Arminas Pileckas, originaire de l’Etat nord-européen de Lituanie vivait en Suède avec ses parents quand il a été brutalement assassiné lundi par un «arabe», un camarade de classe migrant d’origine syrienne.
Arminas était intervenu pour protéger camarade de classe d’être agressée sexuellement pas le migrant en Décembre. Le jour de la rentrée des classes ce lundi, alors qu’il était seul, il a été poignardé dans le dos en plein coeur par ce migrant syrien en représailles pour avoir pris la défense de sa camarade de classe.
Ce meurtre d’un européen son premier jour de retour à l’école par un élève migrant a reçu une couverture médiatique minimale en Suède, il a été pratiquement ignoré dans le reste de l’Europe, ce que le père de la victime a appelé un «cover-up» (une censure).
Dans une interview accordé à la presse lituanienne, le père de Arminas dit qu’il n’a même pas été approché pour des interviews par la presse suédoise, après la mort de son fils, tandis que les mêmes médias suédois se sont précipités pour interviewer le père du tueur.
Il a dit qu’en Lituanie le problème des migrants est franchement et ouvertement abordé, tandis qu’en Suède « tout est gardé caché ».
Cette semaine, le journal de gauche Aftonbladet a publié un entretien avec le père du tueur de 14 ans qui a justifié le crime commis par son fils en disant que la victime n’était pas intervenue pour défendre l’adolescente, mais s’était rendu coupable d’intimidation à l’égard de son camarade de classe migrant.
Le père du meurtiré a déclaré au journal que l’école n’avait rien fait suite à l’altercation de Décembre:
« L’école n’a rien fait pour lui venir en aide et rétablir son honneur. Au lieu de cela, mon fils a dû voir ce garçon de 15 ans qui l’avait humilié tous les jours. ça l’a mis très en colère « .
Aftonbladet n’a pas contesté que de laver son honneur d’une supposée humiliation était une raison suffisante pour tuer un camarade de classe, ni pour interroger l’adolescente qu’Arminas a dit avoir voulu défendre, ni de la prétendue humiliation qu’il aurait infligé à son futur assassin.
Le père de Arminas a dénoncé les articles parus dans la presse suédoise à propos de son fils et que de le dépeindre comme un agressif est un mensonge éhonté. Il a confié au Lyrtas: « Il était travailleur, joyeux et avait beaucoup d’amis suédois. Tous l’aimaient … La presse suédoise écrit que Arminas a agressé l’étudiant, mais ce n’est pas le cas …. notre fils a vu ce garçon agresser la jeune fille. Il a arrêter l’agression et un conflit a éclaté « .
M. Pileckas dit que le jeune assassin voulait prendre sa revanche sur Arminas et lui reprochait de le tenir à l’écart de ses camarades de classe de sexe féminin, que l’école était au courant du problème de harcèlement sexuel et que ce n’était pas un incident isolé où ils vivaient : «Une fille lituanienne a été attaquée il y a quelques mois. Ils ont essayé de la violer. La police n’a rien fait alors … l’année dernière les réfugiés ont attaqué une autre Lituanienne, qui promenait son chien ».
Rejetant toute idée que son fils était « tyrannique », le père de la victime a dit que l’école lui en aurait certainement parlé si tel avait été le cas: « l’école ne se cache jamais rien. S’ il était juste un peu en retard en classe, nous parents on recevait instantanément un message « .
Il a été confirmé que la victime était bon élève par un ancien camarade de classe de 15 ans. Ses commentaires ont été rapportés par FriaTider: «Il répandait vraiment la joie autour de lui. Très gentil et aimable. Il était une présence importante dans la salle de classe. Même si toute la classe était déprimée, il était quelqu’un qui pouvait toujours la faire rire « .
Un porte-parole de la police a déclaré qu’ils tentaient actuellement de reconstituer exactement ce qui était arrivé à l’école.
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C’était incroyable ça quand même !! Un travailleur souriant, agréable, que « tous le monde aime », attentionné, on va bientôt même nous dire un « humaniste forcené », un gentil fils etc…
Et un meurtrier non ??