Un journal britannique a rapporté aujourd’hui, mardi, que « des documents de renseignement divulgués » ont confirmé que le président russe Vladimir Poutine souffrait de deux maladies graves.

Des documents divulgués révèlent la maladie de Poutine

Selon le journal britannique The Sun, des e-mails ont montré qu’« une source du renseignement russe proche du Kremlin a confirmé que Poutine était atteint de la maladie de Parkinson et d’un cancer du pancréas ».

« Je peux confirmer qu’il a été diagnostiqué avec la maladie de Parkinson à ses débuts, mais pour le moment c’est déjà avancé », a-t-il écrit dans un mail proche des services de sécurité russes. « Ce fait sera nié de toutes les manières possibles et sera caché. »

« Le président de la Russie reçoit régulièrement toutes sortes de stéroïdes lourds et des injections innovantes pour soulager la douleur et arrêter la propagation du cancer du pancréas, qui a été récemment diagnostiqué », a-t-il ajouté.

« Non seulement la maladie cause beaucoup de douleur, mais Poutine souffre d’un visage enflé et d’autres effets secondaires, notamment des problèmes de mémoire. »

Selon la source, « il y a des rumeurs dans son entourage proche selon lesquelles en plus du cancer du pancréas, qui se propage progressivement, le chef du Kremlin a également un cancer de la prostate ».

La semaine dernière, des médias internationaux ont révélé un clip vidéo publié par le ministère russe de la Défense, dans lequel Poutine est vu tenant le bras d’un réserviste russe avec une main qui a « des signes évidents d’une veine », ces signes révèlent que le président russe est suivre un traitement contre le cancer.

De plus, les documents divulgués révèlent que Poutine reçoit des « médicaments top secrets » qui ont été personnellement inventés pour lui. Les médicaments « psychotropes » aident Poutine à obtenir « un regain d’énergie pour essayer de cacher à quel point il est vraiment malade » lors de réunions clés et d’apparitions publiques, a déclaré l’initié russe.

« Il est vraiment fou, il a vraiment perdu la tête », a affirmé cette source proche des services de sécurité russes. « Il est dans un état hallucinatoire sous l’effet d’overdoses de psychotropes qui lui sont injectés. »

Les psychotropes modifient les fonctions du système nerveux et entraînent des modifications de la perception, de l’humeur, de la cognition ou du comportement. Selon le rapport, la pilule spéciale fabriquée pour Poutine est similaire au meldonium – un médicament inventé dans les années 1980 pour les officiers du KGB en Afghanistan. « Cela fonctionne sur le principe d’augmenter le flux sanguin dans le corps et d’améliorer l’endurance du combattant », a déclaré l’initié dans les courriels divulgués.

« Pour Poutine, un ingrédient qui supprime l’état d’instabilité psychologique et tout élément de sentiment de peur ou de danger est ajouté au médicament. » Poutine a peur de l’empoisonnement et a donc également augmenté la dose de médicaments pour le prévenir, a indiqué la source. « Lors de rares rencontres avec le public ou avec des journalistes, Poutine essaie de ne rien toucher avec ses mains car il ne fait confiance à personne. Il a peur d’être empoisonné en touchant des choses – s’il boit du liquide, toutes les bouteilles et verres sont immédiatement confisqués par ses gardes du corps et contrôlés ».

Poutine a également commandé un nouvel approvisionnement en médicaments anti-radiations pour lui-même et son entourage au milieu des craintes d’une guerre nucléaire totale, selon les e-mails divulgués. L’initié a écrit: « Nous parlons de substances telles que Enderlin, qui est un agent radiothérapeutique, ainsi que Ferrocin, Compofron, Paraphénazine (Ataperazine) et Lanterna. »

L’ataprazine est un médicament antipsychotique – tandis que Compofron est un médicament de nouvelle génération qui peut traiter l’empoisonnement aux métaux lourds et les radiations radioactives.

Une autre source a déclaré à Sun Online que le dernier diagnostic de Poutine devait avoir alimenté sa paranoïa. « Il est complètement fou – il semble souffrir d’une paranoïa atroce et d’hallucinations persistantes. Peut-être que cela est exacerbé par sa maladie de Parkinson ou le cancer en phase terminale dont il a été diagnostiqué. » 

L’expert en théorie des jeux Georgi Egorov a averti qu’une frappe nucléaire semble « logique » pour Poutine s’il ne lui reste que quelques mois à vivre. il a déclaré au journal russe Novaya Gazeta: « Il est logique que Poutine n’utilise des armes nucléaires que dans une seule situation – si les rumeurs sur ses problèmes de santé sont vraies. S’il ne lui reste que quelques mois à vivre – il ne veut pas entrer dans l’histoire comme un perdant . »

JForum avec Nziv et news.walla.co.il

Crédit photo : Step News et le ministère russe de la Défense