Renforcement des liens entre l’Arabie saoudite et l’Iran : une perspective de paix dans la région
Mercredi dernier, l’ambassadeur saoudien en Iran, Abdallah ben Saud al-Anzi, a exprimé un sentiment de volonté sincère de renforcer les relations entre l’Arabie saoudite et l’Iran, soulignant l’importance de cette démarche pour la région et la communauté musulmane dans son ensemble. Al-Anzi a eu des discussions fructueuses avec Reza Mortazavi, le gouverneur d’Ispahan, province clé du centre de l’Iran, explorant les possibilités de coopération entre les deux nations.
L’ambassadeur a souligné le potentiel positif d’une amélioration des liens entre l’Arabie saoudite et l’Iran, mettant en avant l’engagement des dirigeants des deux pays en faveur de cette cause. Il a souligné l’importance d’un dialogue continu pour surmonter les divergences et relever ensemble les défis. Al-Anzi a également mis en garde contre les influences extérieures qui pourraient s’opposer à cette démarche, réaffirmant l’engagement de l’Arabie saoudite en faveur de la paix et du bien-être régional, comme démontré par l’accord historique conclu à Pékin en mars 2023.
Cet accord a marqué un tournant dans les relations diplomatiques entre les deux pays, ouvrant la voie à la réouverture des ambassades et des missions. Il symbolise une nouvelle ère de coopération entre l’Arabie saoudite et l’Iran, offrant un espoir de stabilité et de prospérité dans la région.
De son côté, la Turquie a manifesté son engagement en faveur des palestiniens et de la stabilité régionale lors de la visite du président Tayyip Erdoğan en Égypte. Erdoğan a annoncé la disponibilité de la Turquie à collaborer avec Le Caire pour reconstruire Gaza, soulignant l’importance de mettre fin à la crise humanitaire dans la région.
Les discussions entre Erdoğan et le président égyptien Abdel Fattah el-Sissi ont porté sur la nécessité de mettre un terme à la violence à Gaza et de promouvoir la paix et la stabilité dans la région. Les deux dirigeants se sont également engagés à intensifier le dialogue bilatéral et à renforcer la coopération économique et de défense entre la Turquie et l’Égypte.
Malgré les tensions passées, les efforts de normalisation des relations entre la Turquie et l’Égypte ont progressé ces dernières années, avec des signes encourageants de coopération dans divers domaines. La visite d’Erdoğan au Caire s’inscrit dans le cadre d’une initiative plus large visant à apaiser les tensions avec les pays de la région et à favoriser la stabilité régionale.
En conclusion, les démarches entreprises par l’Arabie saoudite, l’Iran l’Egypte et la Turquie montre que ces états dont deux ont des relations officielles avec Israël, parviennent peut être a cause de la guerre à Gaza et des tensions dans le région, à de nouveau se parler et demain s’entendre. Espérons que l’Iran, aujourd’hui ennemi à mort d’Israël ne parviendra pas à faire changer de camps, les pays qui gardent des relations avec Israël.
Jforum.fr
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« Erdoğan a annoncé la disponibilité de la Turquie à collaborer avec Le Caire pour reconstruire Gaza, soulignant l’importance de mettre fin à la crise humanitaire dans la région. » Cela veut dire, qu’il y a du fric à se faire et que la turquie propose ses entreprises du BTP. Le financement des travaux sera, évidement laissé aux institutions internationales.
Il ne faut surtout pas faire confiance à aucun de ces pays, à la moindre des occasions ils sauront ensemble pour se battre contre Israël , aîné emouna gam 40 Chana bakever