ERIC ZEMMOUR: SON INTERVIEW AU 20H DE TF1 A RASSEMBLÉ 7,3 MILLIONS DE TÉLÉSPECTATEURS.

Après de longues semaines de faux suspens, le polémiste a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle ce mardi, avant de faire le 20H de TF1 dans la soirée.

C’était sa première interview de candidat. Eric Zemmour, qui a annoncé qu’il se présente à l’élection présidentielle dans une vidéo diffusée sur YouTube ce mardi, était l’invité du journal de 20H de TF1 mardi soir. L’interview du candidat par Gilles Bouleau a rassemblé 7,3 millions de téléspectateurs et 31,3% de part d’audience.

Plus ils l’insultent, plus ils lui donnent de la crédibilité chez les abstentionnistes et tous ceux qui rejettent le système. Il sera un clou dans leurs chaussures, et ils se croient malins à vouloir l’enfoncer. Mais le pire c’est que cette attitude lui vaut l’admiration de beaucoup, les 50% qui ont abandonné la politique, qui en ont assez de ces personnes à la pensée étriquée, qui n’ont pas vu la situation se dégrader jour après jour. Eux qui découvrent l’antisémitisme arabo-musulman vingt ans après, la haine de la France, mais aussi et surtout le déclassement de la France, incapable par exemple de trouver un vaccin, elle le pays de Pasteur. Mais qui connaît Pasteur ?

Une « interview de procureur »

Quelques instants après sa prestation sur le plateau du 20H, Eric Zemmour a fustigé une « interview de procureur », une « escroquerie intellectuelle », reprochant au journaliste Gilles Bouleau d’avoir » voulu faire son malin » durant le journal télévisé.

« C’était une interview d’un procureur. Devant les autres, il (Gilles Bouleau) s’efface, poliment, humblement, parfois de façon larvaire. Avec moi, il s’est révélé un procureur pugnace, de mauvaise foi, me sortant des phrases de mon livre hors de leur contexte », s’est exaspéré le polémiste d’extrême droite après avoir quitté la chaîne.

« Il y a eu maldonne, il y a eu même escroquerie intellectuelle, Gilles Bouleau n’a pas fait son travail, il a voulu faire son malin devant ses confrères », a-t-il poursuivi. Selon nos informations recueillies auprès de deux témoins directs de la scène, Éric Zemmour a insulté Gilles Bouleau après sa sortie du plateau, traitant le journaliste-présentateur de « connard ».

 

«Monsieur Bouleau a voulu faire le malin»: Éric Zemmour brocarde le présentateur du 20h de TF1

Le candidat, enfin déclaré à l’élection présidentielle, effectuait sa première grande interview télévisée après son annonce de candidature à la mi-journée.

Quelques heures après avoir officialisé sa candidature à la mi-journée sur les réseaux sociaux, Éric Zemmour était l’invité de la grand messe télévisée du 20 heures de TF1. Dans ce contexte, il s’attendait sûrement à devoir répondre sur le fond de son programme et sur sa vision présidentielle. Mais quelques minutes après avoir quitté le plateau, l’ancien essayiste a rejoint ses équipes à son QG. Devant ses partisans, il a raillé «l’interview d’un procureur». «TF1 ne m’avait pas prévenu de ça, il m’avait dit autre chose. Si vous voyez toutes les interviews des autres candidats, vous verrez la différence, la différence de ton, de questions», tance d’abord Éric Zemmour sur un ton très vif.

Vous verrez que devant les autres, il s’efface poliment, humblement, et même parfois de façon larvaire… Et qu’avec moi, il s’est révélé un procureur pugnace, de mauvaise foi, me sortant des phrases de mon livre sorties de leur contexte… Je n’étais pas venu défendre mon livre : il y a eu maldonne», ajoute-t-il. Avant de porter des coups encore plus durs contre le présentateur du journal de TF1: «Monsieur Bouleau n’a pas fait son travail, Monsieur Bouleau a voulu faire le malin devant ses confrères, Monsieur Bouleau n’a pas fait son boulot.»

Mercredi, TF1 a tenu à répondre aux accusations du candidat : « Le journaliste a la liberté de ses questions, l’invité de ses réponses. Gilles Bouleau a mené cette interview sans complaisance ni animosité, comme avec chacun de ses invités ».

Dans son interview, Éric Zemmour a principalement été interrogé sur ses sorties polémiques, sa vision des droits des femmes ou encore que sur son doigt d’honneur effectué la semaine dernière à Marseille. Alors que l’entretien touchait à sa fin, le candidat, encore à l’antenne, a invectivé le journaliste de ne pas l’avoir interrogé sur son programme: «Je le regrette. C’était le moment ou jamais» Lorsque Gilles Bouleau finit par rétorquer que ses questions étaient liées aux axes programmatiques du héraut de la droite nationaliste, celui-ci lui réplique : «Il me semble que non…» Selon un photographe de l’AFP, Éric Zemmour s’était ensuite emporté contre le présentateur à la sortie du plateau.

Avant cette passe d’armes, l’essayiste estimait que «(sa) mue était faite». «Je ne suis plus l’écrivain, je ne suis plus le journaliste», a-t-il expliqué. Avec un grand meeting prévu le dimanche 5 novembre au Zénith de Paris, et alors que la course à l’Élysée commence dans un contexte sondagier difficile, Éric Zemmour espère se relancer tout en relevant le défi de l’incarnation.

Zemmour «se trompe», selon Ménard

Quelques instants après que cette saillie, Robert Ménard, réputé proche du candidat, a estimé sur BFMTV que celui-ci «se trompait de faire ce procès à ce présentateur de télévision. Pourquoi ? D’abord parce qu’il aurait pu être beaucoup plus agressif qu’il ne l’a été.» Et d’ajouter que Marine Le Pen a longtemps été «bousculée» dans les médias. Une situation assez cocasse pour le maire de Béziers (Hérault) alors qu’Éric Zemmour ne «gênait pas pour bousculer les autres.»

De son côté, le directeur national des évènements du candidat, Olivier Ubéda, a balayé sur BFMTV d’un revers de main cette polémique. «C’est un exercice mitigé. (…). Les questions étaient peut être un peu frustrantes au début. Il a d’ailleurs fait part d’un certain nombre de messages (…) Ce qui compte au fond, c’est de s’adresser à l’électorat principal qui nous intéresse aujourd’hui, c’est l’électorat de droite», a-t-il précisé.

Joséphine Baker c’est la France

 

Plusieurs millions de vues plusieurs centaines de gens qui approuvent 

JForum – BFM – Le Figaro

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Daniel Fitoussi

Ce vendredi à 10h15, j’écoute RadioJ, Alexis Lacroix, journaliste Marianne, invite un professeur Israélien pour encenser la gauche Française qui inclut bien entendu Emmanuel Macron et même la droite molle.
On tape bien évidemment sur la FI et Mélenchon et Ô surprise, ces deux bougres s’entendent pour dire que discuter avec Jean-Marie Le Pen est tout à fait acceptable contrairement à ce haineux de Zemmour dont le Grand Rabbin et le Président du Crif, deux sacrés lèches-bottes, l’avaient déclaré persona non grata chez les juifs.
Après ce petit tour d’horizon, ces deux oiseaux snobs et prétentieux, écharpent Eric Zemmour jusqu’à s’en prendre à son physique et ça dure et ça dure … Ouf il était temps que cette punition cesse, ces deux abrutis étaient un vrai lavement.
A quand le wokisme sur RadioJ ?

hervé

C’est peine perdue car les français, selon le « général » de gaulle, sont des veaux, à fortiori, la macrone qui se frotte sur les noirs torses nus dont le monde entier a vu la photo, sauf les journalistes français, avec bras d’honneur de la part du favori noir, la dite macrone qui a délégué des centaines d’arabes pour porter la bonne parole dans les zones de non droit, c’est à dire « si vous voulez continuer à faire votre commerce de drogue sans êtres ennuyés par les flics il faut impérativement voter macrone ». En ce qui concerne les doux câlins contre des torses nus noirs, ça ne date pas d’hier, car le comédien Fabrice Eboué qui fréquentait le même lycée, confirme cet engouement de macrone lorsqu’elle voit un torse nu très très bronzé. Mais la descente aux enfers des français c’est pour très bientôt car le virus macrone est plus virulent que le covid omiocron.

Filouthai

Comme Trump aux USA, Zemmour va découvrir « l’Etat profond » !
Le peuple français, lui, risque une nouvelle fois d’être berné -les gens au pouvoir n’ayant aucunement l’intention d’abandonner celui-ci.
Il faut non seulement soutenir Eric Zemmour, mais l’aider par tous les moyens dont nous disposons, dont celui, très simple, de relayer et d’expliquer son discours de vérité aux français abreuvés de propagande macroniste.

maury

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Le Cas Zemmour
Stéphane Montabert
Stéphane Montabert
Suisse naturalisé, Conseiller communal UDC, Renens

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Article publié le 03.12.2021

Depuis mardi midi, Éric Zemmour est officiellement candidat à la Présidence de la République Française.

La surprise n’en était pas une depuis longtemps ; Zemmour avait abandonné de longue date la posture de simple journaliste. Dès la publication de son livre La France n’a pas dit son dernier mot, ses séances de promotion ont pris l’allure de meetings de campagne. Il était déjà candidat dans l’esprit de tout le monde, que ce soit du point de vue de ses détracteurs, des médias, de ses concurrents politiques, de ses propres partisans, ou même du CSA.

Mais il fallait passer par une officialisation. C’est désormais chose faite. Éric Zemmour a annoncé ses intentions, sur une vidéo, puis au journal de 20h de TF1.

La vidéo de sa déclaration de candidature fait couler beaucoup d’encre. Le mieux est encore de se faire sa propre idée.

(Après le début de la rédaction de ce billet, YouTube a décidé de réserver le visionnage de la vidéo à un « public adulte », preuve d’identité à l’appui. Est-ce une énième tentative de diminuer l’influence médiatique du candidat, ou à cause des inserts de la violente actualité française, telle qu’elle apparaît dans les journaux télévisés et dans le quotidien de millions de Français? Après être parvenu à visionner la vidéo, le spectateur sera seul juge.)

Ce lancement de candidature n’a pas été faite avec de gros moyens, c’est clair. Mais il est habile. Éric Zemmour, dans le cadre apaisé d’une bibliothèque, lit un texte, exactement comme il le fait depuis des années dans ses chroniques. Loin de « reprendre l’appel du 18 juin » comme l’en accusent ses détracteurs, je pense que cette présentation vise à reproduire la façon de s’exprimer du journaliste politique dans les médias. Éric Zemmour montre ainsi qu’il s’exprime sincèrement et qu’il a écrit son propre texte – quelque chose dont la plupart des hommes politiques actuels sont devenus incapables.

Le contraste est saisissant avec les séquences vidéo intercalées. Comme la musique, elles appuient le propos avec intensité. Certaines montrent un passé français paisible. Elles suscitent une certaine nostalgie auprès de ceux qui ont vécu dans cette France disparue. Elles contrastent avec les images violentes de la France en perdition d’aujourd’hui.

Quant au programme de Zemmour, il est disponible sur son site de campagne, tout simplement. Ceux qui disent qu’il n’en a pas ne sont même pas allés voir…
Zemmour a-t-il une chance?

Les Français adorent parier sur les meilleurs chevaux. Alors qu’il n’était même pas officiellement candidat, il est monté jusqu’à la deuxième place dans les enquêtes d’opinion, ce qui l’aurait propulsé au second tour face au probable Emmanuel Macron. Depuis, la tendance s’est calmée, mais il y a loin d’ici au jour du scrutin.

Pour mesurer les chances réelles d’un candidat, il suffit de contempler l’opposition qu’il suscite. Anne Hidalgo, maire socialiste de Paris et candidate officielle du PS, oscille entre 4% et 6% dans les sondages. À ce niveau, les socialistes ne sont même pas certains de pouvoir compter sur les 5% des suffrages nécessaires au remboursement de leurs frais de campagne. Le quitte ou double pourrait précipiter la faillite finale des socialistes canal historique. Pour qui veut bien l’écouter, Anne Hidalgo a des propositions bien plus radicales (et plus ridicules) qu’Éric Zemmour, et les a même appliquées à Paris. Mais voilà, qui perdra son temps à critiquer une candidate qui n’a aucune chance?

La même chose vaut pour la plupart des mouvements politiques. Les écologistes hexagonaux (Europe-Écologie-Les-Verts) s’abîment dans l’extrémisme, l’islamo-gauchisme et le wokisme. Au centre-droit, une pléthore de chefaillons ambitieux des Républicains s’évertue à se démarquer sur les ruines de l’ancienne droite. Ils reprennent tant bien que mal les thèmes de campagne de Zemmour, et annoncent qu’ils seront les adversaires les plus déterminés d’Emmanuel Macron… Alors que chacun sait très bien qu’au soir du premier tour, ils seront les premiers à appeler à voter pour ce dernier, la voix tremblante, pour faire barrage à l’esstrême-drouâte.

Au jeu des pronostics, Zemmour a une chance dans le match à trois qui l’opposera à Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Or, sans même parler de sa calamiteuse prestation au débat de l’entre-deux tours de 2017, il me paraît bien improbable que Mme Le Pen puisse réitérer son exploit avec un concurrent marchant en plein dans ses plates-bandes.
Un candidat cloué au pilori

Comme je l’écrivais plus haut, on mesure les chances réelles d’un candidat aux efforts déployés pour le contrer. Il suffit de lire le déferlement d’articles quotidiens anti-Zemmour depuis des semaines – avec un passage à la vitesse supérieure depuis ce mardi encore, si c’était possible – pour comprendre qu’il fait peur, très peur, à la classe politique installée.

« Face à nous, se dressera un monstre froid et déterminé qui cherchera à nous salir », annonce-t-il dans sa déclaration. De fait, pas un article de journal (en particulier Le Matin en Suisse romande) qui ne l’évoque comme « un sulfureux polémiste d’extrême-droite, plusieurs fois condamné » à chaque mention de son nom. L’auteur et chroniqueur politique depuis quatre décennies, habitué des plateaux télés et des studios de radio, devient une infâme créature digne de pires cauchemars!

Ne faisant pas dans le détail, tout y passe, depuis les polémiques sur les images employées dans sa vidéo (comme si le droit à la courte citation n’existait pas) ou sa vie privée (comme si les cocufiages successifs des compagnes de François Hollande ou la relation tout à fait saine qu’Emmanuel Macron entama à quinze ans avec une femme mariée et mère de famille de 42 ans à l’époque, ou son amour pour le contact physique avec des hommes nus et en sueur, étaient du plus parfait naturel). Et nous n’en sommes qu’au début…

Éric Zemmour fait face à la mort – une mort qui, si elle n’est pas physique, sera au minimum sociale et professionnelle. C’est le destin qui attend tout candidat sérieux de droite. Il sera traîné dans la boue, ruiné et interdit d’antenne. Il y a de fortes chances qu’on fouille sa vie dans les moindres recoins jusqu’à y trouver de quoi s’assurer qu’il finisse en prison – ce qui permettra à tous ceux qui le détestent, et ils sont nombreux, de clamer avec un sourire de contentement que sa fin est finalement méritée.

Le chien dans un jeu de quilles

Il y a un courage immense chez Éric Zemmour, peut-être une forme de témérité, qui suscite l’admiration. Il aurait fort bien pu se contenter de vivre confortablement la fin de son existence au lieu de se jeter dans l’arène. Le parallèle avec Trump est évident, mais ne s’arrête pas à cela.

Incarnation vilipendée du populisme le plus crasse, Éric Zemmour est connu du grand public. Il a des convictions, une culture, une popularité réelle, et ne vient pas du milieu politique. Là se situe le danger. Il a en effet devant lui un réservoir de voix que les autres n’ont pas – tous les Français dégoûtés de la clique qui les gouverne depuis quarante ans.

En plaçant l’islamisation, l’immigration et le déclassement français au cœur de son discours, il impose ses thèmes à l’ensemble de la classe politique. Pour exister dans le débat politique, les autres candidats doivent se positionner par rapport aux sujets amenés par le trublion.

Entre les hypocrites des Républicains et la molle Marine Le Pen, la droite française est aussi moisie que le reste du pays. Mme Le Pen n’a aucune chance d’être élue, tout le monde le sait, même elle ; et tout montre qu’elle n’en a même pas envie, se complaisant dans la position confortable de challenger officielle. Éric Zemmour bouscule le jeu politique convenu, fait réagir au-delà de ses partisans, fait dévier le débat.

Entre toutes choses, Éric Zemmour est peut-être la dernière chance pour la France de sortir relativement paisiblement de la voie de la ruine et de la guerre civile dans laquelle elle se précipite avec certitude, et qui a déjà commencée, à basse intensité, dans les nombreux territoires perdus de la République.

Il est bien tard pour sauver la France de la libanisation, mais qui ne tente rien n’a rien.

Stéphane Montabert – Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 3 décembre 2021

Bonaparte

Zemmour a tellement été éblouissant sur les plateaux TV lorsqu’il recevait ses  » invités  » ……il les ridiculisait parfois .
Eh bien certains aujourd’hui se vengent d’une façon mesquine .
Je pense surtout à BHL et à Jacques Attali . Ce dernier qui était le paillasson de Mitterrand n’a pas hésité à déjeuner avec Bousquet .
Il  » ignorait  » qui était Bousquet mais quand il l’a appris il était  » faché  » avec son maitre .
Mais rajoute t il :
 » J’étais faché avec moi même et cela n’a pas duré longtemps  » .
Minable ……….un Juif de Cour .

lepelblanc

Boulot n’est pas un journaliste, c’est un commissaire politique. Je me rappelle qu’il a fait la même chose à Gilbert Collard qui se trouvait sur son plateau avec d’autres personnalités : il ne lui a pas passé la parole . Boulot est un lèche-culs aux ordres d’une gauche décadente. Zemmour a raison: c’est un connard!.

Guidon

Zemmour est un homme courageux et aussi inconscient mais il ne peut réussir seulement si la population française le soutient mais cela a peu de chance d’arriver car la majorité a déjà accepté la perte de son identité. Il se trompe de combat.

Richard MALKA

Sur Le site du Figaro ce matin à 10h:
– un article sur le débat LR: 200 commentaires
– 2 articles sur Zemmour: 3500 et 5000 commentaires !!!
Merci a Mr Zemmour d’avoir su mettre sur la table les vrais problèmes que l’on soit d’accord ou pas avec lui. Les solutions aux problèmes n’arrivent que lorsqu’on comprend les problèmes et que l’on a envie de les résoudre.
Les autres politiques: basta du vent, une agonie cérébrale, une abstention record aux dernières élections, un climat délétère, des menaces de morts etc… qui permet de mieux comprendre comment la France a capitulé devant l’invasion de l’Allemagne Nazi.

Et puis il fallait s’y attendre: l’instrumentalisation de l’intronisation de Josephine Baker au panthéon. Mr Zemmour a bien répondu, Josephine Baker a épousé la « Liberté, égalité, Fraternité » ce qui n’est pas une généralité malheureusement aujourd’hui, et c’est bien ces valeurs que Zemmour défend.

Sa candidature est enfin une très bonne nouvelle .

Bonaparte

Il ne se bat pas  » à armes égales « …….. mais il va les faire souffrir .
Un homme courageux que la France ne mérite pas .

Il devrait être soutenu plus que cela…….mais la lâcheté et l’injustice se sont installées dans la campagne .

L’hiver sera chaud .

Cequejepense

Eric Zemour se bat contre une force souterraine ainsi que de l establishment qui sont orientés vers un RESET qui n est que le remplacement de la population une bataille qu’ il ne gagnera jamais à moins que la population Française ne se réveille en reprenant le pouvoir des mains de ceux qui les précipitent vers un totalitarisme

yacov

Pourquoi ne parle -t-on pas du petit rabbin Korsia de l’infâme khalifat et du pourri merguy des pudeurs de vierges enjuivée