Le Chabbat: un facteur du succès d’Adam Neumann (WeWork)

Le PDG de la société immobilière CoWorking WeWork, basée à New York, a fait part de sa sagesse spirituelle lors d’un discours prononcé lors d’un événement organisé par la Fédération de l’UJA en décembre.

Selon Adam Neumann, PDG de WeWork, observer le shabbat dans le respect de l’orthodoxie juive peut remédier à l’ego et aux maux de l’âge moderne.

Prononçant le discours liminaire de décembre lors du dîner annuel de la fédération de l’Appel juif uni (UJA), une organisation philanthropique à New York, Neumann a parlé de sa première expérience d’observation du shabbat et de son rapprochement avec sa lignée juive.

Une vidéo du discours de Neumann a été partagée sur Linkedin.

«Un jour, je pense que c’était quelque part autour de l’évaluation de 5 milliards de dollars», a-t-il déclaré, faisant référence à l’investissement de 355 millions de dollars réalisé en décembre 2014 dans la série A, qui a porté l’évaluation de WeWork à de nouveaux sommets.

« Je me rendais compte que je ne pouvais pas contrôler mon ego. »

Neumann a déclaré à l’auditoire qu’il était allé voir son rabbin pour obtenir de l’aide.

Le rabbin, a-t-il dit, a suggéré qu’il devrait commencer à garder le shabbat.

«Il n’y a jamais rien que je n’essaierai au moins une fois», a déclaré Neumann, expliquant comment il passait ensuite un shabbat avec son rabbin dans le quartier de Crown Heights à Brooklyn, une expérience qu’il a surnommée «hautement recommandée».

Cette expérience lui a permis de calmer son ego, dit-il.

Cependant, a-t-il dit en plaisantant, l’effet s’estompe au bout de cinq jours environ.

Source : israelValleycalcalist

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Élie de Paris

C’est encore plus beau que cela…
En exil dans les mondes non juifs_ceux qui ont calqué la Torah avec les adaptations que l’on sait_ on a perdu de vue la centralisé du Shabbath, véritable alliance/pacte avec Dieu.
Et de le placer comme le septième jour, aboutissement, voire conclusion de la semaine. Le Texte d’ailleurs, l’appelle comme ça.
Certes, dans sa temporalité, nous autres, Juifs, on le vit comme cela, le repos bien mérité, agrémenté de bons plats, censés rappelés l’ Autel, de beaux vêtements, ainsi que faire le break de tout travail créateur, que les Sages ont classifié en 39 travaux principaux et leurs dérivés multiples…
Et, le principal, la « nourriture spirituelle », pas la « prière », comme certains le pensent, mais l’Etude, afin de Le connaître, le mieux possible, pour Le servir, au mieux.
Mais en fait, la réelle vision du Shabbath devrait s’inspirer de celle de la Ménorah, le chandelier à 7 branches, dont la branche centrale est le pivot, le support de tout le Candélabre, et les six autres branches, « sortant » les trois de gauche et les trois de droite, du tronc central. Elle fut édifiée en or, d’une seule pièce,, issue d’un bloc d’or fondu, et battue au marteau d’artiste par Betsalel, un adolescent inspiré de 13 ans…
Et ainsi ces 7 jours font bloc, et dépendent du support…
La Semaine, système temporel pratiqué par l’humanité, se maintient ainsi grâce au Shabbath, qualifié de Oneg, délice spirituel préfigurant le Monde à Venir, qui sera « entièrement » Shabbath.
On remarquera que toute la planète est d’accord pour placer le lundi, lundi, mardi mardi et ainsi tous les jours de la Semaine ! Pas de décalage, hormis le fuseau suivant les pays.
Aussi, pas étonnant que lors d’une immersion en milieu torahïque, pendant le Shabbath bien mené, soudain, qu’on ressente cet harmonie avec le Cosmos, dont l’Éternel régit le rythme, et comptabilise les astres, les appelant chacun par leur nom…
Bien une preuve que le message de la Genèse est un fondement universel.