Révélations : Le Bureau de Surveillance Facebook – Responsable De L’examen De La Censure – Est À 95% Anti-Trump, payé par Soros et Les Trois Quarts Sont Des Citoyens Non Américains à visées anti-occidentales
LE CONSEIL DE SURVEILLANCE DE FACEBOOK – UN NOUVEL ORGANISME QUI PEUT RENVERSER LE FONDATEUR MARK ZUCKERBERG – EST DRASTIQUEMENT, DISPROPORTIONNELLEMENT CONSTITUE DE MILITANTS ÉTRANGERS D’EXTRÊME-GAUCHE, DONT ESSENTIELLEMENT DES INDIVIDUS SUR LA LISTE DES SALAIRES VERSES PAR LE MÉGA-DONATEUR PROGRESSISTE GEORGE SOROS, SELON CE QUE PEUT REVELER THE NATIONAL PULSE.
Le conseil d’administration récemment constitué est composé de militants qui ont fréquemment comparé le président Trump à Adolf Hitler, d’anciens responsables de l’Administration Obama, et qui ont salué les efforts visant à retirer le compte du président Trump de Twitter comme une démarche «géniale».
Facebook décrit le conseil d’administration comme exerçant «un jugement sur certaines des décisions de contenu les plus difficiles et les plus importantes».
L’idée de ce conseil lui-même est venue de Noah Feldman, le professeur de droit de Harvard et témoin lors des procédures de destitution de Trump, promu par les démocrates qui, en 2018, a insisté sur le fait que l’Occident «a besoin de la charia et de l’islam», règles qu’il a jugées plus « humaines et « supérieures » aux lois occidentales.
La composition écrasante de membres de gauche (souvent radicale) n’est que le dernier témoignage du parti pris de gauche du « Big Tech ». Que Facebook et son conseil de surveillance soient mis à profit pour influencer les élections, la culture ou les discussions politiques, on constate que la prétendue neutralité et le caractère « non-partisan » du conseil de surveillance semblent n’être qu’une ruse.
Les personnes énumérées ci-dessous sont dorénavant le dernier obstacle entre le parti pris de gauche enclin à la censure chez Facebook et la capacité de l’utilisateur à partager du contenu, et cela n’augure rien de bon pour les conservateurs ou les opinions divergentes.
Le National Pulse a contacté Facebook pour obtenir des commentaires, mais l’ancien membre du personnel de la campagne et de l’administration d‘Obama, Jeffrey Gelman – maintenant responsable des communications pour Facebook – a refusé de répondre aux questions.
1. AFIA ASANTEWAA ASARE-KYEI – GESTIONNAIRE DE PROGRAMME, OPEN SOCIETY INITIATIVE FOR WEST AFRICA
Asare-Kyei, une « féministe critique de la notion de race » chercheure et avocate des droits de l’ homme, gère le portefeuille du programme, financé par Soros, de l’ organisation pour l’égalité, la justice et des droits de l’ homme (EJHR).
La branche ouest-africaine de l’Open Society Justice Initiative, basée à New York, est un moyen par laquelle la fondation utilise des «litiges stratégiques et d’autres travaux juridiques» pour provoquer un changement en faveur de la vision dite progressiste. Soros est un important donateur du parti démocrate souvent qualifié de «mondialiste» – et à juste titre. Comme le note The Guardian :
2. NIGHAT DAD, FONDATRICE de DIGITAL RIGHTS FOUNDATION CONTRE L’IDENTITE SEXUELLE
Nighat Dad est une autre membre du conseil d’administration lié à Soros dont la Digital Rights Foundation s’efforce de créer un Internet «où toutes les personnes, et en particulier les femmes, peuvent exercer leur droit d’expression sans être menacées.»
Le groupe possède un «magazine féministe pour femmes et journalistes et écrivains réputés non binaires» : elles ne se ressentent ni hommes ni femmes, estimant être entre les deux, un « mélange » des deux, ou aucun des deux. Elles remettent en cause l’identité ou l’assignation sexuelle à un genre, homme ou femme, donné.
Dad siège également à la Commission de l’information et de la démocratie de Reporters sans frontières, une organisation qui dépend du financement de l’Open Society Institute de Soros. Elle a également reçu la récompense du Digital Freedom Award, de la part du Conseil de l’Atlantique – un groupe de réflexion mondialiste financé par Soros, CNN et Facebook – en 2016.
Elle est également une personnalité particulièrement haineuse du président Trump, tweetant : « Dieu nous en préserve si Trump devient président, ce sera ma dernière visite aux États-Unis #TrumpWantsTheWall #Debate» ainsi qu’elle a tweeté au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu : « Le monde a besoin de construire un mur autour de vous et de Trump et de ne jamais vous laissez sortir tous les deux. #BanTrump. «
Dad a même vanté le bien-fondé d’une lettre d’opinion du New York Times de Charles Blow le 4 décembre 2016. Bien que Dad ne spécifie pas l’article exact, le timing correspond à un article de Blow intitulé Why We Must Not ‘Get Along’ With Donald Trump.
Il faisait partie d’une «série d’articles cinglants contre Donald J. Trump» décrite par le Times où Blow a déclaré que le président élu n’était qu’une «arnaque et un charlatan», que son élection est «l’extension logique de la misogynie, du racisme, du privilège blanc et de l’anti-intellectualisme », et estime qu’il est« obscène »que Trump dirige bientôt (en 2016) le gouvernement américain.
3. ANDRÁS SAJÓ, PROFESSEUR D’UNIVERSITÉ , UNIVERSITÉ D’EUROPE CENTRALE
Sajó est lié à Soros depuis 1988 et a siégé au Bureau des Directeurs de l’Initiative Justice et Société Ouverte de Soros (Open Society Justice Initiative) from 2001 to 2007. En tant que Juge au Tribunal Européen des « Droits de l’Homme », il a joué un rôle pivot dans l’interdiction des crucifix au sein des écoles publiques italiennes.
L’Université d’Europe centrale (CEU) est également une entité liée à Soros, car le méga-donateur progressiste et deux des membres de sa famille figurent sur la liste des membres du conseil d’administration. La CEU a également été un «partenaire fondateur» du réseau de l’Open Society University Network, la principale tribune par laquelle Soros apporte sa vision du monde mondialiste aux universités du monde entier, à hauteur de sa dotation personnelle de 1 milliard de dollars pour le réseau.
4. SUDHIR KRISHNASWAMY, VICE-CHANCELIER ET PROFESSEUR DE DROIT, FACULTE DE DROIT DE L’ UNIVERSITE INDIENNE – NATIONAL LAW SCHOOL OF INDIA UNIVERSITY-
Krishnaswamy dirige le Centre de Recherche en Droit sur les Lois et la Politique (Center for Law and Policy Research) qui se concentre sur «les droits des transgenres, l’égalité des sexes et la santé publique».
Le groupe est bénéficiaire de fonds du groupe pour l’avortement (Center for Reproductive Rights) auquel la Fondation pour la Société Ouverte de Soros (Open Society Foundation) achemine des centaines de milliers de dollars.
5. RONALDO LEMOS, PROFESSEUR, FACULTÉ DE DROIT DE L’UNIVERSITÉ D’ÉTAT DE RIO DE JANEIRO
Lemos est une autre personne connectée à Soros, qui siège au conseil d’administration de la Fondation Mozilla qui a collaboré avec l’Open Society Foundation «pour travailler sur un Internet construit, utilisé et gouverné de manière à permettre à chacun d’y accéder et de bénéficier de son potentiel. »
Comment?
«Pour soutenir de nouvelles méthodes de participation civique et sociale, réduire les obstacles à l’engagement et développer des moyens innovants de s’organiser pour un changement positif et la justice sociale», note le communiqué de presse de l’Open Society Foundation.
Il a également siégé au conseil d’administration d’Access Now, une organisation répertoriant la fondation Soros comme donateur principal.
6. NICOLAS SUZOR, PROFESSEUR, FACULTÉ DE DROIT À L’UNIVERSITÉ DE TECHNOLOGIE DU QUEENSLAND
Suzor a considéré le président Trump comme égal à Hitler.
Il est également préoccupé par la menace posée par l’humour de type «ironique ordinaire» sur Internet et apparemment «raciste» tout en partageant un lien vers un article proclamant que «le fascisme en ligne est le courant politique le plus dangereux du monde aujourd’hui» et que «nous devons y faire face, de toute urgence. »
«J’adore ça», a-t-il tweeté d’un blog intitulé «Teen Vogue vs Trump; American Vogue vs Hitler ‘.
L’article met en accusation les utilisateurs de droite :
Il estime également que « Twitter a le pouvoir de bloquer le président et ils ont le droit légal de le bloquer ».
Bien que Suzor n’exige pas de Twitter qu »interdise le président Trump – concluant que c’est « compliqué » – selon lui : « les plates-formes de réseaux sociaux sont fortement critiquées pour s’ingérer dans les processus politiques ou même penser à interférer dans les processus politiques. »
Suzor reconnaît même que les grandes plateformes de réseaux sociaux «influencent déjà la politique de manière considérable».
7. TAWAKKOL KARMAN, LAURÉAT DU PRIX NOBEL DE LA PAIX
Karman, une militante Sœur Musulmane yéménite qui a fondé Femmes Journalistes sans Chaines -Women Journalists Without Chains-, a critiqué le président Trump comme «raciste» dans la presse étrangère. Dans une interview avec le plus grand média espagnol El Pais, lorsqu’on lui a demandé si « l’arrivée de Trump à la Maison Blanche représente un changement» en ce qui concerne la guerre civile en cours au Yémen, Karman a répondu :
«Malheureusement, je ne fais pas confiance à Trump parce que je ne fais généralement pas confiance aux racistes. Je ne pense pas qu’il deviendra un acteur majeur pour résoudre le conflit, c’est une personne qui ne se manifeste que par des menaces, mais il pourrait paralyser le commerce des armes, par exemple, ou entreprendre une véritable mobilisation diplomatique. »
8. PAMELA KARLAN, PROFESSEURE, FACULTE DE DROIT DE STANFORD (LAW SCHOOL)
Karlan a été sélectionnée par les démocrates pour servir « d’experte constitutionnelle » lors de l’enquête sur la destitution du président Trump.
S’adressant à l’American Constitution Society en 2006, Karlan a proclamé à un public libéral déjà convaincu : «nous devons reprendre le dessus sur le patriotisme et sur l’amour de notre pays, parce que nous avons plus de raisons qu’eux d’aimer l’Amérique».
Elle a également lancé une tirade anti-blanche : « Les riches, choyés, prodigues, moralisateurs, incurables, blancs, fils hétéros des puissants présentent assez bien partout dans le monde, et ils l’ont toujours fait. Mais qu’en est-il de nous? Femmes juives sournoises et bisexuelles qui voulons avoir la liberté de dire ce que nous pensons, de lire ce que nous voulons et d’aimer qui nous voulons. »
Elle a fait un don au moins 50 fois – près de 13 000 $ – exclusivement aux démocrates, dont Hillary Clinton, Barack Obama et Elizabeth Warren, selon les registres de la FEC.
Karlan a également utilisé sa position de premier plan au sein du comité judiciaire pour se moquer du fils de 13 ans du président Trump, Barron.
Karlan a aussi fait partie du Département de l’administration Obama de la Justice et a obtenu un avis élogieux du New York Times comme « chef juridique Engagée envers les Causes Progressistes. »
9. CATALINA BOTERO-MARINO, DOYENNE, FACULTÉ DE DROIT DE L’UNIVERSITÉ DE LOS ANDES
Botero-Marino a insisté sur le fait que l’administration Trump fait preuve d’ «autoritarisme», a insisté sur le fait que «le seul intérêt de Trump est Trump» et a vanté la «résistance» anti-Trump sur Twitter. De façon plus flagrante, elle a répondu à un utilisateur de Twitter : « Signalons le comportement abusif de Trump: Incitateur à la haine, à l’agression et à la violence contre la presse en toute impunité #ReportTrumpTweet » en louant ses efforts comme «impressionnants».
«Les tweets de Trump sont une honte pour les États-Unis et un affront aux principes les plus élémentaires de l’État de droit», a-t-elle ajouté.
10. MAINA KIAI, DIRECTRICE, HUMAN RIGHTS WATCH GLOBAL ALLIANCES AND PARTNERSHIPS
L’ancien rapporteur spécial des Nations Unies sur la liberté de réunion et d’association pacifiques est désormais associé à Human Rights Watch, financé par Soros, qui a insisté sur le fait que les États-Unis «ont continué à reculer sur les droits de l’homme au pays et à l’étranger au cours de la deuxième année de l’administration du président Donald Trump. »
Il a déclaré sur un podcast : « Je pense que Donald Trump est le joyau de la couronne des groupes d’extrême droite, fascistes, xénophobes qui existent sur le marché politique actuellement. »
Le contributeur d’opinion du New York Times estime également que les «actions» du président Trump sont si flagrantes qu’elles «justifient une grève nationale générale».
Il a même salué l’Union Américaine pour les Libertés Civiques Civil de gauche pour avoir sapé la capacité du président Trump à mettre en œuvre des politiques telles que son interdiction de voyage depuis les pays musulmans en 2017.
11. JULIE OWONO, DIRECTRICE EXÉCUTIVE, INTERNET SANS FRONTIÈRES
Owono est une ancienne contributrice d’Al Jazeera – un média financé par le gouvernement qatari favorable aux Frères Musulmans – entièrement dévouée à une France «multiculturelle» et opposée aux victoires électorales des partis de droite dans le pays.
Concernant, le président Trump, elle a qualifié les employés du gouvernement de gens capables de mener ses politiques «inhumaines» et elle dispose d’un lourd passif d’utilisation des entreprises technologiques et des plateformes de réseaux sociaux pour faire avancer le « changement social et politique ».
Elle a imploré des entreprises comme Facebook, Twitter et Google de renverser la mise en œuvre de l’interdiction de voyager depuis 7 pays musulmans facteurs de terrorisme, voulue par le président Trump en 2017 en partageant une pétition intitulée «Dites-le aux entreprises technologiques : n’aidez pas Trump à créer une liste noire des pays musulmans!» sur Twitter.
Elle a même partagé des articles insistant sur le fait qu’elle préférait être (prise pour) une membre de «l’élite prétentieuse» plutôt qu’une «populiste»:
12. ALAN RUSBRIDGER, DIRECTEUR, LADY MARGARET HALL OXFORD
L’ancien rédacteur en chef du journal d’extrême-gauche The Guardian journal (1995 à 2015) a tweeté une emoji en prière et un emoji des doigts croisés à côté d’un article décrivant comment une « obstruction dans un dossier de justice peut renverser Trump »:
Il a également critiqué le président Trump en partageant des extraits d’articles du Guardian, notamment : «Donald Trump ne dirige pas le gouvernement américain. Il ne gère rien. Il n’organise personne. Il n’administre ni ne supervise. Il ne lit pas les mémos. Il déteste les réunions. Sa Maison Blanche est en perpétuel chaos »
Rusbridger – un militant d’extrême gauche bien connu au Royaume-Uni – siège également au conseil d’administration du Committee to Protect Journalists, qui a reçu 750 000 $ de la Fondation Open Society de Soros en 2018.
13. JAMAL GREENE, PROFESSEUR, COLUMBIA LAW SCHOOL
Ancien assistant du sénateur démocrate et candidat à l’élection présidentielle de 2020, Kamala Harris, Greene n’est pas un fan du président, insistant sur le fait que « certaines des incompétences de Trump battent des records historiques » et que son « inaptitude à exercer ses fonctions » est « surdéterminé ».
Il a également fait don neuf fois à des candidats exclusivement démocrates, dont Elizabeth Warren et Barack Obama, selon les archives de la FEC.
Il semble priser le fait d’appeler ses enfants «Trump» comme un «outil disciplinaire efficace»:
Comme l’a noté le commissaire de la Federal Communications Commission (FCC) le 7 mai, Greene a fantasmer de voir Trump se faire tirer dessus, a qualifié l’élection de Trump d’être un résultat inacceptable et un échec de la politique américaine, et a appelé à la destitution.
Bien que Greene soit répertorié comme contributeur de la Federalist Society, la société juridique conservatrice note que «l’apparition d’une personne sur cette liste n’implique aucune autre approbation ou relation entre la personne et la Federalist Society».
Greene est clerc pour le juge démocrate Guido Calabresi à la 2e Cour d’appel du circuit américain, avec le juge conservateur John Paul Stevens à la Cour suprême des États-Unis.
14. ENDY BAYUNI, RÉDACTEUR EN CHEF ET MEMBRE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION, THE JAKARTA POST
Pour la plupart, Bayuni se concentre sur les affaires indonésiennes et s’abstient de tout commentaire sur la politique américaine.
Cependant, il a indiqué qu’il n’était pas un fan du président Trump, en commentant :
«Oui, l’Amérique peut encore être grande. Mais ce serait probablement trop demander au nouveau président élu. »
Il pense également que la victoire populiste du Brexit est « un autre résultat d’un exercice démocratique dans le monde occidental qui a mal tourné ».
15. HELLE THORNING-SCHMIDT, ANCIENNE PREMIER MINISTRE DU DANEMARK
Thorning-Schmidt a dirigé le parti de gauche, les sociaux-démocrates – membre du Parti socialiste européen – de 2005 à 2015, qui a abouti à l’obtention de son poste de Premier ministre de 2011 à 2015. Elle a dirigé un gouvernement de coalition de centre-gauche composé de sociaux-démocrates, du Parti social-libéral et du Parti populaire socialiste. Elle est entrée en fonction en promettant d’augmenter les impôts sur les citoyens les plus riches du Danemark, d’augmenter les dépenses sociales et d’augmenter l’immigration.
Thorning-Schmidt est également une activiste du changement climatique qui a critiqué le président Trump pour sa position différente sur la question.
Elle est mariée au politicien britannique de gauche Stephen Kinnock, le fils de l’ancien chef du Parti travailliste britannique Neil Kinnock, dont le discours a été plagié par Joe Biden en 1987 lorsque Biden s’est présenté pour la première fois à la présidence. Biden a dû abandonner la course après la révélation de ce plagiat.
16. KATHERINE CHEN, PROFESSEURE, UNIVERSITÉ NATIONALE DE CHENGCHI
Chen semble s’abstenir de son propre commentaire sur la politique américaine, mais utilise fréquemment son compte Twitter pour partager des visions politiques progressistes, du contenu anti-Trump et exprimer son soutien aux démocrates.
Elle a retweeté l’ancien candidat présidentiel Mike Bloomberg, qui a dirigé la campagne présidentielle la plus chère et la plus infructueuse de l’histoire politique américaine.
Elle a retweeté Stephen King, qui a critiqué le président comme un «sein mort dans une ablation» et insulté les Américains qui font valoir leurs droits du 2e amendement:
Elle a également partagé des messages du célèbre « Tout sauf Trump », Bill Kristol, qui dirigeait le magazine Weekly Standard, aujourd’hui disparu, et se consacre désormais intégralement aux activités anti-Trump via le blog Bulwark, et une multitude de groupes de façade centrés autour de la «défense de la Démocratie ensemble » financé par des donateurs démocrates.
17. EVELYN ASWAD, PROFESSEURE ET PRÉSIDENTE, UNIVERSITY OF OKLAHOMA COLLEGE OF LAW
Aswad a fait un don aux démocrates, notamment au candidat au Congrès Dan Baer.
Elle a également participé au processus d’Istanbul, « une initiative lancée par l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton en partenariat avec l’Organisation de coopération islamique« , qui s’est réuni aux Nations Unies à Genève, en Suisse.
18. JOHN SAMPLES, VICE-PRÉSIDENT, CATO INSTITUTE
CATO est un think tank libertaire en faveur de l’ouverture des frontières.
Concernant le président Trump, Samples a commenté : « Je pense que le destituer parce qu’il est tel qu’il est peut être justifié. » Il l’a également qualifié d’incompétent », et a déclaré que Trump « semble s’opposer aux idéaux fondamentaux qui sous-tendent la démocratie libérale ».
Samples a récemment été présenté dans une exclusivité du National Pulse en tant que membre de la liste des influenceurs «conservateurs» de Google, non divulguée auparavant, que la firme Big Tech Google utilise pour influencer la dynamique politique à Washington, DC
19. MICHAEL MCCONNELL, PROFESSEUR ET DIRECTEUR DU CONSTITUTIONAL LAW CENTER, STANFORD LAW SCHOOL
McConnell semble être le premier – et le seul – membre du conseil d’administration qui ne soit pas apolitique ou farouchement opposé au président Trump. Il a écrit des articles pour le défendre contre la destitution et il est chercheur principal au très conservateur Hoover Institute de Stanford.
McConnell est un républicain solidement ancré dans l’aile de l’establishment du parti.
Il a été nommé juge de la Cour d’appel des États-Unis pour le dixième circuit par George W. Bush et approché comme candidat potentiel à la Cour suprême pour les administrations Bush, Mitt Romney et John McCain.
Comme le notait les Affaires juridiques :
«McConnell pourrait être une personnalité acceptable pour les conservateurs parce qu’il pense que la Cour suprême est allée trop loin dans la lecture de la séparation totale de l’église et de l’État dans la Constitution, et parce qu’il est personnellement opposé à l’avortement, et comprend que Roe v. Wade (arrêt historique rendu par la Cour suprême des États-Unis en 1973 sur la question de la constitutionnalité des lois qui criminalisent ou restreignent l’accès à l’avortement) n’a pas de fondements constitutionnels solides. Il pourrait être acceptable pour la gauche non seulement parce que tant de professeurs libéraux le soutiennent, mais aussi parce qu’il a été ouvert en direction du public dans ses critiques de Bush c. Gore et de la destitution du président Clinton. »
20. EMI PALMOR, AVOCATE ET CONFÉRENCIERE, CENTRE INTERDISCIPLINAIRE HERZLIYA, ISRAËL
La nomination de Palmor a suscité des critiques antisémites de la part d’activistes et d’organisations anti-israéliennes, compte tenu de son mandat au ministère israélien de la Justice de 2014 à 2019 (sous le ministère d’Ayelet Shaked).
Les critiques affirment que sous son contrôle, «le ministère israélien de la Justice a demandé à Facebook de censurer le discours légitime des défenseurs des droits de l’homme et des journalistes parce qu’ils étaient jugés politiquement indésirables (BDS, etc.).
Palmor a dirigé une commission gouvernementale chargée «d’éradiquer le racisme», assimilé aux positions du mouvement Black Lives Matter par des sites de gauche.
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Le National Pulse a écrit à Facebook pour demander qu’on nous explique pourquoi leur conseil d’administration est composé à 95% de voix ouvertement anti-Trump, les trois quarts des candidats potentiels aux élections américaines venant de ou basés à l’étranger.
BONUS: JEFFREY GELMAN
Le porte-parole de Facebook, Jeffrey Gelman, a refusé de répondre aux questions, nous indiquant plutôt un site Web générique sur Facebook.
Le National Pulse a examiné les antécédents professionnels de Gelman pour vérifier les biais même qu’il a exprimé dans les processus journalistiques au sein de Facebook. Gelman a été chercheur pour la campagne Obama en 2008 et membre du personnel de l’administration Obama entre 2010 et 2016.
Bien que Gelman ne fasse pas partie du conseil de surveillance, il semblait approprié de l’ajouter parce qu’il a évité de répondre aux questions – au nom de Facebook – sur la nature très orientée de ce conseil à 2 exceptions près.
Raheem Kassam Et Natalie Winters
Raheem Kassam est le rédacteur en chef du National Pulse. Natalie Winters est chercheuse principale en rédaction.
Adaptation : Marc Brzustowski
ALLER SUR vk,,, ce matin je lisais l article sur bd voltaire ,,,face ou fesse de bouc c est le systeme satanique .le domaine de la censure de la reelle bien pensance ,des gens moraux .Ils censurent sans jamais donner de raison objective ,ce site est une pourriture de ce systeme criminel .
Je n ai pas fesse bouc ,et je peux vivre sans !