Certes, la famille royale ne peut être soupçonnée d’antisémitisme, puisqu’elle est au-dessus des religions, des races, des classes sociales. Reste que la souveraine a toujours été proche de la haute aristocratie protestante.
Son cercle le plus proche, ses dames de compagnie, est constitué exclusivement de membres de la plus haute noblesse. Dans ce pays où les divisions de classe sont plus fortes qu’ailleurs, la communauté juive (comme au demeurant les catholiques) n’a jamais été proche du Palais.
Certains des membres de la famille Windsor, comme la princesse Margaret ou même la reine mère, ont tenu en privé des propos désobligeants sur les Juifs.
Lors de son divorce avec le prince Charles, la princesse Diana, aristocrate de haute lignée, a reconnu que son avocat, Anthony Julius, avait été le premier Juif qu’elle avait côtoyé.
Dans ce royaume où la communauté juive a joué un rôle de premier plan, aucun Juif n’a jamais été nommé à l’un des postes de commande de Buckingham Palace.
Soutien au IIIe Reich
L’histoire de la famille Windsor, d’origine allemande, est également empreinte d’antisémitisme.
La reine Victoria partageait les préjugés de son époux, le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha (Franz August Karl Albert Emanuel von Sachsen Coburg und Gotha).
Avec l’accord de ses premiers chefs de gouvernement aristocratiques, elle avait longtemps refusé d’anoblir des Juifs éminents.
Et si son Premier ministre favori, Benjamin Disraeli, l’architecte de l’aventure impériale, au pouvoir entre 1874 et 1880, était d’origine juive, il avait été converti à la religion d’État, anglicane.
Dans les années 1930, le roi Georges VI et sa femme soutenaient la politique d’apaisement avec Hitler poursuivie par son Premier ministre, Neville Chamberlain.
Par peur du communisme mais aussi par antisémitisme, une grande partie de la noblesse ne cachait pas ses sympathies avec le mouvement des chemises noires du nazi Oswald Mosley, lui-même lié aux plus grandes familles via son mariage avec l’une des filles de Lord Mitford.
Edward VIII, devenu duc de Windsor après son abdication en 1936, soutenait ouvertement le IIIe Reich. Winston Churchill, issu de la famille Marlborough, était une exception dans la haute société, où l’antisémitisme s’exprimait ouvertement.
Des contacts avec Israël limités au minimum
Les conditions dramatiques de la naissance d’Israël, en 1947, ont également fortement marqué les Windsor, très liés aux royautés du Proche-Orient, en particulier l’Égypte, l’Irak et la Jordanie.
Ce panarabisme était aussi une réaction à la déclaration Balfour de 1917, qui avait jeté les bases de la création d’un État juif en Palestine.
Les attaques des extrémistes juifs, à l’instar de l’Irgoun, contre des militaires britanniques entre 1945 et 1947, en particulier la destruction de l’Hôtel King David (91 morts en juillet 1946), qui servait de QG à l’armée britannique en Palestine, avait révulsé le roi George VI, chef des armées.
Quant à la reine Elizabeth II, montée sur le trône en 1952, elle n’a jamais oublié comment son Premier ministre, Anthony Eden, lui avait caché les préparatifs de la désastreuse opération franco-anglo-israélienne de Suez, en octobre 1956.
Jusqu’à la visite du prince William, les Windsor avaient limité au minimum leurs contacts avec Israël.
Néanmoins, le prince Charles, héritier au trône, avait assisté aux funérailles de l’ancien Premier ministre israélien, Yitzhak Rabin, en 1995. Et le duc d’Édimbourg, époux de la reine, était allé se recueillir sur la tombe de sa mère, Alice de Grèce, sur le mont des Oliviers.
Lors de cette visite, le prince Philip avait visité le mémorial de Yad Vashem dédié aux victimes de l’Holocauste, où sa mère avait été honorée de Juste parmi les Nations pour avoir aidé des victimes des persécutions juives en Grèce.
Mon grand kif c’est de voir la Reine d’Angleterre à une Bar Mitzva de Juifs tunisiens faire la danse du ventre avec des youyous .
l’Angleterre n’a ce qu’elle mérite: la dhimmitude: le Reine n’en pipe mot
@Elie de Paris ,
Tout a été dit dans votre réaction , bravo !
Ephraïm -Jérusalem
Les visites d’Etat sont décidées par le Foreign Office et en aucun cas par le souverain.
Les sympathies ou antipathies supposées n’ont rien à voir ici. La reine s’est bien rendue en Irlande alors que ce pays avait soutenu l’IRA et les terroristes irlandais.
Incroyable comme les journalistes peuvent broder sans même se renseigner….
Comme si Israël avait besoin de cette personne…..
Surtout pas ! vous avez bien raison, c’est une antisémite, contre tous les juifs, tous ces parents, son mari, son père, ses oncles, grands-pères, arrières-grands-pères sont des S.S. Combien sont nés en Allemagne et passés par les S.S. même son petit fils a été photographié avec une croix gammé, et le signe des S.S. Comme la reine toute jeune faisait ce signe et toute la famille non qu’ils avaient peur, c’étaient des Allemand. Tous du même sang et régnant comme principautés, avec comme gardien de leur sainte royauté et fidélité à la reine, Les Franc-maçons qui ont la même devise et le même sigle: c’est elle qui gère tout et le 33 grade et le plus haut du Très grand et honorable respecté grand maître
Royal franc-maçon: est son oncle: et tous les Édouard d’auparavant mariés entre eux, cousins et cousines: Grande famille de la FANC-MAÇONNERIE.
Devise: Pour la reine et Dieu et le droit :
On ne peut pas laisser les conspirationnistes, souvent antisémites par prolongement de leur délire inextinguible de coupables pré-digérés, venir propager leurs ordures ici : Elisabeth s’est très bien comportée, en tant qu’héritière et ce dès 14 ans, solidaire du destin de son pays dans la guerre et auxiliaire de l’armée sur le terrain : En 1940, Élisabeth, alors âgée de 14 ans, réalisa sa première allocution radiophonique durant une émission pour les enfants de la BBC dans laquelle elle s’adressa à ceux ayant été évacués26 :
« Nous essayons de faire tout ce que nous pouvons pour aider nos valeureux marins, soldats et aviateurs et nous essayons également de porter notre part du danger et de la tristesse de la guerre. Nous savons, chacun de nous, que tout se terminera bien. »
En 1943, à l’âge de 16 ans, Élisabeth réalisa sa première apparition publique seule lors d’une inspection des Grenadier Guards dont elle avait été nommée colonel en chef l’année précédente. Alors qu’elle approchait de ses 18 ans, la loi fut modifiée pour qu’elle puisse devenir l’un des cinq conseillers d’État (en) en cas d’incapacité de son père ou lors d’un déplacement à l’étranger comme durant sa visite en Italie en juillet 194428. En février 1945, elle rejoignit l’Auxiliary Territorial Service avec le grade honoraire de sous-lieutenant (second subaltern). Elle reçut un entraînement en conduite et en mécanique et fut promue capitaine honoraire (junior commander) cinq mois plus tard
Cette nation est privée de roi, depuis sa collusion avec les ennemis d’Ysraël.
Pas de britt ish donc, ni bénédiction que l’on dit habituellement à la vue d’un roi, inspirant par l’apparat la royauté céleste.
Certes, la famille régnante a pour tradition de faire circoncire les mâles par un Moël. C’est qu’elle veut conserver le souvenir d’une prétendue filiation avec rien de moins que…le roi David ! Rien qu’un « emprunt », encore un, aux vertus du Peuple Choisi, pour légitimer une règne qui sombre.
Que reste-t-il, d’ailleurs, du « royaume uni », et du Commonwealth ?
Une ile, objet des objectifs des migrants du tiers monde islamique, qui, les yeux brillants, la perçoivent comme une terre promise, deja conquise, tant l’islam a pénétré la société anglaise. Le nombre de maires et élus musulmans y est là-bas le plus important des pays de l’OCDE.
L’Angleterre est encore plus colonisée que la France. Le choix de la couronne…
Mais n’est-ce point là la juste rétribution des vues sur le partage du monde par ces deux empires coloniaux, l’Angleterre et la France (et donc celui de la Palestine mandataire) aux frais de Peuple Juif, un mal rédhibitoire causé par un tracé inique de frontières, intentionnel, pour le Peuple Juif Décolonisé, qui jusqu’aujourd’hui en paie le prix de la guerre ?
Le sort de ces 2 nations a ainsi été scellé.
Il me serait odieux, finalement, que la reine vienne poser ses mains sur le Saint Vestige, le Mur…
Et que Lui dirait-elle ?
Qu’elle ne s’inquiète pas , tout le monde parle anglais .
Ces pauvres Windsor, ils ne savent pas ce qu’ils ont perdu.
ROSA