Isaac Herzog, le 8 août 2018 à la Fédération juive de Philadelphie, a appelé à l’unité et au pluralisme lors de sa première visite aux États-Unis en tant que président de l’Agence juive pour Israël. (Avec la permission de JAFI via JTA)
Présentant sa vision de l’avenir de l’Agence juive dans un discours aux dirigeants juifs américains la semaine dernière, Isaac Herzog a décrit un peuple juif se fracturant selon des lignes géographiques et a déclaré que l’une de ses principales priorités serait d’examiner de nouvelles façons pour qu’un plus grand nombre de Juifs se connectent à la vie juive et à Israël.
S’exprimant à New York lors de sa première visite aux Etats-Unis depuis sa prise de fonction à l’Agence juive, Herzog a déclaré que si la diaspora et les juifs israéliens souhaitaient maintenir des liens forts, il était également « très conscient du sentiment croissant que les juifs de la diaspora s’éloignent d’Israël ».
« Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour agir contre cette tendance qui nous divise de plus en plus. Nous sommes une seule nation, petite parmi les nations, qui fait face à d’énormes défis. Ce n’est que lorsque nous sommes ensemble que nous pouvons les surmonter », a-t-il dit.
« Je me suis rendu sur le terrain la première semaine de mon mandat pour me renseigner sur les besoins des communautés américaines et expliquer ma vision de l’Agence juive aux dirigeants et militants juifs. Dans les semaines et les mois à venir, je continuerai ces réunions en Amérique du Nord et dans le reste du monde. »
Herzog, qui était jusqu’à récemment chef de l’opposition à la Knesset, a succédé à Natan Sharansky à la tête de l’organisation quasi-gouvernementale au début du mois.
Il a récemment fait parler de lui lorsqu’il a décrit les mariages mixtes comme un « fléau » et a dit qu’il doit y avoir une « solution » au problème.
Plus tard, il est revenu sur ses commentaires lors d’une interview avec le Forward, expliquant qu’il avait utilisé le terme en argot et non « en termes négatifs ».
Selon un ancien sondage réalisé en 2013 auprès des Juifs américains par le Pew Research Center, dans l’ensemble, « l’attachement émotionnel à Israël n’a pas diminué de façon perceptible parmi les Juifs américains au cours de la dernière décennie », bien qu’il soit « nettement plus fort » parmi les Juifs plus âgés.
Pew a également constaté que près de 60 % des mariages juifs depuis l’an 2000 étaient mixtes.
Une étude de 2007 a révélé qu’environ la moitié des Juifs de moins de 35 ans ne considéreraient pas la destruction d’Israël comme une tragédie personnelle.
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Cela s’est produit pour la sortie de l’exil egyptien, comme du babylonien, de l’espagnol…
Nous laissons des plumes dans ces pays…
Mais quoi ? Le standard de « peuple de Prêtres » doit passer par là. Et pourquoi donc ne sommes nous restés que quelques millions d’individus sur la planète, initiateurs du monothéisme issu du Livre de la Révélation, alors que les autres suivants sont plus de 3,5 milliards ?
Certains prétendent que laisser nos gènes et nos reflexions philosophiques, scientifiques, theosophiques, artistiques etc participent au raffinement du Monde…
Mais quelles sacrifices, quelles souffrances, et combien d’ébauches livrées au rebut…
Que nous soyons toujours là, et vaillants devrait convaincre les agnostiques de l’omniprésence et la sollicitude de l’Eternel pour Son peuple…
Mais bon, il n’y a que les c..s qui ne changent pas d’avis…
Il est probable que si l’on comptait le nombre de mâles réellement juifs, on ne serait guère plus nombreux que ceux recensés à la sortie d’Egypte, soit 603550, hommes faits, de 20 ans à 60 ans…
Ça sent la Fin d’Exil… N’est-il pas ?