Un gardien de la paix de 43 ans a mis fin à ses jours, dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 janvier. Il s’est pendu à son domicile vendéen.
Un policier nantais a mis fin à ses jours dans la nuit du vendredi 19 au samedi 20 janvier, à son domicile vendéen. Il s’est donné la mort par pendaison. Ce gardien de la paix âgé de 43 ans était marié et père de trois enfants. Sur les réseaux sociaux, ses collègues lui rendent hommage, et évoquent « la tristesse d’apprendre le décès du gardien de la paix » . De nombreux messages de soutien affluent en direction de sa famille.
Difficile de connaître les raisons de ce geste désespéré et d’établir un éventuel lien entre sa mort et son travail. Le 14 décembre déjà, un policier de 55 ans de la compagnie républicaine de sécurité de Saint-Herblain, près de Nantes, s’était donné la mort avec son arme de service. Il avait laissé un courrier derrière lui évoquant des problèmes personnels. En 2017, 65 membres des forces de l’ordre se sont suicidés en France. Une commission d’enquête parlementaire a été annoncée par les sénateurs républicains.
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