux arrivants musulmans un sentiment de sécurité et de confort … Pour ce qui est des hijabs, ils sont à la fois attrayants et pratiques, en dépit de leur vocation religieuse. » En tant qu’immigrant musulman au Canada, j’ai presque vomi.
L’idiote utile et Première Ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern qui ne peut compatir à un massacre que travestie en quelqu’une d’autre qu’elle-même, comme si son être occidental coupable, ne reflétait aucune humanité intrinsèque….
Ces observations ridicules de la part des féministes occidentales, y compris de la Première ministre néo-zélandaise, dont l’obsession de porter le hijab comme une déclaration de mode ont suscité de vives critiques de la part des musulmans du Québec.
Le militant musulman Ferid Chikhi réagissant au débat sur le hijab au Québec a écrit : « Que cela nous plaise ou non, ce qui est le plus troublant au Québec est ce que j’appelle un entrisme malin de la part des islamistes qui veulent imposer leur idéologie à tout prix à la société et inciter à ne plus respecter ses lois. «
Lui et 23 autres musulmans québécois, dont la politologue Djemila Benhabib, non seulement appuient le nouveau projet de loi CAQ sur la laïcité au Québec, mais ils ont écrit à la première ministre de la Nouvelle-Zélande pour protester contre ce qu’ils l’appellent « la banalisation du voile des femmes et des filles » en fustigeant son consentement à devenir une publicité vivante pour ce symbole de l’Islam politique […] ce qui est totalement déraisonnable au regard de l’agenda islamiste. «
Fatima Houda-Pepin, une ancienne politicienne musulmane prédominante de la province, une ancienne vice-présidente de l’Assemblée nationale du Québec, est à l’avant-garde de la lutte contre le hijab et la burka depuis près de dix ans.
En 2013, elle a déclaré : « Je refuse toute dérive vers le relativisme culturel sous couvert de religion, pour légitimer un symbole comme le tchador [Hijab iranien], qui est l’expression ultime de l’oppression des femmes, en plus d’être le symbole du fondamentalisme radical. «
Heureusement pour nous, musulmans qui combattons le fléau de l’islamisme politique qui menace de nous éliminer tous, le Québec se tient à nos côtés alors même que le reste de l’intelligentsia, les féministes, la gauche et le mouvement syndical nous ont abandonnés aux loups.
De la part de nous tous victimes de l’islamisme : Merci le Québec. Vive le Québec!
Tarek Fatah, fondateur du Muslim Canadian Congress et chroniqueur au Toronto Sun, est membre de la bourse Robert J. et Abby B. Levine du Middle East Forum
par Tarek Fatah
New Delhi Times
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Le monde bascule dans l’indifférence générale .
Un remake du nazisme .
INCROYABLE DE VOIR CA AU CANADA,LE PAYS OU RESIDE MON FILS.LA PIEUVRE DEPLOIE SES TENTACULES AU DELA DES OCEANS.CHARLES MARTEL,AU SECOURS !!!!!!!
dites lui que son rouge à lèvres est plein de gelée contenant de la graisse de porc .
mme Illan , c’est bon la graisse de porc .
Merci .
“Pour moi, le hijab est synonyme de pouvoir, de libération, de beauté et de résistance.”
En réalité, le hijab est synonyme de dictature, d’emprisonnement, de laideur et d’agression.
Dites-moi si j’ai tort…
Meme si certains hijabs sont beaux à voir, je ne comprends pas que des femmes éduquées le portent en signe de soumission envers les hommes, et en réclament le droit de le porter. C’est aberrant