Covid-19 : pourquoi les vaccins à ARN ne modifieront pas votre ADN.

Conçus en un temps record et déployés massivement, ces vaccins sont présentés soit comme une révolution médicale, soit comme en danger.

 

Le début de la campagne de vaccination contre le Covid-19 en France n’a pas calmé toutes les inquiétudes. Parmi les rumeurs qui circulent chez les « antivaccins » en ligne, celle d’injections qui risqueraient de modifier notre ADN. Une crainte soulevée notamment par le docteur Christian Perronne, médecin autant médiatique que controversé. D’après lui, les vaccins à ARN risquent de faire de nous des OGM, « comme le maïs ou les tomates », avec des cellules « folles » et des cancers qui se multiplieraient.

Ces accusations visent les deux premiers vaccins ayant reçu l’autorisation de mise sur le marché en Europe, celui de Pfizer-BioNTech et celui de Moderna. Deux vaccins conçus sur la technologie dite de l’« ARN messager ».

En quoi cette technique est-elle différente des vaccins traditionnels ? Et que sait-on des dangers pour notre ADN ? Explication en images.

Vaccin à ARN messager : dix questions pour démêler le vrai du faux

Depuis le début de la crise sanitaire, des informations contradictoires circulent au sujet du vaccin à ARN messager déployé contre le virus du Covid-19, suscitant défiance et peur chez de nombreuses personnes. Trois scientifiques strasbourgeois détaillent cette technologie sur la base de données établies.

Qu’est-ce qu’un ARN messager ?

Les cellules de notre organisme sont composées de deux compartiments principaux, le noyau qui contient l’ADN porteur de nos gènes et le cytoplasme qui contient de nombreuses molécules et de petites usines comme les ribosomes, qui turbinent en permanence. Les ribosomes fabriquent les protéines nécessaires à notre métabolisme à partir des gènes de l’ADN. Ce dernier ne peut pas sortir du noyau. L’information génétique doit donc être copiée et apportée par un messager, en l’occurrence l’ARN (acide ribonucléique) messager, qui va passer du noyau au cytoplasme. Cet ARN messager est lu par le ribosome pour fabriquer une protéine.

Quelle est la durée de vie d’un ARN messager ?

« L’ARN messager a une durée de vie allant de quelques minutes à des dizaines d’heures », selon Bertrand Séraphin.

Comment fonctionne le vaccin à ARN messager de type Pfizer ou Moderna ?

Il s’agit d’apporter l’ARN messager d’une protéine d’un virus, en l’occurrence celui du Covid-19 dans une cellule et de compter sur les usines de la cellule pour fabriquer la protéine et la rendre détectable par le système immunitaire. Celui-ci apprend à la reconnaître et à se défendre contre tout intrus portant cette protéine. C’est le principe de base des vaccins.

« C’est la protéine Spike qui a été choisie parce qu’elle est connue depuis dix ans », explique le Dr  Christophe Hommel. « Elle est en effet commune à plusieurs coronavirus comme le Sars ou le Mers, qui l’utilisent pour pénétrer dans les cellules qu’ils infectent. »

Dans quelles cellules le vaccin pénètre-t-il ?

Il pénètre essentiellement dans les cellules musculaires à proximité du point d’injection et de certaines cellules immunitaires présentes un peu partout. Ces cellules produisent alors d’importantes quantités de protéine Spike qui s’installe sur leur surface extérieure, permettant ainsi au système immunitaire de les repérer.

L’ARN messager peut-il modifier les gènes de la cellule en s’y intégrant ?

Il existe davantage de probabilités de gagner dix fois de suite à l’Euromillions que de voir l’ARN messager s’intégrer dans le génome d’une cellule musculaire ou immunitaire pour y créer des mutations. « Chaque cellule de notre corps est en permanence bourrée d’ARN messagers traduits pour fabriquer les protéines dont notre organisme a besoin », relève le Pr  Jean-Louis Mandel. « Si ces ARN messagers s’intégraient dans l’ADN du noyau, les cellules ne pourraient pas fonctionner normalement. »

« Aucune donnée scientifique sur les ARN messagers n’a mis en évidence un lien avec la fertilité », ajoute-t-il. Si le risque de voir l’ARN messager du vaccin s’intégrer dans le génome des cellules proches du lieu d’injection est infinitésimal, « il est encore plus improbable » qu’il puisse aller modifier les ovules ou les spermatozoïdes. Le généticien assure en revanche que « les risques de mutation liés au tabagisme, à l’alcool ou à l’exposition prolongée aux UV sont eux bien réels et beaucoup plus probables ».

Le vaccin ne contient-il pas d’autre substance présentant des risques ?

Les vaccins Pfizer ou Moderna ne contiennent aucun adjuvant tel que le sel d’aluminium, mais des composants qui se dégradent naturellement dans la cellule.

De quel recul sur cette technologie dispose-t-on ?

L’ARN messager a été découvert en 1961. Les travaux de la chercheuse d’origine hongroise Katalin Kariko , installée depuis près d’une trentaine d’années aux États-Unis et qui lui a consacré sa carrière, ont permis les avancées sur les vaccins à ARN messager. « Avec un autre chercheur, Drew Weissmann, elle a mis au point la technique de stabilisation de cet ARN en 2005 », explique Bertrand Séraphin. « Elle a aussi mis au point, en 2015, la technique de l’empaquetage de cet ARN après une quarantaine d’années de recherches. Il s’agissait de lui permettre d’entrer dans la cellule et de survivre quelques heures pour produire la protéine correspondante », détaille-t-il.

Comment a-t-il été possible de produire aussi rapidement un vaccin à ARN messager contre le Sars-CoV-2  ?

« Toutes les étapes d’études précliniques et cliniques ont été menées comme pour n’importe quel autre vaccin », souligne le Dr  Christophe Hommel. « L’avantage, c’est qu’on connaissait la protéine à cibler, Spike. Trouver la bonne cible est souvent l’étape la plus longue dans la mise au point d’un vaccin. Grâce à Katalin Kariko et Drew Weissmann, on savait aussi comment stabiliser l’ARN messager et l’empaqueter. Et beaucoup d’argent a été mis sur la table, avec de nombreuses personnes mobilisées, pour travailler sur ce vaccin, ce qui a accéléré le processus. »

Un déficit de connaissances ?

Comment expliquer la défiance d’une partie de la population, dont des soignants, ce vaccin qui protège des formes graves mais aussi des formes longues du Covid ? « En France, nous sommes très mauvais dans le domaine de la formation initiale des soignants en matière de prévention, particulièrement sur la vaccination », regrette le Dr Hommel. « Avec le vaccin contre le Covid nous rencontrons le même problème qu’avec celui contre la grippe. » Le Pr Mandel renchérit : « Plus les personnes ont des connaissances sur la vaccination et plus elles sont disposées à se faire vacciner et à faire vacciner leurs enfants. »

Pourquoi constate-t-on l’apparition de variants du coronavirus ?

« Une population peu vaccinée et une circulation active du virus favorisent l’émergence de variants », explique le Dr Hommel. Un virus qui circule beaucoup et se multiplie activement dans une population a beaucoup plus de possibilités de trouver des moyens d’échapper au système immunitaire. Car plus il se multiplie, plus grand est le risque d’apparition de mutations. Si ces mutations permettent à un variant d’échapper en partie ou complètement à l’immunité, ou d’être plus contagieux, les virus mutés vont prendre naturellement le dessus sur les précédents en termes de contagiosité. « Au contraire, en réduisant la circulation du virus, la vaccination limite fortement l’apparition de variants », indique le médecin.

Le vaccin à ARN messager peut-il avoir des effets à long terme ?

Si un effet délétère du vaccin devait apparaître à moyen ou long terme, ce serait en déclenchant une maladie auto-immune. Pour le Dr  Christophe Hommel, « compte tenu du nombre de personnes vaccinées depuis six mois, on aurait déjà observé cet effet s’il s’était produit ».

Le Dr Christophe Hommel

Il est responsable du centre de vaccinations internationales et du centre antirabique aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg. Il a une grande expertise sur les différents types de vaccins, obligatoires ou recommandés, en France ou à l’étranger.

Le Pr Jean-Louis Mandel

Docteur en médecine et docteur en sciences, il est responsable d’un groupe à l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire de Strasbourg, qu’il a dirigé de 2002 à 2006. Il a consacré sa carrière à l’identification de gènes et de mutations responsables de maladies génétiques rares chez l’humain. Il a dirigé un important laboratoire de diagnostic moléculaire de maladies génétiques au CHU de Strasbourg et a été professeur de génétique humaine au Collège de France, de 2004 à 2016. Depuis 2017, il est président du conseil scientifique de la fondation Maladies rares.

Bertrand Séraphin

Directeur de recherche au CNRS, il travaille également, depuis 2009, à l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire. Son groupe est l’un des leaders mondiaux de l’analyse de la régulation post-transcriptionnelle de l’expression des gènes. Son équipe explore la façon dont les ARN messagers sont produits à partir des gènes et les modifications qu’ils peuvent subir. Il a notamment été médaille d’argent du CNRS en 2007.

JForum – Le Monde – Ouest France

 

 

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Ingrid Israël-Anderhuber

Par rapport à votre schéma du fonctionnement du «vaccin» à ARN messager, après l’étape de la fabrication de la protéine spike, vous dites à l’étape 5 : «Des globules blancs et des anticorps sont produits. Ils pourront combattre le Covid-19 en reconnaissant LA PROTEINE SPIKE si la personne est infectée.»
Donc ces globules blancs et ces anticorps produits par la «vaccination» ARNm ne peuvent en fait reconnaître, et combattre, QUE le Covid-19, et uniquement lui, c’est bien cela ? Ça signifie par conséquent que tous les autres virus, notamment ceux appelés alpha, bêta, gamma, delta – qui ne sont pas le Covid-19 autrement ils s’appelleraient Covid-19 -, n’ont pas pu être combattus par ces globules blancs et anticorps fabriqués SPECIFIQUEMENT contre le Covid-19, n’est-ce pas ? Ce qui expliquerait alors pourquoi toutes ces infections à répétition, notamment sur les «vaccinés», qui ne seraient en vérité immunisés QUE contre le Covid-19 qui, quant à lui, n’existerait plus à l’état originel puisque, nous dit-on, il a muté en alpha, bêta etc. et aujourd’hui en ce variant MU qui arriverait de Colombie.

A noter quand même que la stratégie de ce virus encapsulé dans le but de LEURRER (égal TROMPER) notre propre système immunitaire et parvenir ainsi sans dommage dans la cellule pour y faire ses affaires est exactement celle d’UN CHEVAL DE TROIE dont on veut nous faire croire que les intentions de l’ARN MESSAGER envoyé par des scientifiques apprentis sorciers sont totalement pures et pacifiques et maîtrisées et ne devraient en principe pas trouver de résistance de la part de Troie et de ses habitants (notre corps), et surtout pas de problèmes (effets primaires, secondaires, tertiaires etc.) notamment avec cette fameuse enzyme transcriptase reverse dont on nous jure qu’elle ne peut que se tenir tranquille SI elle se trouve, cachée et silencieuse, à Troie !

Alors quel est l’intérêt réel de ce «vaccin» qui intervient dans nos cellules pour fabriquer des anticorps VIRAUX SPECIFIQUES (spikes) qui ne sont efficaces que contre le Covid-19 dépassé actuellement par tous «ses» variants, alors qu’un vaccin traditionnel aurait très bien pu faire l’affaire sans toutes ces manipulations et stratégies de tromperie ? Car, expérimentation pour expérimentation, puisque nous sommes en phase d’EXPERIMENTATION, pourquoi ne pas être les COBAYES d’un vrai vaccin anti Covid-19, c’est-à-dire injecté dans notre corps sans leurre, et contre lequel notre corps réagirait NATURELLEMENT en fabriquant ses propres anticorps NON INFECTIEUX NI INFECTANTS pour nous mais sûrement dangereux pour le virus Covid-19, plutôt qu’être les COBAYES d’un «vaccin» cheval de Troie muni d’un ARN messager lui permettant de prendre le contrôle de notre propre système de fabrication à son profit en forçant ce dernier à fabriquer des anticorps INFECTIEUX ET INFECTANTS (la protéine VIRALE spike) SUSCEPTIBLES quant à eux de nous nuire, même si on nous jure que non, et dont on ne connaît pas encore tous (on en connaît déjà certains) les effets nuisibles puisqu’à l’état EXPERIEMENTAL.

Comme on le voit bien ici, la «vaccination» à ARN messager, introduite dans notre corps au moyen d’une TROMPERIE (le leurre de la capsule de graisse), est de l’ordre de la manipulation médicale, qui vise à pirater le logiciel de programmation de notre système immunitaire dans un but qu’on veut nous faire croire honorable mais que, compte tenu de la TROMPERIE, l’on peut naturellement supposer tout autant TROMPEUR…

Qui a donc le droit d’interdire à une personne de refuser d’être un cobaye pour l’expérimentation d’un «vaccin» de cette sorte ?! Et de quel droit ?!
Par ailleurs, ne pas oublier également que ces vaccins utilisent OUVERTEMENT des cellules de fœtus humains avortés dans l’une ou l’autre phase de leur élaboration (Pfizer/BioNTech, Moderna etc.). Ce qui pose donc en plus un problème de CONSCIENCE aux croyants au Dieu de la Bible, qui ont le devoir de revendiquer la liberté de conscience.

Elie de Paris

Le/la Covid 19 porte ce numéro parce qu’il s’est manifesté en (fin) 2019.
Les médias ont formalisé cette appellation, bien que nous soyons bientôt en 2022…
C’est bien le même, avec ses variants. Et pas des virus différents comme les H5N1 etc…
Quant à votre jolie leçon, vous auriez dû consulté ce passage :
 » Pourquoi constate-t-on l’apparition de variants du coronavirus ?
« Une population peu vaccinée et une circulation active du virus favorisent l’émergence de variants », explique le Dr Hommel. Un virus qui circule beaucoup et se multiplie activement dans une population a beaucoup plus de possibilités de trouver des moyens d’échapper au système immunitaire. Car plus il se multiplie, plus grand est le risque d’apparition de mutations. Si ces mutations permettent à un variant d’échapper en partie ou complètement à l’immunité, ou d’être plus contagieux, les virus mutés vont prendre naturellement le dessus sur les précédents en termes de contagiosité. « Au contraire, en réduisant la circulation du virus, la vaccination limite fortement l’apparition de variants », indique le médecin.
.
Maintenant les Pompiers vous expliqueront très bien qu’en arrosant un incendie, les vapeurs peuvent très souvent bruler les novices !
Faut-il laisser brûler le feu, et se propager davantage ?
Comment expliquer que depuis la vaccination, on soit passé de 680 morts /jour au 10 ème et que, semble-t-il, il continue d’être moins fatal ?
En revanche, les non-vaccinés fournissent des opportunités aux variants pour être plus contagieux, et, Dieu préserve, plus mortel…

Bonaparte

Beaucoup auraient regretté de ne pas avoir été vaccinés .
Sous terre où ils  » sommeillent  » ils ne pourront jamais s’exprimer .
Ils reviendraient ils sauraient de quoi ils parlent .

roger guedj

Il y a 0 chance pour que l’ARN messager du virus du covid intègre l’ADN cellulaire. Prenez le cas du VIH (virus du sida) qui est un rétro-virus à ARN et qui intègre l’ADN. Il peut le faire parce qu’il possède 3 enzymes dont l’une la transcriptase inverse permet de transformer l’ARN viral en ADN viral et une autre l’intégrase qui permet à cet ADN viral d’intégrer l’ADN cellulaire. Le virus du (ou de la covid) ne possède aucune de ces enzymes.
A notre ami Elie de Paris, on doit en effet la découverte de L’ARN messager a Jacques Monod, mais aussi à François Jacob et André Lwoff, tous les trois chercheurs à l’Institut Pasteur. Cordialement

Elie de Paris

Cher ami, mon commentaire était succinct.
Comme toujours, mon but reste de trouver, en toute occasion, le « halo » du Seigneur investi en Son peuple.
La mystique juive, et les ‘Hassidim évoquent le « Réchimou », « Présence » en suspension, « Trace divine » partout observable… pour ceux qui observent, bien entendu.
Voici, glanés ici et là :
Né à Paris le 9 février 1910, Jacques Lucien Monod est le fils du peintre Lucien Hector Monod et de Charlotte Todd MacGregor, americaine née à Milwaukee. Jacques Monod est un descendant du pasteur Jean Monod, et le frère de Philippe Monod. Il a deux fils jumeaux : Olivier, chercheur au CNRS à l’Institut des Sciences de la Terre d’Orléans (ISTO), et Philippe, physicien retraité de l’ESPCI de Paris, nés de son mariage avec Odette Bruhl, une petite-fille du grand rabbin de France Zadoc Kahn (!) .
Il est aussi le beau-frère du zoologiste Georges Teissier et de sa femme Lise Bruhl, et le cousin de Geneviève Zadoc-Kahn, régisseuse des concerts Musigrains.
.
Et Lwoff
Le « Complice de Monod », bon Juif, toujours effacé, avec François Jacob, second Juif illustre.
Ces 3 là sont les Pères de l’ARN, et leurs travaux sont primordiales pour les vaccins ARNmessagers.
Les Juifs sont décidément la « Trousse de survie » du monde.
Un fameux apôtre prédisait : « Le Salut viendra des Juifs ».
Qui sait combien de ces Cerveaux, enfants et adultes, impliqués dans les sciences humaines, ont disparus dans la Shoah ?
Malgré tout, ce micropeuple a quand même fourni un bon tiers des Nobel, Field et autres Artistes, musicaux, peintres etc…
Le Rechimou, diffus parmi l’humanité…
Chanah Tovah à tous.

Daniel

Le Japon vient de retirer le vaccin Moderna car ils y ont trouvé des “corps étrangers”

Elie de Paris

Il s’agit « d’un lot », dont le conditionnement est le responsable. L’industrie fait que toutes les chaines de fabrications, depuis les pots de confitures… aux ceintures de sécurité, vu les volumes produits, peuvent induiredes défauts de fabrications…

Elie de Paris

Décidément, on ne veut voir que ce qu’on veut voir, et déduire ce qu’on veut déduire. En dernier recours, on pourra même dire que c’est l’eau qui attise le feu, et donc laisser les flammes tout consumer.
Mais bon…
Petit erratum sur l’Arn messager, c’est Jaques Monod, qui fut son inventeur, et reçu un Nobel de médecine en 1965 pour cette mise au point majeure. Suffisamment de recul, non ?

Yéochoua Sultan

Publicité ou propagande?
Assez consternant de lire : « Protéines Spike inoffensives ».
Ils pouvaient le dire au début, pas après les effets secondaires graves et nombreux.
Au bout de six mois, la situation a échappé à tout contrôle. Le passeport vert est revenu après même pas un mois de calme, et maintenant, les tests du corona qui ne concernaient que les non-privilégiés, à savoir ceux qui n’avaient pas capitulé face à la pression, sont exigés pour les vaccinés et les rétablis.

Georges Kabi

J’ai subi les 3 injections, sans aucun probleme a part une legere douleur de 72 heures a l’endroit ou l’aiguille a ete introduite. J’ai, de ma propre iniative, subi un test du covid il y a un mois, car je souffrais d’une grippe carabinee et je me suis dit que c’etait peut etre le covid. Le lendemain matin, j’ai recu par mon portable une reponse negative.
Cela ne m’empeche pas d’apprendre a vivre avec cette pandemie. Je porte un masque N-95 des que je sors de la maison. Je me lave les mains avec de l’alcogel le plus possible, j’evite de visiter les dispensaires et les hopitaux. J’ai meme voyage la semaine derniere dans une voiture conduite par un tiers, assis a cote de lui, et qui s’avera le lendemain matin « positif » et se mit en confinement volontaire d’une semaine.
Pour etre complet, je suis un septuagenaire accompagne de maladies chroniques (diabete, insuffisance renale)
Il n’y a actuellement au monde que deux vaccins efficaces (tous les deux americains, quelle poisse ces imperialistes) et les non-vaccines augmentent leur chance d’etre atteint ou pire de propager ( = tuer) le virus parmi la population ambiante.
Cette hostilite au vaccin americain ne releve pas de la medecine, mais de l’ideologie mortifere de l’anti-americanisme! On sait tous ou les ideologies mortiferes ont emmene des centaines de millions d’innocents a une mort epouvantable.